Première Soumission

Tous les mecs flachaient sur elle. Il est vrai que Sophie était grande, mince, élancée, la poitrine généreuse, des jambes fuselées, l'allure sportive, tout pour plaire. Pourtant, on ne lui connaissait pas de copains. Ce côté, sûre d'elle inaccessible en excitait plus d'un. Un soir nous dînions avec des amis. So avait mis un haut léger, assez transparent et on voyait qu'elle ne portait pas de soutif. En bas, elle avait une longue jupe qui lui allait à merveille. Bertrand ne la quittait pas des yeux. Il était à côté de moi et je devinais une bosse sur son short qui commençait à enfler. La situation devenait cocasse. C'est à ce moment que je sentis un petit frottement sur ma jambe. Je ensais que So c'était trompé de personne et je ris intérieurement croyant comprendre pourquoi Bertrand était aussi émotionné. Je bougeais un peu mais le pied se déplaça avec moi. So avait enlevé sa chaussure et flattait mon mollet avec ses orteils. J'étais très gênée. Je le fus davantage quand après avoir avancé sa chaise elle en profita pour passer directement sous ma jupe jusqu'à ma culotte. Comme si elle savait exactement ce qu'elle faisait elle appuya sur mon clitoris. Je n'osais pas bouger de peur de dévoiler son jeu aux autres personnes autour de la table. Je lui adressais un regard interrogateur. Comme si de rien n'était elle poursuivait une conversation avec Sabine. Le pire est que je commençais à mouiller abondamment. Le stress d'être prise sur le fait et l'incongruité de la situation m'excitait. Elle accélérait et bientôt je ne pus me retenir et jouis (je suis clitoridienne). Je ne pus empêcher un gémissement de sortir de ma bouche même si j'essayais de le transformer un peu. Tout le monde sourit sauf So qui me demanda si j'allais bien. Elle jouais bien la comédie. Maintenant les gens croyaient que je faisais un malaise. Elle proposa de m'accompagner dans la salle de bain. Nous nous y retrouvâmes toutes les deux :
« Alors ça t'a plus on dirait ?
Oui, comme tu as pu le constater.


Attend, je ferme la porte et je vais voir ça de plus près, déshabille toi. »
Estomaquée par tant d'aplomb, j'obéis. Elle vint vers moi et enfonça directement deux doigts dans ma chatte. Elle commença des va et vient en me tenant contre elle. Jamais on ne m'avait fait ça. C'était à la fois brutal et doux. Je jouis à nouveau.
« Et bien, il ne t'en faut pas beaucoup pour partir. En tous cas, tu réponds bien. Je te propose de continuer à t'éduquer, car il s'agit bien d'éducation. Je serai ta maîtresse si tu le veux. Tu vois le plaisir que je peux te donner. Et bien si tu acceptes, je pourrais continuer à t'en offrir, mais pour ça, il faut que tu acceptes volontairement de devenir ma chose. »
Je ne comprenais pas. Je voulais juste jouir encore. C'est pourquoi, timidement, je dis oui...

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