Un Improbable Hôtel

En plein mois d’août un dimanche soir, après avoir laissé ma femme et mes deux s en bas âge chez ma belle-mère dans les Pyrénées, je regagnai Paris par la route.
Parti tard dans l’après-midi et fatigué par la route, j’avais quitté l’autoroute à la recherche d’un hôtel.
Il était près de minuit. J’entrai dans les faubourgs d’une ville dont je n’avais même pas remarqué le nom.
La pluie avait commencé à tomber. Je remarquai soudain l’enseigne d’un hôtel avec l’indication « chambres libres ».
L’endroit était désert. Le bâtiment était miteux mais je décidai de ne pas chercher plus loin.
Á cette heure, je risquai de ne pas trouver un autre hôtel ouvert et je me dis qu’en fin de compte, je n’y resterais qu’une courte nuit.
J’entrai dans l’hôtel. La réception était vide. J’actionnai la sonnette et au bout d’une minute je vis apparaître une femme âgée et petite, avec un visage buriné et de petits yeux perçants.
J’eus l’impression qu’elle me dévisageait de la tête aux pieds.
- Bonsoir, avez-vous une chambre de libre pour la nuit ?
- Oui, les chambres sont à l’étage.
- J’ai encore pas mal de route à faire. Je partirai de bonne heure demain matin. Je ne prendrai pas de petit déjeuner. J’aimerais simplement prendre une douche avant de me coucher. Je vais vous payer la chambre tout de suite.
- Il n’y a que des lavabos dans les chambres mais vous pouvez prendre une douche dans la salle de bain au même étage. Ça fera vingt Euros.
Je m’étonnai de la modicité du prix.
- Vingt Euros, vous dîtes ?
- Oui, c’est vingt Euros.
Je luis tendis un billet de vingt et elle me donna la clef avec le numéro de chambre 11.
Je montai à l’étage. La chambre était quelconque avec un lit étroit, dont le matelas était complètement défoncé
Je me déshabillai entièrement et pris la plus grande des deux serviettes, qui étaient posées sur une chaise, pour me la rouler autour des reins.


Je sortis de la chambre à moitié nu. La salle de bains était à l’autre bout du couloir mais en passant devant les autres chambres, je compris que j’étais le seul client.
Bien qu’elle ne fût pas occupée la salle de bains était fermée à clef. J’hésitai entre ne pas prendre ma douche ou bien retourner dans ma chambre pour me rhabiller et ensuite redescendre à la réception pour demander la clef, ne voulant pas me montrer en petite tenue devant ma logeuse d’un soir.
En fait je n’eus pas le temps d’épiloguer sur la situation plus longtemps car m’ayant entendu vouloir entrer dans la salle de bain, j’entendis la femme me dire :
- La salle de bain est fermée. Attendez, je monte vous l’ouvrir.
Elle n’eut apparemment aucune réaction en me voyant une simple serviette autour de la taille et ouvrit la porte. Elle entra dans la pièce et ferma les rideaux.
J’étais sur le pas de la porte. Je reculai d’un pas pour la laisser passer mais elle restait immobile au milieu de la salle de bains.
- Excusez-moi pour le dérangement. Je laisserai la clef de la salle de bains sur la porte et la clef de ma chambre demain matin à la réception.
Elle ne disait toujours rien mais fixait la serviette qui me servait de cache-sexe.
Je me décidai à entrer dans la salle de bains quand elle rompit le silence.
- Je vous ai fait la chambre à vingt Euros mais en fait elle en coûte cinquante. La différence, est-ce-que vous payez en nature ?
Compte tenu de la surprise qui devait se lire sur mon visage, elle continua :
- Vous savez, mon mari est mort depuis longtemps. Il ne passe plus grand nombre par ici, surtout pas des hommes jeunes et seuls comme vous, alors quand vous avez dit que vous prendriez une douche, je me suis dit que si je pouvais simplement vous regarder en train de la prendre, ça me ferait un petit plaisir. C’est pourquoi j’ai dit seulement vingt Euros. Il y a si longtemps que je n’ai pas vu un monsieur tout nu.
Je n’en revenais toujours pas de ma surprise.
Prenant mon silence comme de la réprobation, elle dit :
- Si vous ne voulez pas, je vous laisserai et vous rendrai même les vingt Euros.
