Frauder Le Train ...

Ceci est une histoire vraie et s'est passée l'an dernier...

Je me prénomme Kevin, j'ai 19ans, je suis officiellement hétéro, mais dans le fond, je pense que je suis bi... et tout les jours je prend le train pour aller étudier...

C'est l'été, mon abonnement a expiré, mais je dois me rendre à Rennes, ville ou j'allais quotidiennement, pour récupérer mon dossier scolaire. Habitant au Mans, le trajet n'est pas très long, ma principale occupation reste la lecture, ou écouter de la musique pendant le trajet... mais c'est l'été , et mon abonnement a expiré...

Je suis sur le quai, j'attends que le train ouvre ses portes. Je fais les 400 pas pour voir si des contrôleurs sont dans un des wagons. Je décide finalement d'y entrer en allant dans le dernier wagon, si les contrôleurs sont là, j'aurais peut-être le temps d'arriver à Rennes avant qu'ils arrivent jusqu'ici. Comme je suis au fond, je suis seul, enfin, c'est ce que je pensais...

Je suis assis dans le sens de la marche, cela fait bien 10 minutes que nous sommes partis, je prépare mon iPod, m'apprette à mettre Lecture, et soudain, un bruit mécanique, une serrure, une poignet qui se baisse... La porte du cockpit arrière du train s'ouvre, et un jeune homme en sort... portant l'uniforme que je craignais...

il regarde par la vitre du train, je me rassure comme je peux, il est jeune, sûrement un stagiaire d'été, il est seul, et en générale, les contrôleurs ne contrôle qu'en équipe... Il n'a pas l'air à l'aise, je le vois qui me regarde discrètement, comme hésitant à venir me parler...

5 minutes se passent, il tourne en rond sur la plateforme du wagon, je suis assis, regardent à travers la vitre pour voir le paysage, et j'entendis enfin sa voix, tremblotante..

"Bonjour, Vérification des titres de trans...ports s'il vous plait..."

Je suis pris, je pensais qu'il serait venu parler avec moi, car je pense qu'on a le même âge.

.. il n'en ait rien, il hésitait simplement à exécuter ceux pour quoi il est payé... je bredouille un mensonge improvisé..

"euh... j'suis désolé, j'ai réalisé une fois dans le train que mon abonnement scolaire ne marchait plus l'été, j'ai.. euh, j'ai pas de ticket..."

il me demande de le suivre d'où il était sortie au départ, pour "régulariser mon voyage"...
Ca ressemble vraiment à un cockpit d'avion ces endroits, avec une vitre panoramique, on y voit tout, et de l'extérieur, on n'y voit presque rien...

J'ai du mal à le vouvoyer , il est sûrement plus jeune que moi, je ne veux vraiment pas être verbalisé, j'ai pas de taf pour l'été, donc pas d'argent... et je vais sûrement me faire par mes parents s'ils apprennent que je n'ai pas payé le train...

-"C'est pas possible de juste me vendre un ticket?"
-"Il aurait fallut venir me voir dès le début monsieur"
-"Mais j'savais pas que vous étiez là"
-"j'étais pourtant en dehors du wagon avant qu'il ne démarre"
-"S'il vous plait Monsieur, t'es.. enfin vous êtes étudiants comme moi non?"
-"Oui et alors? ca change quoi?"
-" bah on peut pas s'arranger? j'vous paye à vous! ca te fait un peu de d'argent"
-"jsuis stagiaire ici, jvais pas commencer à magouiller"
-"mais personne ne le saura si personne le dit, ca arrange tout le monde"

Il semble décider à vouloir faire un travail propre... je stresse, commence presque à trembler et ne sais vraiment plus quoi dire pour le faire changer d'avis... et c'est à ce moment que j'eus une pensée, qui m'excita comme jamais, mais qui comme d'hab reste enfouis en moi, pensées que je laisse exprimé le soir uniquement, quand je me masturbe...

-"48€ euros s'il vous plait" / -"j'peux payer en nature si vous voulez monsieur.."

nous avons parlé en même temps, qu'est ce que je viens de dire... je suis tout rouge, je tremble et rapidement fait comme si je n'avais rien dit.
.

-"48€? ok... mais j'peux pas payer là..."
-"ce n'est pas grave, vous avez une semaine je crois.."

je suis énervé, je pense qu'il a tout de même entendu ce que j'ai dit car il est vraiment rouge écarlate... je suis dépité, frustré, j'ai presque envie de le taper... et soudain, me vient à l'esprit cette idée...

-"Et si j'dis que vous avez voulu magouiller avec moi en me disant dvous filer dla thune?"
-"Ca ne marche pas comme çà vous savez, personne n'y croira"
-"bah c'est quand même la parole d'un client contre la parole d'un stagiaire..."

Il ne répondit plus, à ce moment précis, j'avais enfin le dessus.

j'avais gagné, je pouvais enfin arriver à Rennes, et gratuitement... le pied!
je me dirige vers la porte, il est face à moi et la porte est fermé.. il pris peur

-"Qu'est ce que vous allez me faire?"
J'avais juste l'intention de sortir de ce train, mais là...

je m'approche tout près de lui, il me demande ce que je fais et là je dis tout doucement
-"t'as entendu ce que j'ai dit tout à l'heure?"
-"euh, oui, mais hors de question, c'est bon, vous pouvez part..."

je lui ais coupé la parole, non pas en parlant, mais lorsque j'ai soudain approché ma main de son entre jambe... et tout doucement je caressais son membre...

