Hier Soir, Mon Mari M'A Offerte À Un Ami ...

Je suis une femme de 43 ans, mariée depuis 22 ans, fidèle pendant plus de 20 ans. En
février 2008, j’ai craqué et je me suis donnée à mon dentiste, un homme qui est veuf,
qui a l’âge de mon père, et avec qui je fais l’amour deux à trois fois par mois chez
lui lorsque mon mari est en déplacement en province ou à l’étranger, cet homme me
donne énormément de plaisir…
Mon mari n’est pas au courant de cette liaison et ne se doute absolument de rien.

Mon mari est un peu voyeur et comme la plus part des femmes, je suis un peu
exhibitionniste…
J’ai souvent constaté que les hommes lorgnaient mes cuisses quand je m’asseyais
quelque part ou que je montait un escalier, rien de plus normal mais, plusieurs fois
mon mari m’a demandé d’écarter les cuisses pour le plus grand plaisir des voyeurs qui
me mâtaient. Ca l’excite et moi aussi, d’ailleurs, je ne suis pas très pudique et
laisse voir, souvent, ma petite culotte, par inadvertance, bien sûr.

Cet après-midi, mon mari m’a appelée pour m’avertir qu’il avait invité notre ami Jean-
Paul à dîner car il est seul à Paris, son épouse Marie-Hélène étant en vacances avec
les s.

Lors de nos rapports sexuels, mon mari fantasme souvent en me disant :
" Imagine que c’est un autre homme qui te fais l’amour en ce moment... Qui aimerais-
tu avoir en toi …? Vas-y ma chéri dis-moi… Oui qui est en toi en ce moment ?… Avec qui
tu fais l’amour, dans ta tête, en ce moment ? Qui est en toi ?… Dis-moi qui aimerais-
tu avoir dans ta petite chatte pour te faire jouir ? Qui voudrais-tu sentir jouir dans
ton ventre ?…
" Et bêtement, un jour, je lui ai répondu : " Jean-Paul… "

Jean-Paul est un ami de jeunesse de mon mari. Ils ont fait leurs études ensemble en
fac de droit il y a plus de 25 ans. Mon mari, Pierre est Avocat d’Affaire en droit
international et voyage beaucoup, Jean-Paul est Avocat aussi, plus spécialisé dans le
droit du travail.

Il est mariés et nous nous fréquentons assez souvent en couples.

Jean-Paul est arrivé avec mon mari vers 19 h 30. J’étais entrain de préparer le dîner
pour nous trois.
Je m’étais particulièrement joliment habillée, jolie petite jupe et chemisier assorti,
des petits dessous blanc en dentelle. Et comme d’habitude, à l’apéritif, je croisais
et décroisais mes jambes pour montrer, à tous bouts de champs, mes cuisses et le fond
de ma petite culotte blanche aux deux hommes.
Ils ne se privaient pas de me mâter et je surprenais souvent leurs regards dirigés
dans mon entrecuisse.

C’est ce qui a provoqué le déclic...
Mon mari eu envie que je m’exhibe devant eux et peut-être même un peu plus. Pendant le
dîner, il faisait en sorte que mon verre ne fut jamais vide. Il sait qu’un peu de
champagne me libère de mes réserves et il remplissait aussi le verre de Jean-Paul.
Après le dessert, j’ai servi le café, mon mari a mis de la musique, nous étions assis
sur le canapé, face à notre ami, Pierre a passé sa main entre mes cuisses et a
carrément caressé ma fente au travers de ma petite culotte, je me laissait faire,
c'était plutôt agréable… mais au bout d'un moment, je lui ai murmuré à l’oreille :
" Qu’est-ce que tu me fais devant Jean-Paul ? J’ai honte !… Tu veux l’exciter ? Tu as
envie qu'il me fasse des choses ?..."
"J’ai surtout envie qu'il s'amuse un peu avec toi…"
"C’est quoi, s’amuser un peu avec moi ?’’
"Tu pourrais te montrer sexy par exemple, l’émoustiller un peu, flirter avec lui, te
laisser caresser et embrasser, l’exciter quoi !"...
" Mais pourquoi ? …" lui dis-je en frissonnant, alors que je me doutait où il voulait
m’amener, je lui dit :
"Tu veux … Tu aimerais qu’ils… qu’il me… qu’ils me fassent des choses ? … Qu'il me
baise ? ... C’est ça ?"
Alors que mon mari me retroussait et qu’il mettait sa main sous ma culotte, il m’a
répondu en bandant très fort :
"Oui, c’est ça, qu’il te fassent plein de choses, j’ai envie qu’il t’enfile, qu’il te
baise, qu’il te fasse jouir, qu’il jouisse en toi et qu'il remplisse ta foufoune
devant moi …"
Ses doigts étaient passés sous ma petite culotte et me rentraient dans le vagin et
quand il m’a dit cela, j’ai serré les cuisses dessus, j’étais trempée….

