Initiation Aux Plaisirs Saphiques

L’histoire que je m’apprête à vous raconter s’est déroulée lors de ma première année en prépa lettres à Caen, et j’avais alors à l’époque 18 ans et demi. Je m’appelle Amélie, je suis brune, je mesure 1m73 et pèse 56 kilos. Je suis assez mignonne de mon point de vue, et très belle du point de vue des garçons. On m’a fait un jour remarquer que si je m’habillais de manière plus sexy, j’aurais l’apparence d’une véritable bombe sexuelle. Je ne suis pas comme ça, je n’aime pas jouer de mon apparence pour me faire des ami(e)s. Je m’habille simplement et ne me déhanche pas à chaque mouvement de jambes. J’avais eu au lycée plusieurs petits amis mais je n’avais perdu ma virginité qu’à l’age de 16 ans et demi avec un garçon un peu plus vieux que moi. Cette première véritable relation ne dura que peu de temps, car il n’a pas tardé à me tromper. Un peu refroidie par l’attitude des garçons, j’hésitais avant de renouveler l’expérience. Cependant, ayant découvert le sexe, je voulais quelqu’un qui s’occupe de moi, et au final, j’eus trois autres garçons dans mon lit avant la fin de l’année. Le dernier m’avait lâché parce que je refusais catégoriquement de le laisser me sodomiser et que je refusais d’avaler son sperme, comme les actrices le font dans les films pornographiques. Les raisons en étaient simples : d’après ce que m’avaient raconté une ou deux copines, la sodomie faisait très mal, les garçons y allant comme des brutes. Pour le sperme, je trouvais ça humiliant pour l’image de la femme, et de plus, assez dégoûtant. Il ne faut pas croire que je suis coincée sexuellement, bien au contraire, la suite de mes aventures prouvera que je suis assez libérée et que j’ai toujours envie d’essayer des choses nouvelles.

Avec mes autres amants, ils avaient bien accepté mon refus, mais pas lui. Ce qui fait que durant les grandes vacances, j’étais toute seule, malgré une ou deux expériences rapides en boîte, et que ma vie sexuelle s’est limitée à des masturbations le soir dans mon lit.

J’avais été initiée à la masturbation par ma grand sœur. Un soir que je rentrais à la maison, mes parents étant absents, j’entendis des petits gémissements dans la chambre de ma sœur. La porte n’était pas fermée, et de mes yeux écarquillés, je regardais intéressée, ma sœur, de deux ans mon aînée, sur son lit, la main dans la culotte. L’excitation s’empara de moi, même si j’en ignorais la raison. Soudain, Noémie, ma sœur, s’aperçut de ma présence et s’arrêta, gênée. Elle me fit signe d’approcher, chose que je fis en tremblant, car j’avais peur de sa réaction. « Tu étais là depuis longtemps ? » « Une ou deux minutes. » « Ah. N’en dis rien aux parents, s’il te plait » Heureuse de m’en tirer à si bon compte, elle n’avait visiblement pas l’intention de m’engueuler, je répondis « D’accord, mais pourquoi veux-tu que je le dise à papa et maman ? » Noémie me dévisagea et se mit à rire. « Tu sais ce que j’étais en train de faire, non ? » « Tu te masturbais … » Elle acquiesça puis me demanda « Tu l’as déjà fait ? » Je lui répondis que oui, comme à mes copines de l’époque lors de nos discussions. Si la ruse avait pris avec elles, ma sœur ne se laissa pas duper, me connaissant trop bien, elle vit que je mentais. Le rouge s’empara de mes joues. Noémie me proposa de me montrer. Elle retira sa culotte et me montra son sexe. C’était la première fois que je voyais un autre sexe féminin que le mien, et j’écoutais, attentive. Elle me montra les différentes parties, clitoris, lèvres vaginales, … puis, elle m’expliqua les manières de se faire jouir. Lorsqu’elle me parla de se doigter, j’eus un mouvement de recul, car je pensais qu’on devait réserver ça pour les garçons. Elle rit de ma bêtise et me démontra qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien, et que les garçons, eux, n’attendaient pas pour se masturber. Elle remit sa culotte et me fit un clin d’œil « Si tu t’ennuies le soir, fais-le, tu verras, tu y prendras du plaisir. » Nous sortîmes pour manger, parlant du sexe en général, ma sœur se révéla une source d’informations précieuses pour mes futures aventures.