-"j'suis pas pd, arrete steuplait"

pas gay, ok, pourtant, il commencait vraiment à bander...
j'ai décidé de ne plus rien dire, j'ai juste demandé si la porte pouvait être ouverte de l'exterieur, il me dit oui, mais à peine 2 seconde plus tard, après un long soupir m'avoua que non..

j'avais le dessus, mais maintenant, je veux qu'il l'ait...

"j'ai eu ce que je voulais, maintenant, jvais être toute docile, tu n'est pas pd, alors ferme les yeux, et imagine une fille à ma place"

je glisse ma main sous son pantalon, son uniforme qui me faisait peur me fait maintenant bander à mort.
.. je l'embrasse, lui roule une pelle d'enfer...

-"je suis ta pute maintenant..."

je sent ses mains qui s'emparent de mes fesses, ca me fait tellement de bien, il transforme mon boxer en string, ca me serre, ca m'excite, je le branle doucement dans son pantalon...

je me met à genoux, dézippe son pantalon, et fait resortir son membre, petit mais tellement alléchant...

je le regarde droit dans les yeux, et j'engloutie son membre... facilement, mais avec tellement de plaisir... il est en train de me dépuceler les levres...

mes mains caressent ses belles couilles, je peux quasiment avaler son membre en entier, il soupire de plaisir...

-" tu aimes mon amour?"
-" oh oui... oh putain... c'est bon, n'arrete pas..."
-"tu m'aimes mon amour?"
-" oh oui je t'aime, je t'aime..."
-"continue tes mots doux mon amour..."

il n'arreta pas de parler, continuant de répéter "je t'aime mon coeur, je t'aime, hannnn... "

ca m'excitait, je voulais gouter son jus... je voulais qu'il jouisse en moi"

-"mon amour, je veux te gouter..."
-"pas tout de suite mon coeur, pas tout de suite"
j'accèlere et dit "si tout de suite, tout à l'heure tu auras tout le plaisir de venir en moi"
je le branle, et m'écarte, j'ouvre grand la bouche, je le doigte furtivement avec un doigt tout en le branlant, ce qui lui déclencha un orgasme puissant, j'en avais partout sur le visage, et dans la bouche... je pensais que ce serait dégueulasse... et pourtant, c'est si bon...

je me sent esclave, je me sent pute, et je me sent aimé par ses "je t'aime"
c'est si bon... il s'assis sur le seul siege de la pièce, je m'assis sur lui, les jambes autour des siennes"

-" moi aussi je t'aime mon amour, tu as un très bon gout, et j'étais vierge avant toi"
il crut peut-etre que j'étais une vrai salope, il semble réjouit par ce que je viens de lui dire.
..
il sourit, et je lui demande s'il voulait aussi gouter, il haussa la tête et je l'embrassai...

j'ondulais mes fesses sur lui tout en l'embrassant, ses mains, comme par reflex, se mirent sur mes fesses... je veux lui faciliter la tâche, je me releve, et je me met nue devant lui

"doigte moi mon amour..."

il s'y prenait bien, enfin je pense, en tout cas, mille fois mieux que lorsque je me le faisais moi même...

je pris sa place, m'assaya, et lui demanda de me relever les jambes... il a vite compris et écarta mes jambes de chaque coté du siège, et me doigta, il n'arrétait pas d'humidifier ma fente...

-"fait moi l'amour mon coeur... jouit en moi"
-"je n'ai pas de preservatif je suis désolé"
-"aime moi, fait moi l'amour!!! jveux te sentir profondément en moi, je veux sentir ton jus couler en moi..."

un doigt... deux doigt... trois.. aie... j'avais mal...

je voulais sa bouche... il se fit pas prier et s'arréta pour se mettre à coté de moi, il me pris les levres et me branla très rapidement...

"hummm... je t'aime! jveux qu'on fasse plus qu'un! reviens t'asseoir..."

il repris sa place, je me mit sur lui, son membre fin rentra sans difficulté... ca y est on ne fait plus qu'un, dans tous les sens du terme... il est en moi, et nous nous embrassons...

j'ondule sur lui pour donner le rythme, il m'embrasse comme un dieu... il fut surpris par le paysage et me dit "on arrive bientôt à Rennes..."

-"alors viens en moi mon amour, aime moi!"
-" je veux que tu m'aimes aussi..."

je souris, il s'abaissa un peu plus sur le siege, pour que je me redresse un peu plus, son membre rentrait encore plus en moi, et de cette manière, il pouvait me caresser la verge...

-" oh oui mon amour, viens en moi... jouit en moi.. je t'en supplie... je vais venir, jveux qu'on vienne en meme temps..."

il contrôla ses gestes sur mon sexe, jusqu'au moment où il les accéléraient, ce qui me fit comprendre qu'il allait venir... et c'était le cas...

C'était chaud, étrange, mais tellement bon... j'éjaculais sur lui, il en recu sur le visage... je suis rempli, je veux qu'il reste en moi...

je me repose sur lui, rince son visage avec ma langue, et partage mon jus avec lui...

-"oh je t'aime mon amour..."
-" moi aussi je t'aime..."

nous nous rhabillâmes, lui sans sa veste, car elle avait quelques tâches suspectes... avant qu'il ouvre la porte, je le plaquait contre cette dernière et l'embrassa sauvagement en serrant son sexe...

je lui murmure "je reprend le train demain à 10heures..."

il sourit et me répondit "j'y serais, mais je ne travailles pas..."

j'ai annulé mes vacances d'été entre potes, et je suis parti, avec un pote... mon amour...




-"oui jsuis étudiant



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