Silencieux, Jean-Paul assistait au spectacle que nous lui offrions, J’étais troussée
très haut, ma culotte complètement écartée, ma petite chatte à l’air et les doigts de
Pierre qui s’activaient dedans.
Mon mari m’avait répondu en parlant à haute voix de façon que notre ami entende ses
propos... et il a bien entendu. Il s’est alors levés pour s’approcher de nous.
Jean-Paul a commencé par caresser mes seins qu'il a dénudés. Puis il m’a embrassée
goulûment en faisant pénétrer sa langue dans ma bouche et a caresser ma fente de ses
doigts. Mon mari s’est éloigné pour aller s’asseoir dans le fauteuil en spectateur et
l’a laisser libre de faire, de moi, ce qu’il voulait.
Je me laissais faire en regardant mon mari de temps en temps. Jean-Paul, lui, avait
réussi à rentrer ses doigts dans ma vulve, son pouce titilait mon petit cli... Puis,
ils m’a allongée sur le canapé en face de Pierre, il me caressait il et m’enfonçait
ses doigts dans ma petite chatte trempée et un doigt s’est égaré entre mes fesses pour
caressait mon anus.
Mon mari avait sorti son sexe et se masturbait. Il n’en revenait pas de la facilité
avec laquelle j’avais accepté ce jeu pervers. Ca lui faisait un effet curieux de me
voir ainsi offerte à cet homme, de voir cette mains qui me touchait intimement, sa
langue qui pénétrait ma bouche ou ma chatte, et moi qui caressait son sexe…

Puis Jean-Paul ne put attendre plus longtemps. Sans plus s’occuper de mon mari, il
enleva son pantalon et son slip, il me prit dans ses bras et, la queue dressée,
remonta ma jupe à la taille, me débarrassa de mon chemisier, de mon soutient gorge et
de ma petite culotte, j'étais nue, il m’écarta les cuisses. Je m’offrais sans pudeur,
consciente que notre ami allait me prendre. Il se pencha sur moi, lécha ma vulve un
moment puis il pointa son nœud à l’entrée de mon vagin.


Je couvris alors ma vulve d’une main et prit la verge de Jean-Paul de l’autre pour
l’empêcher de me pénétrer en disant à mon mari :
" C’est ce que tu veux, Pierre, c’est bien ce que tu veux vraiment ? … Tu veux qu’il
me baise, tu veux que Jean-Paul me baise sans préservatif ? Qu’il me fasse jouir ?…
Qu’il jouisse et se vident aussi en moi ?…C’est ça que tu veux ? Dis-le… ! ".

Pierre ne me répondit pas, je retirai ma main en libérant le sexe de Jean-Paul qui,
impatient, me pénétra de toute sa longueur. Mon mari a vu ma petite chatte s’ouvrir
sous la poussée et la queue de notre ami s’enfoncer entièrement dans mon ventre. J’ai
frémi en poussant un " Ahhhhhhhhh !!!! "
Je ne quittai pas des yeux mon mari pendant que Jean-Paul me pénétrait. Pierre était
fasciné par cette bitte qui me violait. Maintenant, Jean-Paul allait et venait en moi,
mon mari voyait cette verge entrer et presque sortir de mon vagin et re-rentrer
profondément en moi… Les lèvres, de ma petite chatte étroite, l’entouraient, la
suçaient, la retenaient et s’étiraient en l’accompagnant.
Pierre voyait mon clitoris gonflé que mon amant limait à chaque va-et-vient.

