Comment Devenir Un Cocu Soumis

C’est un très long chemin qui m’a amené à devenir aujourd’hui un cocu à temps complet.
Mon histoire, j’ai pour mission de vous la raconter.
Le fait qu’elle soit publiée ne fait que renforcer mon plaisir.
Bien entendu, je reste malgré tout anonyme mais afin de rendre ce récit plus excitant pour ma femme et son amant et aussi
pour moi, il est truffé de détails absolument réels sur les lieux notamment.
Cela fait plus de dix ans que le désir obsessionnel de devenir cocu m’a saisi. Il ne m’a plus quitté.
La route a été longue donc et si je vous raconte aussi la première partie, c’est parce que je pense que peut-être elle
donnera des idées à ceux qui rêvent de devenir cocus et soumis sans que leur femme rentre dans leur jeu.
Auparavant, je crois qu’il est utile de vous présenter mon couple.
Mon épouse s’appelle Christiane.
Il y a dix ans, elle avait 36 ans. C’était déjà une femme ronde. Nous sommes tous deux très amateurs de gastronomie et
peu soucieux de régimes amaigrissants. Bref, elle ne ressemblait pas à des couvertures de magazine. C’est justement ce
qui me fascinait. Bref, elle avait déjà à l’époque tout ce qu’il faut côté poitrine mais surtout une grosse paire de fesses très
proéminentes.
Pas une gravure de mode, je vous l’ai dit, mais une femme très potelée de partout. Un mannequin aux mensurations
idéales qui se montre, c’est pour moi à peine érotique alors qu’une femme ronde qui malgré ses défauts se montre
représente pour moi le sommet de l’obscénité. C’est comme-ça. On ne se refait pas.
Nous habitions déjà Chatou à cette époque, une maison sans prétention mais très confortable et surtout très tranquille
avec un petit jardin. Christiane travaillait encore à cette époque dans une boite américaine du côté des Champs-Élysées.
Bien sûr, dans son activité professionnelle, Christiane portait des tenues on ne peut plus sages, généralement des robes
amples destinées à cacher ses formes.

Ce qui n’était pas le cas à la maison, entre nous.
C’est à cette époque que nous avons commencé à dévaliser les magasins de lingeries spécialisés. Pas des choses bcbg
non, mais plutôt tout un arsenal de de tenues fétichistes, du genre porte-jarretelles, gaines, guépières, corsets, soutien-
gorge à bouts ouverts, talons aiguille, bas etc.. Nous avons aujourd’hui à Chatou deux grandes armoires pleines de ces
accessoires qui racontent toute notre vie sexuelle.
Sans parler des chemisiers et des jupes, longues ou courtes que nous choisissions toujours deux tailles en-dessous de
manière à ce que Christiane, dans l’intimité je précise soit très boudinée et disons le mot vulgaire.
Cette métamorphose d’une femme sage et peu provocante en créature vulgaire et débordante de partout m’enchantait.
Quant à Christiane, elle était plutôt ravie du regain d’attention que je prêtais à sa ronde personne et elle se prêtait de
bonne grâce à mes petits délires vestimentaires.
Elle et moi appartenons à cette génération de gens qui ont tout consacré à leur travail, ce qui fait que nous avons repoussé
encore et encore la décision de faire des s pour finalement ne pas en avoir.
Cette situation fait que nous disposons de tout notre temps pour nous et que la maison nous est toujours disponible pour
nous seuls. L’égoïste a certains avantages…
Quant à moi, j’ai dix ans de plus que Christiane. Rond moi aussi, gastronomie oblige, j’ai crée à cette époque une petite
boite informatique qui traverse la crise sans trop de dégâts. Nous n’avons donc pas de problèmes d’argent et cela fait
maintenant trois ans que Christiane a cessé toute activité professionnelle.
Je n’ai jamais été un étalon et j’ai toujours eu une sexualité d’homme soumis, même si je ne le savais pas très bien
encore.
À chaque retour de nos périples dans les magasins de Pigalle, c’est moi qui la déshabillait pour mieux la rhabiller après et
la transformer en cette créature érotique qui me rendait fou d’amour et de désir pour elle.