Toutefois, là n’est pas le plus important, j’avais vu en détail un autre sexe féminin que le mien, et j’ai eu toujours une attirance secrète pour l’autre sexe. Si je vous ai parlé de cet épisode, c’est pour que vous comprenez mieux le plaisir que j’ai pris à ma première expérience lesbienne. A la fin de mon année de terminale, j’eus ma première relation sexuelle avec François, mon petit copain de l’époque (et toujours actuel). Il m’initia à la sodomie. Je le laissais faire sans doute parce que je le sentais bien avec lui. C’est la même raison qui me poussa à avaler son sperme, abattant mes vieilles inhibitions. Le goût se révéla un peu amer mais savoureux. C’est à partir de cet instant que me suis sentie prête à tout essayer au niveau sexuel. C’est vers la mi-février que ressortit mon vieux fantasme secret de faire l’amour avec une fille. L’idée m’était venue en me caressant devant des sites pour adultes, et notamment devant une scène impliquant deux jolies blondes très sensuelles. Une dispute m’avait provisoirement éloigné de François, et mes hormones réclamaient plus que ce que mes doigts pouvaient leur offrir. Je ne me sentais pas l’âme de le trahir en allant coucher avec un autre mec. Par contre, une fille …

J’avais à l’époque une amie de mon âge répondant au nom de Mélanie que j’appréciais mais que je ne voyais que de temps en temps. Je savais qu’elle était lesbienne et c’est avec elle que je décidais d’essayer d’avoir ma première aventure homosexuelle. Elle était un peu plus grande que moi, avait les yeux bleus et les cheveux châtain clair. Elle était très jolie, mais avait les fesses un peu plus larges que moi. J’ai su que je la désirais quand je m’aperçus que je jouissais à chaque fois que je me masturbais en pensant à elle. Je l’invitais un soir à travailler et à manger avec moi dans mon appartement. J’essayais de lui faire comprendre de manière très implicite ce que je voulais. J’ai cru que je n’y étais pas arrivée quand, à la fin de notre séance de travail, elle me donna un léger baiser sur mes lèvres.
Je restais un moment figée, un peu surprise car ne m’y attendant pas. Ce fut Mélanie qui rompit le silence « Comment as-tu trouvé cela ? » Je marquai une légère hésitation puis je répondis « Très bon » « Tu veux que je recommence ? » « Oui » Elle se rapprocha de moi et m’embrassa, osant même y mettre la langue. C’était délicieux. Elle embrassait mieux que n’importe quel garçon. Son contact était doux et subtil. Je répondis de mon mieux à ce baiser et savourais un maximum. Puis, nos lèvres s’éloignèrent. Excitée comme je l’étais, je commençais déjà à mouiller un peu, j’allais entreprendre plus mais Mélanie se détourna. « C’est la première fois que tu embrasses une fille ? » « Oui » « Tu voudrais qu’on aille plus loin ? » Je m’empressais de répondre « Oui. » « D’accord, mais pas ici. Ton appartement est sympa mais j’ai plus de place chez moi et on ne risquera pas de déranger les voisins ». J’appris au cours du dîner qu’elle n’avait jamais été avec un mec, et que sa partenaire était en vacances. Ayant chacune un partenaire, cette relation serait unique et ne se répéterait pas. Mélanie me dessina un plan pour aller chez elle, et me donna rendez-vous le samedi après-midi.