Curieusement le ton plaintif, presque apeuré, qu’elle avait pris, m’avait touché et je réalisai que j’avais en face de moi une pauvre femme malheureuse et bien inoffensive.
J’étais aussi émoustillé par la perspective d’une exhibition devant une femme, qui aurait pu être ma grand-mère.
Je lui répondis :
- Je comprends. C’est d’accord. Je suis content de vous donner un petit plaisir.
Á ces mots, je la vis me sourire, pleine de reconnaissance.
J’entrai dans la salle d’eau et vins me placer en face d’elle à environ un mètre.
Elle était toujours debout et je réalisai alors qu’avec son mètre cinquante face à mon mètre quatre-vingt-dix, elle profiterait bien du spectacle.
J’écartai légèrement mes pieds et dénouai ma serviette, qui glissa parterre. Ensuite je croisai mes mains dans le dos.
Je me dis que la dernière fois, où je m’étais retrouvé à poil dans cette pose, remontait à mon conseil de révision à l’armée.
Á cet instant, il me sembla presque lire sur son visage un moment d’extase.
Je sentais ses yeux se poser sur mon torse, descendre sur mes abdominaux et se fixer sur ma virilité totalement exposée.
C’est elle, qui vint rompre le silence.
- Monsieur, est-ce-que je peux toucher votre pénis, simplement le toucher ? Cela fait tellement longtemps, s’il vous-plaît.
Je ne me voyais pas refuser cette nouvelle supplique et acquiesçai de la tête.
Elle se pencha et je sentis des mains calleuses délicatement se saisir de mon membre viril et le caresser sur toute sa longueur.
Á ce moment-là ma bitte était encore au repos mais je sentais une excitation me gagner, quoique n’en voulant rien paraître.
C’est alors qu’elle releva sa tête et nos regards se croisèrent. D’un air à la fois timide et lascif elle me demanda :
- Monsieur, est-ce-que je peux toucher vos triquebilles ? Je n’en ai pas vu depuis tellement de temps et les vôtres sont tellement grosses.

De nouveau je lui fis signe oui de la tête.
Le fait qu’elle ait employé le vieux mot de triquebilles pour désigner mes boules et la situation dans laquelle je me retrouvais continuait à augmenter en moi une douce excitation.
Gardant la main gauche sur ma queue, elle se saisit avec la droite de mes bouliches. Les ayant bien pendantes, elle les sous-pesa dans la paume de sa main avant de les caresser.
Je ne sais pas pourquoi mais je lui dis alors :
- Ça vous plaît ? Vous êtes satisfaite ? Le matériel vous donne satisfaction ?
Ma demande lui fit changer de ton puisqu’elle en vint à me tutoyer.
- Mon garçon, tu es très bien membré. Tu es monté comme un âne. Ton vit, ta femme doit le sentir passer.
De plus en plus surpris et excité, je lui suggérai :
- Et si vous me tailliez une pipe ?
Elle ne comprit pas et je fis un geste très explicite.
- Tu veux que je souffle dans la trompette en bois ? D’accord je te suce l’asperge jusqu’à ce que tu me donnes ton jus d’homme.
Aussitôt elle commença à branler ma bitte. J’étais surpris de la dextérité avec laquelle elle astiquait mon manche. En quelques va-et-vient bien assurés, mon zguègue entra dans une superbe érection, un braquemart de vingt-et-un centimètres, dont elle eut vite fait de décalotter le gland.
Ma trique était trop grosse pour qu’elle la gobât d’un coup mais je sentis ses dents ou plutôt ses chicots me mordiller le gland.
Aussi incroyable que cela était, j’éprouvai un plaisir indicible lors de cette fellation. Jamais on ne m’avait aussi bien sucé. Le bout de mon mandrin disparaissait dans la bouche moustachue d’un laideron de plus de soixante piges, mais cela m’arrachait des râles de plaisir.
Ayant retrouvé une nouvelle jeunesse, ma logeuse s’activait toujours plus frénétiquement sur
mon dard tout en stimulant mes couilles par des claques régulières.
- C’est bien mon gars, tu vas pouvoir te vider les joyeuses. Je vais dégorger le poireau.
Attends-moi un instant.
J’eus à peine le temps de me voir dans la glace et de constater que les assauts de la vieille m’avaient fait bander comme un cerf, qu’elle revint tenant à la main un bocal en verre.
