Visite Guidée En Italie

Nous sommes allés dans un sauna en Italie mon homme et moi. Nous étions en voyage et nous avions envie de nous mêler aux autochtones. Bien que ni mon amour ni moi ne parlions italien, nous étions convaincu que la langue ne serait pas une barrière mais plutôt un outil pour accéder au plaisir.

Le sauna était spacieux et les italiens pour la plupart charmants. Nous nous sommes promenés et mon cher et tendre, qui a un corps fuselé et finement musclé comme un danseur, s’est amusé à prendre des poses avantageuses sous les jets de la mini-piscine. Il a attiré pas mal de regards concupiscents… Mais tant que le autres ne font que regarder sans toucher, ça ne me dérange pas. Je lui fais d’ailleurs souvent remarquer que si les yeux laissaient des empreintes, il aurait sur le corps des dizaines de morsures…

Nous voilà dans un labyrinthe assez étroit, sans doute pour mieux favoriser les frôlements et les contacts des corps. Un superbe jeune homme s’approche. Il est mince, les cheveux rasés avec un corps encore mieux dessiné que celui de mon homme. Joli sourire. Nos regards se croisent et se décroissent. J’ai beau avoir séduit mon homme, je conserve très peu de confiance en moi en ce qui concerne mon corps. Je me suis dit : » il en a après mon mec, moi, un type pareil ne voudra même pas me regarder ». Comme j’avais tort…

Il est entré dans une cabine et nous l’avons suivi. Immédiatement, les serviettes sont tombées pour révéler trois érections désireuses de faire connaissance. Nous nous tenions debout, mon homme et moi, enlacés. Dario, c’était son nom, s’est collé à nous et nous a embrassés goulûment. Les baisers avec et sans langues se sont succédés. Dario et moi, Dario, moi et mon homme. Mon homme et moi, mon homme et Dario. Nos langues se touchaient, se frôlaient, se désiraient et se goûtaient les unes les autres dans des duos qui devenaient des trios sans cesse changeants.

Mon excitation grimpait alors que mon sexe devenait de plus en plus dur.



Mon homme s’est soudainement mis à genoux pour prendre dans sa bouche le sexe tendu de Dario. C’est un expert en fellation et je voyais, à la mine réjouie de Dario, que mon orfèvre faisait encore des prouesses buccales. Dario, à la vue de mes 19 cms, s’est penché afin de me prendre en bouche tout en laissant mon homme lui prodiguer les plaisirs mouillés d’une fellation bien faite. Les voir tous les deux s’activer me donnait chaud.

Tout comme celle de mon compagnon, sa langue montait et descendait le long de ma hampe dressée pour agacer le méat de la pointe et suçoter la circonférence. Sa salive devenait un lubrifiant naturel qu’il dosait savamment pour commencer à me masturber. Je connaissais la technique : c’est celle de mon compagnon. Les voir utiliser les mêmes préliminaires me rendait fou de désir.

Les deux corps avec lesquels je jouais étaient sans contexte les plus beaux du sauna. J’avais beaucoup de chance et je me sentais très flatté. Dario m’allongea sur le banc et s’allongea sur moi, son sexe turgescent écrasant le mien. Mon homme s’allongea sur Dario et nous continuions nos baisers salaces en nous excitant les uns les autres. Mon compagnon pressait sa bite dure sur les fesses de Dario qui devenait de plus en plus bouillant. Il jouait des hanches pour exciter un Dario déjà très chaud qui appliquait sur moi le même protocole. Voir dans le miroir ses deux paires d’adorables fesses monter et descendre me rendait fou. Mon homme s’accroupit ensuite derrière Dario et entreprit de lui titiller l’anus de la langue. La position fut accueillie de façon magistrale par un Dario gémissant encore plus fort de plaisir.

Toujours allongé sur moi et tout en malaxant ma langue de sa langue, l’italien guidait ma main vers son anus et sollicita l’intromission d’un doigt lubrifié. Je m’exécutais de bonne grâce. Un autre appétit me montait et je murmurais à mon homme de s’asseoir sur ma bouche. Il écarta bien les fesses et, alors que je continuais à fouiller du doigt l’anus du beau Dario, s’assit à califourchon sur mon visage me laissant lui faire la feuille de rose la plus torride de notre histoire.


Mon compagnon n’est pas un homme soumis mais par amour pour moi, il me laisse prendre quand il en a envie la direction des opérations. J’en profitais pour les allonger sur le dos, l’un à côté de l’autre, les fesses en l’air et les jambes bien écartées, l’anus complètement offert. J’alternais alors entre l’un et l’autre feuilles de rose et intromissions de mon majeur, leur demandant de ne pas arrêter de s’embrasser à pleine bouche. Leurs gémissements qui allaient en crescendo me remplissaient de désir. Sans cesser de me donner leur anus, ils décidèrent de commencer un 69. J’exultais à la vue de ce paradisiaque spectacle purement sexuel qui se déroulait pour mon plaisir personnel.

C’est dans cette position que Dario joignit son index au mien pour pénétrer mon homme qui, ne voulant pas être de reste, fit exactement la même chose. J’étais prêt à retirer mes doigts, ne voulant pas les blesser. Le plaisir les dilatait tous les deux et aucune douleur ne semblait les tarauder, bien au contraire. C’est avec de grands cris qu’ils continuaient leur 69 en jouissant de deux doigts (un de l’autre et un des miens) profondément nichés dans leur fondement. Je continuais à les sodomiser en devenant plus chaud à chaque râle. N’y tenant plus, je me suis mis à genoux et je leur ai donné mon sexe et mon anus qu’ils travaillaient tous les deux de leurs langues ravies. Je ne savais plus qui suçait quoi. Je me donnais sans retenue, les yeux mi-clos, en savourant chaque seconde. Quelle bonne baise.

Dario était maintenant sur le dos. Il suçait le sexe raide de mon amour et lui procurait des sensations si agréables qu’il gémissait doucement. Ne voulant pas rester inactif en dépit du plaisir qu’il prenait, mon chéri se mit en demeure de faire jouir notre bel italien et s’emparât du sexe du bel inconnu. Mon homme, tout à ses gestes, le masturbait sans répit. Dario se retenait, il voulait prolonger nos ébats mais mon homme était sans pitié et inexorablement faisait monter la pression.
Plus Dario tentait de se retenir, plus mon amour accélérait la cadence de ses caresses. Dans un dernier cri, Dario éjacula sur son ventre alors que mon compagnon et moi lui fouillions la bouche de nos langues. Sentir ces deux langues sur la mienne et voir le regard coquin de mon compagnon acheva de me faire monter au paroxysme du désir et je me redressais pour jouir entre les cuisses ouvertes de Dario. Je criais mon plaisir, gémissant et soupirant, lorsque je sentis la queue de mon homme prendre possession de ma bouche. Il était debout et se masturbait en moi et son plaisir devint si fort qu’il jouit rapidement sur mon visage.

Pantelants, nous nous sommes relevés du banc qui avait soutenu nos ébats cochons. Un dernier baiser, une tentative de communication pour se dire merci et nous voilà parti vers de nouvelles aventures…

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