Une fois qu’elle fut partie, j’informais ma mère que je resterais sur Caen le week-end car j’avais du travail à finir. Ma mère approuva, les études étant une chose importante, et je raccrochais le téléphone. Cette nuit-là, j’allai vite me coucher pour repenser aux événements qui m’étaient arrivés dans l’après-midi. Le reste de la semaine passa très lentement, trop à mon goût, tellement j’étais pressée d’être samedi. J’eus beaucoup de mal à rester concentrée sur mon travail. Enfin, le jour fatidique arriva. Comment m’habiller ? Après quelques instants de réflexion, je me décidais pour un shorty et un soutien-gorge blanc, un jean, un t-shirt et un pull noir. Un peu de maquillage et j’étais presque prête. J’attachais mes cheveux en queue de cheval, tout en laissant quelques mèches libres sur les côtés de mon visage.
Je pris ma voiture et trouvais sans trop de difficultés la maison de Mélanie. Contrairement à moi, cette dernière habitait sur Caen. Une grande maison bordée par des haies. Je sonnais et Mélanie vint m’ouvrir. Elle était en short, et avait un t-shirt bleu marine. Elle me fit visiter brièvement la maison tout en m’expliquant que son père était avocat et qu’à cause de son travail, il était rarement là. La maison était entièrement à notre disposition et nous ne risquions pas d’être dérangées. Nous finîmes la visite par sa chambre. Une chambre typiquement féminine, bien rangée, des photos sur les murs, quelques peluches dans un coin, et un grand lit. Une odeur de parfum régnait dans la pièce. Mélanie me fit signe d’attendre tandis qu’elle allait chercher quelque chose. Elle fouilla dans un coin de son placard, et sortit une boîte en carton. Elle me fit signe d’approcher et l’ouvrit, me dévoilant son contenu. J’étais surprise : la boîte était remplie de godemichés, de vibromasseurs, de boules de geisha, de plugs anal, de deux tubes de lubrifiant et de 3 godes-ceinture. Il devait bien y avoir une vingtaine de jouets au total, de tailles et de couleurs différentes. J’étais surprise car je n’en n’avais jamais vu en vrai. J’avais trouvé sur le net un jour un site de sex-shop que j’avais regardé attentivement, mais je n’en n’avais jamais acheté un. Difficile de recevoir un colis, même discret, à la maison familiale, et, ma mère l’aurait vu sur les courriers de la banque donc même à mon appartement, je n’en n’avais pas. J’imaginais que l’absence de son père devait permettre à Mélanie de commander ce qu’elle souhaitait et qu’elle pouvait intercepter les factures. Elle nota ma surprise et afficha un sourire engageant « On les utilisera tout à l’heure ».

Elle posa près du lit le carton, et revint près de moi. « Prête ? » Je hochais la tête. Elle approcha ses lèvres des miennes et m’embrassa de nouveau pour la seconde fois de ma vie. Elle posa une main sur ma hanche et son autre bras autour de mon cou pour m’attirer encore plus. Nos langues se touchèrent, s’enroulèrent, nos salives se mélangèrent. Le baiser dura longtemps puis, nous nous séparâmes. « Tu sais que tu embrasses plutôt bien, mon ange ? » Je souris coquinement, devant la remarque, et surtout devant le surnom qu’elle m’avait donné. Elle m’embrassa de nouveau, mais cette fois-ci, ses mains s’activèrent à retirer mon pull. Nous retirâmes nos chaussures, puis revînmes à nos étreintes. Mélanie retira ensuite son t-shirt et m’incita à faire de même. Elle portait un soutien-gorge noir, et avait des seins un peu plus gros que les miens, mais un peu plus tombant également (du 90C à mon avis). Les shorts suivirent le même chemin que nos autres vêtements et nous étions désormais toutes les deux en sous-vêtements. Elle me fit signe d’aller sur le lit. Je m’allongeais sur le dos, sur une couette très moelleuse. Mélanie monta sur le lit et se coucha sur moi, sans m’écraser, et recommença à m’embrasser. Le contact dura bien plus longtemps que la moitié du temps que les garçons consacrent aux préliminaires. Je redressais mon dos, histoire de prendre les devants, et à son initiative, je fis comme elle me fit, je lui retirais son soutien-gorge. J’eus envie de lui retirer son string, mais je préférais la laisser m’embrasser le lobe des oreilles, le nez, puis la nuque, et descendre le long de ma poitrine. Mes seins furent rapidement couverts de petits bisous et de caresses de ses doigts, puis, elle se concentra sur l’aréole au bout de mes seins. Elle le lécha, le suça, de la même manière qu’un bébé tête, changea régulièrement de sein pour appliquer le même traitement qu’à l’autre. Ma vulve s’humidifia, et la pointe de mes tétons se durcit. C’est ce genre de chose que je regrette que les mecs ne sachent pas faire, mais sans doute le contact plus doux fut pour quelque chose dans mon orgasme. J’haletais, je sentis également mes joues rougir, le délicieux contact de Mélanie m’ayant donné des bouffées de chaleur. Dans un dernier baiser sur la nuque, elle me souffla dans l’oreille « A ton tour maintenant ».

