Toute Une Première (La Suite 3)

De toutes les premières que j’allais vivre cette journée-là, celle de « la pénétration de mon petit trou » allait sûrement être la plus attendue inconsciemment mais aussi la plus inquiétante. Mon ami découvrit très vite mon anxiété. Malgré tous les efforts de son index à masser ma rosette, le muscle anal ne voulut jamais ouvrir. Il m’expliqua avec gentillesse que cela arrivait souvent les premières fois et qu’il allait arranger cela très facilement. Nous sortîmes de la douche puis après un rapide séchage, on se dirigea dans le salon qui donnait sur l’entrée. Au lieu des sièges ou des fauteuils, il avait entassé une multitude de coussins de toutes grandeurs sur un immense matelas futon (en fait il y en avait deux l’un à côté de l’autre). Cela donnait à la pièce une allure de « mille et une nuits ». Il alluma deux ou trois brûle-parfums qui confirmèrent mon impression. C’était bien la première fois de ma vie que je me retrouvais entièrement nu dans un pareil salon.
Il roula une cigarette puis remplit un verre immense de cognac. J’allais également fumer pour ma toute première fois et si j’avais bu quelques verres de vin, j’allais enfin goûter à ce cognac que mon père appréciait lorsqu’il revenait du travail. L’odeur des parfums, l’âcreté du tabac (en était-ce vraiment ?) et la chaleur du cognac eurent raison de mon stress. Très vite je me détendis, à un point tel que mon ami n’eut aucune difficulté à enfoncer dans mon cul son index. Puis il l’enduisit d’un gel qui allait permettre à son dard de glisser sans difficulté. Lorsqu’il sentit qu’un puis deux puis trois doigts pouvaient caresser l’intérieur de ma paroi anal, il déclara que j’étais prêt.
Il me fit prendre la meilleure position pour être pénétré. J’étais à quatre pattes, la tête plus basse que le cul et je reposais le ventre sur deux ou trois coussins pour être plus confortable. Dans cette position, mon cul se tendait pour mieux le recevoir. Il s’installa à genoux entre mes jambes.

Je sentis tout d’abord sa queue sur le globe de mes fesses. Il frappait de petits coups pour la faire durcir puis il retira ses doigts de mon petit trou. Son gland vint prendre position. Mon bandage reprit de la vigueur. Il pencha sa poitrine contre mon dos. Sentir ses petits seins furent un plaisir ajouté à la chose. Il entoura ses bras autour de ma taille puis commença à me branler. J’étais au nirvana.
Le moment fatidique arrivait. Il me conseilla de prendre de grandes respirations. Son gland avança peu à peu. Lorsqu’il eut franchi le muscle anal, mon ami me suggéra d’agir comme si je voulais chier en contractant régulièrement le bas du ventre. Cela aida à la pénétration. Je ne savais plus quoi penser. D’un côté je ressentais un léger inconfort mais d’un autre, j’étais conscient que j’allais avoir une jouissance au-dessus de la normale. Et c’est ce qui arriva.
Lorsque sa queue fut entièrement dans mon corps, je sentis ses deux couilles qui accotaient mon périnée. Je ne sais pas pourquoi mais la sensation fut telle que mon bandage devint si dur que j’en eut presque mal. Mon ami me caressa tendrement mes propres couilles, ce qui diminua l’inconfort . Puis il me demanda si j’étais prêt.
Je lui répondis que oui. Lentement tout d’abord puis de plus en plus vite, il procéda à des mouvements de va-et-vient dans mon cul et c’est là que je compris pourquoi tant d’hommes recherchaient à se faire enculer. La chaleur que je ressentais se propagea à tout mon bas-ventre. Ce fut tellement puissant que j’éjaculais avec force une seconde fois. J’eus un peu honte car mon sperme inonda les coussins mais je n’eus pas le temps à m’arrêter à cela. Ces couilles qui battaient sur mon périnée, son gland qui frappaient ma prostate produisaient un effet de jouissance que je ne pensais pas exister alors. Je voulais que cela continua le plus longtemps possible. Alors qu’au début je m’efforçais d’écarter mes fesses et d’ouvrir le plus possible mon petit trou, j’étais rendu à l’effet contraire.
Je serrais le plus possible pour mieux ressentir sa queue dans mon cul. Mais toute bonne chose a une fin.
Il me serra de ses bras encore plus fort qu’il ne l’avait fait puis il donna un dernier coup de boutoir et je sentis alors son sperme gicler au fond de mon trou de cul. C’était l’apothéose. Nous restâmes longtemps collé l’un à l’autre, le temps de reprendre notre souffle puis nous retombâmes l’un à côté de l’autre sur les coussins.
C’est là que la porte d’entrée s’ouvrit. Mon ami me présenta son colocataire qui ne sembla pas remarquer la situation extraordinaire dans laquelle nous nous trouvions. Il regagna sa chambre de la façon la plus naturelle. Je ne savais pas alors que j’allais dans peu de temps connaître d’autres premières fois à trois toutes aussi excitantes que celle que je viens de vous raconter

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