Les Visiteurs 2

L’après-midi, après le déjeuner et une bonne sieste, je me mettais du vernis sur mes ongles de pieds près de la piscine quand on sonna. Il devait être dans les 16 heures et seule la bonne et moi étions à la maison.
Je continuai mon verni en m’assurant qu’on me voyait bien une fois depuis le portail.
J’étais assise par terre près de la piscine, la jambe gauche pliée. Ma mini jupe laissait entre voir mon minou et je faisais face pratiquement au portail en m’appliquant comme si j’étais très concentrée.
syl, la bonne alla ouvrir et du coin de l’œil, je vis entrer un homme. Il suivi la bonne jusque sur la terrasse puis il se passa quelques secondes avant que Syl vint me dire que l’homme demandait après ma mère.
« Merci Syl, je m’en occupe »
30 secondes plus tard, j’étais devant l’homme. Il était assis dans le canapé de la terrasse.
Il me raconta qu’il est un ancien camarade de classe à ma mère et qu’il était en ville pour un séminaire.
- Nous commençons dès demain et j’avais espéré lui dire bonjour de vive voix avant.
« Dans ce cas vous pouvez bien attendre un peu ? Elle rentrera au plus tard dans une demi-heure. »
(Bien entendu, elle ne rentrait pas avant deux heures de temps au plus tôt !)
- Cela me convient parfaitement mademoiselle.
« Très bien, je vous tiens compagnie...ça ne vous dérange pas que je continue mon vernis ? »
Comme il répondit qu’il n’était nullement dérangé, je m’installai à l’autre bout du canapé.
Mon pied gauche remonté sur le canapé pour facilité l’applicage du produit sur mes ongles, laissait à coup sur entrevoir mon entrejambe.
Mais le monsieur ne s’en était pas encore rendu compte. C’est quand je lui demandai pour quel sorte de séminaire il était en ville et qu’il regarda de nouveau dans ma direction, qu’il se rendit compte que ma jupe était très courte et que je ne portais pas de dessous.
Il avait commencé à répondre mais sa voix changea et il balbutia une réponse sans importance.


Je sentais son regard farfouiller du coin de l’œil entre mes cuisses et je laissai faire quelques minutes avant de me lever.
« Veuillez m’excuser une seconde, je vais ranger mes flacons et je reviens »
Une fois hors de vue, je revins mais du côté de la baie vitrée. Avec la lumière extérieure du jour, la vitre agissait comme une vitre sans tain et je pouvais voir l’homme sans qu’il ne sans aperçoive.
Je le vis changer de position à plusieurs reprises en ajustant quelque chose dans son pantalon.
En tout cas moi je savais de quoi il s’agissait. Alors je revins à la charge en retournant sur le canapé, près du monsieur.
En m’assaillant, je senti son regard humide et cela m’envoya une petite décharge dans le corps.
Je tenais mon pied replié vers moi en faisant semblant de chercher quelque chose qui me gênais.
Il fini par me demander ce qui n’allait pas.
Je mentis qu’une épine s' était sûrement fichée sous mon pied et il proposa de m’aider. Je me levai donc pour m’approcher et une fois en face de lui, je levai la jambe droite pour poser mon pied sur l’accoudoir du canapé. Evidemment, ma jupe trop courte devait lui offrir maintenant un spectacle beaucoup plus précis de mon intimité…mais je feignais toujours de ne pas m’en apercevoir.
Il eu du mal à se concentrer sur mon pied et sur l’imaginaire épine. Et la bosse sous sa braguette venait de gonfler démesurément. Cela me donna une idée très rapidement. Je commençai une phrase dans le genre : « regardez bien, l’épine est… » Et je m’interrompis brusquement en mettant ma main sur la bouche.
Il leva la tête et vit que je fixais sa braguette. Il balbutia quelque chose en croisant les pieds, l’air très gêné.
« Mais que ce passe t-il monsieur ? » Demandai-je en retirant mon pied du canapé mais tout en restant bien devant lui.
- Heu…à vrai dire…heu…
Il n’arrivait pas à dire quelque chose de cohérent. Je me suis donc assise tous près de lui et lui ai demandé ce qui le mettait dans cet état.

-Vous le faites exprès ou quoi ? Demanda t-il avant de dire enfin :
-Votre tenue est beaucoup trop excitante et pour un homme normal, c’est très difficile de ne rien ressentir.
« Ma tenue ?...je suis vraiment désolée…je ne voulais pas vous embarrasser » Bredouillais-je avant d’ajouter à mon tour en fixant toujours sa braguette :
« Mais vous aussi avec votre…bosse…ça exciterait n’importe quelle fille ! »
Un ange passa...

- Et là…maintenant on fait quoi ? demanda t-il .
Surprise, je levai les yeux vers lui avant de répondre que ma mère n’allait plus tarder maintenant.
Il porta sa main droite sur la bosse en pressant fort comme pour tenter de se ressaisir.
J’approchai ma main aussi vers lui et descendis sa braguette. Ce ne fut pas facile de sortir son pénis tellement il était en érection. Mais une fois dehors c’était pour entrer dans ma bouche.
Je le suçai un moment avant de m’asseoir sur lui à califourchon. Il me pénétra d’un coup mais était toujours inquiet car il lançait des regards furtifs dans tous les sens.
Quand je pris sa tête entre mes deux mains et lui dis de ne regarder que mes yeux, il resta concentré pendant que je montais et descendais le long de son sexe.
Il me murmura bientôt qu’il allait éjaculer, mais j’étais moi-même trop excitée pour m’arrêter. Alors je le fixai à nouveau et en ondulant sur son pénis toujours en moi, je sentis son sperme chaud me remplir par jets successifs jusqu’à ce qu’il me dise qu’il n’en pouvait plus.
Je me levai en faisant attention de ne pas le salir et il se nettoya avant de ranger son sexe dans son pantalon.

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