J’en profitais toujours pour la caresser et la lécher des pieds à la tête et j’étais capable, je le suis toujours, de la regarder
pendant des heures évoluer devant moi en me faisant profiter de ses tenues et en me branlant sans me faire jouir. J’aime
tellement ces moments que je les rends interminables.
Je pénétrais très rarement Christiane, par contre j’étais capable de la lécher pendant des heures, son cul d’abord, je ne
m’en lasserai jamais, et enfin son sexe. Même pas de godes, juste ma langue qui passait des journées entières entre ses
cuisses, ce qui semblait lui convenir.
Ce qui devait arriver arriva. Pour garder le souvenir de tous ces moments merveilleux, j’ai commencé à la photographier.
D’abord des poses érotiques sages, puis avec le temps, de plus en plus obscènes.
Aujourd’hui, nous avons plus de 5000 photos de Christiane.
Si ma nature de mari soumis se dévoilait de plus en plus, Christiane n’avait aucun penchant pour la domination. Je dirai
même qu’elle se montrait plutôt obéissante et qu’elle prenait toujours toutes les poses que je lui demandait, dans les
tenues que je lui choisissais. Elle exécutait même devant moi toutes les danses fessières possibles et imaginables sans
jamais y trouver à redire, car bien sûr, j’avais aussi fait l’acquisition d’une petite caméra numérique dès qu’elles sont
sorties.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, me direz-vous, si ce n’est que j’ai commencé à être habité par une
seule obsession, la montrer à d’autres hommes.
Cette idée ne me quittait plus. À chaque photo que je faisais, j’imaginais un homme caché derrière moi et qui regardait la
scène. C’était devenu insupportable.
Faut-il préciser que je n’en touchais pas un mot à Christiane, certain que cela allait foutre en l’air notre belle complicité.
Les hommes croient toujours que leur femme est hermétique à leurs fantasmes.

Il y a dix ans, internet n’offrait pas toutes ces possibilités de rencontres qu’il y a maintenant. La ode était plutôt aux
magazines de rencontres que je lisais en cachette.
Et c’est comme-ça qu’un jour, je suis tombé sur l’annonce d’un homme qui se présentait d’âge très mûr et qui recherchait
un mari plutôt soumis qui lui montrerait des photos de sa femme et serait puni pour cela.
Je vous passe les précautions que j’ai prises avant cette rencontre, tant et si bien qu’un jour, je me suis retrouvé dans
l’arrière-salle d’un café du 7ème arrondissement à présenter à un inconnu une centaine de photos de Christiane dans des
poses qui ne cachaient absolument rien de tous les détails de son intimité.
Ce fût un moment inoubliable.
Le monsieur devait bien avoir soixante-dix ans. Sur chaque photo, il prenait son temps, faisait des commentaire. Par
chance les grosses fesses de Christiane semblaient l’inspirer, ce qui était loin de me déplaire. Et surtout, n’oublions pas
que les photos montraient aussi le visage de ma femme. C’est toute l’intimité de notre couple qui s’étalait sur la table.
J’étais dans un état d’excitation incroyable.
Le Monsieur était lui aussi ravi, la situation lui plaisait.
Le jeu pouvait commencer me dit-il.
Il me fixait rendez-vous la semaine suivante, même café. À un condition, je devrai venir avec dix grands tirages de
Christiane, debout, de face, jambes écartées, doigts écartant sa chatte, visage apparent, bouche grande ouverte, langue
tirée. Même chose de dos, fesses écartées, trou du cul parfaitement montré, visage tourné vers l’objectif, langue toujours
tirée.
Je devrais faire ces photos en pensant à lui. Dernière condition, si je revenais à ce rendez-vous avec ces photos, je
devrais accepter d’ores et déjà de les lui laisser. Eh oui. Pour que notre liaison fonctionne, m’expliqua-t’il, il fallait que je
me sente dépendant de lui, c‘était comme-ça, sinon inutile de venir.

Il n’avait pas tort. Ce qui ne m’a pas empêché de me r tout seul pendant toute cette semaine infernale.
Christiane ignorait bien sûr tout de cet entretien mais c’est avec son habituelle complaisance qu’elle se prêta aux photos. Il
serait toujours temps d’annuler ce rendez-vous, pensais-je pour me rassurer.
Je trahissais mon épouse bien aimée mais je ne pouvais pas faire autrement, c’était impossible.
Le deuxième rendez-vous fût très court. L’homme, que j’appelais dorénavant Maître prit les photos. Il ne nous restait plus
qu’à convenir d’un rendez-vous mais qui serait cette fois chez lui, la possession de ces photos lui garantissant ma
discrétion, ma ponctualité et mon obéissance, c’est le moins que l’on puisse dire..
À suivre





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