Mon mari n’en croyait pas ses yeux. Son ami Jean-Paul me baisait, il baiser sa femme
et il allait jouir en elle. Il voyait, pour la première fois, le sexe d’un autre homme
s’activer en moi et qui me ramoner sous ses yeux en me procurant du plaisir.
Il pensait que ce n’était pas possible que ce soit sa femme, sa petite femme qu’il
adore, qui soit étendue sur ce canapé avec les cuisses écartées dans une posture
obscène qui se faisait besogner, qui gémissait de plaisir sous les coups de butoir de
son amant du moment et qui allait en jouir. Cet homme me bourrait ardemment, il me
fouillait le con que mon mari connaissait si bien. Il pensait que je ne pourrais pas
me donner aussi totalement à un autre homme et pourtant…, il éprouvait un plaisir
extraordinaire à me voir ainsi, possédée devant lui.
Je le cocufiais et cela
l’excitais.

J’ai crié lorsque j’ai été emportée par un orgasme violent, je haletais, criais : "
Ohhhhhhhh !!!!! Chériiiiii !!!! Jean-Paul me fait jouir ! … Je jouis !... Tu me
vois ?... Il me fait jouir… Oh, c’est bon ! … Tu aimes qu’il me baise ? … Tu le
vois ? … J e sens sa queue qui cogne tout au fond… I l me défonce… J’aime !!!!!!… Tu
vois comme il me baise bien à fond ? … Tu aimes me voir jouir avec une autre bitte
que la tienne en moi ?… T u veux bien mon chéri qu’il jouisse en moi ? … J’en ai
envie… Tous les hommes que tu voudras ce soir, mon petit mari chéri... Oui tous… Je
suis une salope… J’aime me faire baiser… J’aime me faire baiser devant toi... Je me
donne… Je suis une pute... Ta petite pute d'amour... C’est trop bon … Je
jouiiiiiiiiiis ! Ouiiiiiiiiiiii !".

Mon mari bandait toujours comme jamais, à en avoir mal.

Cet homme me besognait sans préservatif toujours de plus en plus vite, je râlais de
plaisir, de me faire prendre ainsi. Il poussa un grognement en jouissant. Je sentais
les soubresauts de son sexe qui déchargeait tout son sperme tout au fond de ma petite
chatte et soudain, j’ai crié : " Vas-y, donne moi tout Jean-Paul !… Je sens les
spasmes de ta bitte dans ma chatte... Je sens que tu décharges en moi !… Que tu te
vides dans mon ventre !… OOOOOOOH ! Que c’est bonnnnnnnnnn !…"

Après avoir longuement juté au fond de moi, Jean-Paul s’est retiré. Les yeux de mon
mari étaient rivés sur ma chatte béante, pleine du foutre crémeux, je l’ai regardé en
me tortillant et je lui ai dit tout en souriant :
"Jean-Paul m’a fait jouir très fort, tu sais mon chéri ! … Qu’est-ce qu’il m’a mis ! …
Son sexe a remplie complètement ma petite chatte si serrées… C’est bon de se laisser
aller… C’est à ton tour de me baiser maintenant, tu vas jouir aussi dans mon ventre !…
Dis-moi que tu veux bien ?… Dis-moi que ça t’excite de me voir faire l’amour avec
Jean-Paul, Dis-moi que ça t’a excité de me voir prise par notre ami…, d’avoir vu sa
grosse queue pénétrer ma petite chatte toute étroite et jouir en moi ? … "