Elle bascula sur le dos et je mis en application ce que j’avais appris il y a peu. Le refaire fut quelque chose de bizarre car avec les garçons, tout au plus faisais-je des petits baisers sur leur poitrine, mais pas aussi longtemps. Je m’appliquais à ma tâche et je sentis la pointe de ses seins durcir sous l’action de mes lèvres. Contrairement à moi, qui étais terriblement excitée, Mélanie, elle, appréciait mais ne jouissait pas encore. Au bout d’un moment, elle se dégagea de moi et se pencha sur le côté du lit où elle avait déposée son carton de jouets. Elle fouilla rapidement et revint à mes côtés avec un vibromasseur de belle taille dans sa main gauche. Elle se rapprocha de mon entrejambe et , avec mon aide, retira ma culotte, dévoilant un fin rectangle de poils sur mon pubis et mon sexe humide. Elle retira son string afin de se masturber avec sa main droite, tandis qu’elle actionnait le vibromasseur et le passait sur mon clitoris et les lèvres de mon vagin. Le silence qui jusque là avait à peu près envahi la pièce fut brisé par le ronronnement du vibromasseur. Les vibrations me firent penser au frottement des sexes d’un couple, mais en plus intense. De la cyprine s’écoula encore de ma vulve, et lubrifia en partie le vibromasseur. Mélanie positionna ce sexe factice devant l’entrée de mon vagin, et doucement, me pénétra. Une fois l’objet en place, elle cessa de le remuer et de le tourner pour venir me sucer le clitoris. L’action de sa langue cumulée avec elle du vibromasseur eut pour effet de me faire jouir encore plus. Je me rappelle avoir basculé la tête en arrière, et fermé les yeux, en poussant un grand cri de plaisir. Elle retira alors le vibrateur de son emplacement et lapa ma jouissance à coup de langue. Elle se leva et resta debout près du lit « Fais-moi un cunnilingus, mon ange » Je me levais à mon tour, et me plaçais devant son sexe, à genoux. Je replaçais les mèches de mes cheveux à leur place, et approchais ma bouche de son pubis. Je léchais consciencieusement les lèvres de son vagin, introduisant ma langue à l’intérieur de temps en temps puis la ressortais pour aspirer son clitoris avec mes lèvres. La réaction ne tarda pas et de la mouille s’écoula de sa vulve. J’attendis quelque peu, hésitante, n’ayant jamais goûté la jouissance d’une autre femme. Je me décidais rapidement cependant, et vint lécher les gouttes de cyprine à la source. Contrairement au sperme, la jouissance d’une fille est plus liquide, mais plus délicieuse, sans le goût amer. Je comprenais enfin l’empressement des mecs à me lécher après mes orgasmes. Je recommençais l’opération afin de satisfaire encore plus ma chérie. J’aurais pu continuer des heures. Etant une fille, je sais que cela ne dure jamais assez, les hommes considérant ça seulement comme un préliminaire à leur propre plaisir, alors que les filles aiment beaucoup ça, surtout celles qui sont clitoridiennes, comme c’est le cas de Mélanie. Pour ma part, je suis plus vaginale et préfère donc l’insertion de doigts ou d’objets dans mon sexe. Un ou deux orgasmes plus tard, j’arrêtais, la langue un peu fatiguée après tant de léchage.

Elle me regarda dans les yeux et me demanda « On t’a déjà sodomisée ? » « Oui » « Tu voudrais que je te le fasse ? » « Si tu y vas doucement … » Je regrettai cette remarque sitôt l’avoir dite car Mélanie avait été jusque là très douce avec moi et connaissant la sensation, j’étais sûre qu’elle ferait attention. Elle m’ordonna de me mettre à quatre pattes sur le lit et de la laisser faire. Elle sortit plusieurs objets du carton qu’elle déposa sur le lit. Je reconnus un plug assez gros, un tube de lubrifiant, un préservatif et un gode-ceinture avec un gode interne. Je relevais un peu mon fessier, comme pour lui prouver que je n’avais pas peur. Elle dévoila mon anus en écartant mes fesses, me fit un petit anulingus et appliqua une noisette de lubrifiant sur ma rondelle. Elle l’étala et introduisit le début d’un doigt, puis, visiblement satisfaite, elle enduisit le plug avec une autre noisette de lubrifiant. « Tu vas peut-être avoir un peu mal » « Ne t’inquiète pas et vas-y ma chérie » Elle nota d’un sourire ce terme affectueux et commença à introduire le plug dans mon anus. Le début entra sans difficultés, le lubrifiant agissant. Mais un plug est fin au début et s’élargit de plus en plus (d’où la forme de cône) et j’eus mal lorsqu’elle continua sa besogne. Je serrais les dents le plus fort possible et plissais le nez. Mélanie rajouta un peu de salive et recommença. Je me sentis vraiment pleine avec cet objet en moi lorsqu’il fut entièrement placé, seule sa base l’empêchant d’entrer entièrement dans mon anus. « Tu devrais voir le plaisir qu’on a, à le porter pendant une journée normale »

