Les Doigts De Mon Voisin

J'étais jeunot et je me branlais très souvent en pensant aux keums que j'avais vus.
Un soir, je me promenais seul dans la rue et je sentais comme une atmosphère électrique dans l'air. Je me dis que c'est ce soir là que je franchis le grand pas.
Dans ma ballade, je passe sur une place et je suis interpellé par des hou, hou et sifflets. C'était des copains du lycée qui étaient à la terrasse d'un café,qui me voyant se sont manifestés pour attirer mon attention et m'inviter. Quand je les vis, j'ai compris que mes intentions étaient vaines et qu'il me fallait me contenter de quelques bourrades de camarades d'école.
Sur une dizaine, seulement trois étaient de ma connaissance. Je les saluaient tous, puis je fus invité à aller m'asseoir à côté de Sébastien, une grand blond aux yeux bleus.
Nous avons rigolé toute la soirée et nous avons également picolé toute la soirée.
Il faisait presque noir sur la terrasse et nous distinguions à peine les visages en face de nous. Soudain, j'ai senti une main se poser sur ma cuisse. Je fus surpris, mais ne trahissais pas mon étonnement et continuais à rigoler comme si de rien était. La main bougea, et habilement, vint sur ma braguette, déformée par ma bite en feu. Les doigts de mon voisin auscultèrent bien ma tige à travers le tissu de Jean', puis avec délicatesse je sentis le zip descendre. Je ne pouvais plus manifester ni bouger et me laissais faire ! La main plongea directement derrière l'élastic de mon slip et pris ma tige à plein. Il me tripota, tritura, caressa, décalotta jusqu'à ce que je jouisse dans sa main. Personne ne pouvait imaginer ce qui se passait sous la table. Je vis que discrètement, il ramena sa main à sa bouche et je l'imaginais avaler mon jus encore chaud.
Après s'être délecté, il reposa sa main sur ma cuisse et avec une main il remis mon sexe un peu ramolli dans mon slip, puis referma ma braguette comme il 'avait trouvé en arrivant.
Un commença à dire qu'il allait se coucher et les autres l'imitèrent.

Mon voisin, me dit "si tu veux, je te ramène chez toi" et bien sur j'acceptais. Il me dépucela, me défonça, me dévora toute la nuit. Quand il me quitta à l'aube, j'étais éreinté, épuisé et mon fond me faisait terriblement mal, mais j'étais tellement heureux

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!