Et en regardant mon mari, je me suis adressée à Jean-Paul, qui ne débandait pas, en
lui disant : " Jean-Paul, reprends-moi encore, fais-moi encore l’amour… J’ai encore
envie de sentir ton sexe dur en moi, dans ma petite chatte… Tu vois, Pierre aime voir
sa petite femme se faire baiser, mon mari aime voir que tu me sautes… alors vas-y,
profites-en, ne te gênes pas... Je sais bien que tu as toujours été amoureux de moi et
que tu as toujours eu envie de coucher avec moi… mais nous ne l'avons jamais fais par
déférence pour nos conjoints. Ce soir tu as l'autorisation de Pierre et en plus ça
l'excite...Alors profites-en !... Fais-moi l'amour… Prends-moi encore… Tu vois Pierre
n’est pas jaloux, ce soir il m’offre à toi... Baise-moi mon Jean-Paul, j’ai envie de
toi autant que tu as envie de moi…"
M’adressant à mon mari :
"C’est toujours ce que tu veux, n’est-ce pas mon Chéri ?… Que je sois un peu salope ce
soir…".

Jean-Paul a voulu me reprendre de la même manière, moi étendue sur le dos et lui par
dessus en missionnaire. Mais je l’ai fait se coucher, lui sur le dos, je suis monté
sur lui à califourchon, j’ai pris sa bitte dans ma main droite et je l’ai introduite
moi-même dans mon vagin. Je me suis assise sur lui, il s’est enfoncé tout au fond de
moi, je me suit penchée en avant pour offrir ma bouche à celle de mon amant et en
présentant mes fesses que j’écartais, j’ai dit à mon mari : "
Viens mon chéri… Encule-moi, encule-moi pendant que Jean-Paul me baise, j’ai souvent
rêvé de me faire prendre par deux hommes à la fois… Vas-y, mon chéri, encule-moi
pendant que Jean- Paul m’enfile par-devant dans ma petite chatte… ".

Pierre voyait la bitte de Jean-Paul enfoncée dan ma chatte dégoulinante de foutre et
ma rosette qui palpitait, mon mari est venu derrière moi, il s’est placé entre mes
jambes, il a pointé sa verge sur mon anus, j'ai poussé. Mon mari s’est planté dans mon
cul, j’ai eu mal… Je criais… Il m’enculait, je sentais la queue de Jean-Paul bien
enfoncée près de la sienne. Fou de désir, ils me bourraient à fond tous les deux, ils
m’arrachaient des cris de douleurs et de plaisirs, ils me défonçaient brutalement dans
un rythme frénétique, j’hurlait ma jouissances. Mon mari me traitait de tous les noms
et Jean-Paul en rajoutait.
Secouée de partout, empalée par deux bittes qui me défonçaient, je m’abandonnais
entièrement, je grognais et gémissais. Je sentais le sperme de mon mari monter le
long de sa queue mais il s’est retenu le plus longtemps possible pour finalement
exploser en une succession d’éjaculation dans mes intestins.
J’ai entendu Jean-Paul gueuler quand il a foutu une deuxième fois toute sa sauce au
fond de mon con en me traitant de putain de salope. Je n’étais plus qu’une femelle
prise des deux côtés dont ces deux hommes jouissaient en se vidant les couilles dans
mes orifices après m’avoir câlinée, caressée, léchée, pénétrée pour me faire jouir…
Puis ils se sont retiré de moi, Jean-Paul est allés à la salle de bain, il s’est
rhabillé, m’a encore embrassée à pleine bouche, m'a dit doucement à l'oreille :
"Je te rappelle dans la semaine…"
puis a passé une main entre mes cuisses et a glissé un doigts alternativement dans ma
petite chatte puis dans mon petit trou du cul en remerciant mon mari de lui avoir
offert cette soirée mémorable.

Notre ami parti, je suis allée prendre une douche pour vider et laver mes orifices
souillés du foutre de ces deux hommes qui se sont déversés en moi et qui m’ont fait
tant jouir je ne sais combien de fois.

Pierre et moi nous nous sommes écroulés de fatigue sur notre lit dans notre chambre,
je me suisblottie dans ses bras en le remerciant de ce qu’il m’avait offert et j’ai
dormie jusqu’à midi.
Lorsque je me suis réveillée, j’étais de très bonne humeur…. J’ai appelé mon mari au
téléphone, la seule allusion à notre nuit de débauche a été de dire malicieusement à
mon mari :
" Qu’est-ce que j’ai mal… aux fesses ! "….


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!