A ces mots, mon esprit se mit à imaginer la sensation qu’on devait avoir à marcher, à s’asseoir ou à faire des activités demandant des mouvements. Je profitais du temps bref qu’elle me donna en s’harnachant du gode-ceinture, pour me doigter un peu. Lorsqu’elle s’agenouilla devant mon visage, je vis un gode rouge transparent fixée sur elle grâce à la ceinture, lui donnant subitement une allure masculine. Elle le présenta devant mes lèvres et je me précipitais pour le sucer. Une fois lubrifié, Mélanie se plaça derrière moi et m’enfonça le gode dans mon vagin et entreprit des mouvements de vas et viens. C’est à ce moment que je ressentis le plein effet du plug. Mélanie me pénétrant assez violemment, plus que ce que j’aurais cru qu’elle ferait, mon corps bougeait aussi et je sentis le plug bouger en moi. Est-il besoin de préciser que j’ai joui violemment à cet instant ? Elle me ramona encore pendant une quinzaine de minutes, je crois, puis elle retira le plug et le remplaça facilement par le gode qu’elle maniait avec dextérité. Une fois le gode retiré de mon anus, je me suis effondrée sur le lit, et Mélanie est venue me rejoindre. Nous prîmes quelques minutes de repos puis elle me proposa que ce soit moi qui la sodomise mais sans le plug. L’idée me plut et je pris le gode-ceinture qu’elle me tendit et m’harnacha. J’eus un peu de mal avec le gode interne, ce dernier n’étant pas vraiment bien positionné devant mon vagin.
Une fois que je constatais que tout était bien en place, je me plaçai derrière Mélanie et lubrifiai le bout du gode avec sa mouille. J’appuyais l’extrémité du gode devant son anus et j’eus la surprise de constater qu’il entra sans problème. Soit la cyprine est un excellent lubrifiant, soit elle avait l’habitude d’avoir quelque chose dans l’anus. Probablement la deuxième suggestion était bonne car je me rappelais qu’elle avait parlé de passer une journée avec un plug dans l’anus. A sa demande, je donnais des coups de reins plus puissants.

Quelques minutes plus tard, nous arrêtâmes. Là encore, nous reprîmes notre souffle. Je me serais bien arrêtée là mais une dernière suggestion de Mélanie me redonna des forces. Elle posa les jouets utilisés par terre, et alla prendre un objet dans son placard. Elle me le montra. Il s’agissait d’un double gode bleu, c’est à dire un long gode à deux extrémités. La première pensée qui me vint fut qu’il s’agissait du jouet même pour lesbiennes. Mais je m’aperçus rapidement qu’il était souple et qu’il devait être facile de se combler l’anus et le vagin avec. Je retournai à quatre pattes sur le lit et elle m’inséra la moitié du gode dans le vagin puis elle se plaça dans la même position que moi, fesses contre fesses, de façon à ce que chaque extrémité du gode aille dans notre vagin. Elle m’enfonça un peu le gode dans le vagin lorsqu’elle s’inséra l’autre extrémité dans son sexe. Quand l’une de nous s’empalait sur le gode, frottant ses fesses contre l’autre qui se retirait légèrement. Ensuite, la première se retirait tandis que la seconde s’enfonçait sur le gode. Le rythme fut un peu dur à prendre mais nous y parvînmes et nous activâmes pendant un quart d’heure. Il restait une dernière chose à faire avant d’aller manger. Mélanie se coucha sur le dos, et moi sur elle, en sens inverse, de façon à ce que nos bouches soient positionnées devant nos sexes respectifs. Nos têtes s’enfouirent entre les jambes de l’autre et nous léchâmes la jouissance de l’autre dans cette position de 69, position dont je me fis la promesse d’essayer avec François la prochaine fois. Mélanie me bascula sur le côté, de façon à voir mon visage, et me parla « Comment as-tu trouvé ta première expérience lesbienne ? » « Je n’avais jamais rien connu d’aussi intense. Merci » Nous nous levâmes, nous embrassèrent encore une fois et nous dirigeâmes, entièrement nues, vers la cuisine. Un bon repas et nous repartîmes de plus belle dans le lit …


J’ai avoué cette expérience à François bien plus tard. Il a accusé le coup, mais cette expérience étant ancienne, il m’a pardonné rapidement. Il ne souhaite que mon plaisir, et m’a même proposé de recommencer si je le voulais, mais avec lui. Cette pénible révélation nous a finalement ouvert de nouvelles perspectives. La vérité vaut parfois mieux qu’un gros mensonge.

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