- Il faudra que tu te vides dedans. Le jus d’un homme jeune bien gaulé, c’est bon pour la santé des vieux. Je le garderai dans la glacière. J’en prends un peu sur une biscotte. Accompagné d’une bonne liqueur, c’est un remède, qui vous remet d’aplomb.
Je n’en étais plus à une surprise près et me laissai faire en me penchant, gardant les bras tendus sur le porte-serviettes et les jambes bien écartées. J’avais l’impression d’être comme un taureau avant la prise de sa semence.
La vieille se mit sur le côté et continua à me branler.de plus en plus vite.
Elle commentait avec envie la taille de mon engin.
- Quand je t’ai vu arriver tout à l’heure, je me suis tout de suite dit que tu devais en avoir une grosse dans le pantalon. Eh bien je ne suis pas déçue. Tu as vraiment une grosse quéquette et tu es aussi très couillu. On peut dire que tu en as entre les jambes.
Ne pouvant baiser chez ma belle-mère, elle et les s dormant dans la pièce d’à côté, j’avais les couilles pleines depuis plus de quinze jours. L’éjaculation à venir promettait d’être particulièrement abondante.
La vieille continuait à sa façon de m’encourager.
- Pense que tu es en train de couvrir ta femme et que tu vas lui faire un petit. Allez, montre-moi que tu es un homme, un vrai !
Quand elle comprit que j’allai bientôt décharger, je sentis le froid du verre toucher mon gland.
Ma purée était sur le point se sortir et je me mis à gueuler de satisfaction.
Je ne comptai pas le nombre de giclées, qui suivirent mais je sentis la main experte de la vieille sur mes burnes et ma queue, décidée à me faire sortir jusqu’à la dernière goutte.
- Vas-y c’est bien, continue de gueuler. Tu es un superbe étalon.
Au bout de quelques secondes, elle me claqua sa main sur mon cul.
- C’est bien. Ça a été une bonne traite. Regarde tout ce qu’il y a dedans.
Elle me mit sous le nez le bocal qui contenait à présent mon foutre, dont une partie continuait de glisser le long du verre.
Elle jubilait.
- Très bien j’aime bien quand le jus est crémeux. C’est de la première qualité.
Elle apposa sur le bocal une étiquette avec la date du jour.
- Je vais bien le garder de côté. Je le sortirai pour de grandes occasions pour le déguster avec des amies.
Je ne pus m’empêcher de lui demander :
- Vous m’avez joué la comédie. Vous êtes bien experte en bittes et en couilles.
- Oui c’est vrai que le seul moyen que j’ai, c’est d’apitoyer les hommes sur mon sort, mais après ils ne le regrettent pas.
- C’est vrai, personne ne m’a si bien sucé depuis longtemps.
- Eh bien moi, ça faisait aussi vraiment longtemps que je n’avais pas vu un service trois-pièces comme le tien. Tu peux être fier de tes bijoux de famille et de tout le reste. Ton pieu est un vrai délice à sucer. Quand tu es entré tout à l’heure, je me suis dit que c’était mon jour de chance et après quand tu étais juste avec ta serviette, j’en aurais mouillé ma petite culotte si j’étais encore jeune. Bon eh bien, je vais te laisser cette fois prendre ta douche.
Je restai excité par cette expérience insolite. Au moment où elle quittait la pièce, je lui dis :
- J’aimerais que l’on se revoie.
Désignant le bocal plein de sperme, je continuai :
- De toute manière il faudra bien que je fasse une nouvelle livraison.
Sa bouche édentée me sourit :
- Tu seras toujours le bienvenu. Tu sais j’ai d’autres amies par ici. Je crois que tu pourrais aussi leur rendre service. Tu pourrais les aider à réaliser leurs fantasmes.
J’étais à nouveau pris par ce désir étrange, qui m’avait fait accepter cette fellation surprise.
- Je vous préviendrai de mon prochain passage.
Je m’endormis comme une souche et quittai l’hôtel de bonne heure comme prévu mais en ayant pris bien soin de noter son nom et celui de la ville où il se trouvait.
Devant redescendre dans les Pyrénées le week-end suivant, je n’avais qu’une hâte, celle de voir défiler la semaine au plus vite, dans l’attente d’expériences nouvelles dans cet improbable hôtel.

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