Le Primetime De Ma Vie (En Public)

Le spectacle venait à peine de commencer, que j’avais perdu mes potes de vue. Le stade était sans lumière, sauf pour les centaines de tisons qui flottaient dans la nuit. On commençait à entendre des sons électroniques déformés qui, après un moment, chantaient clairement Robot Rock, un classique de Daft Punk. Aux sons de la guitare électrique, l’ecstasy prenait de plus en plus contrôle de mon corps et surtout, de ma tête. La jubilation dans mon cerveau était si grande que je me sentais moi-même devant la foule entrain de faire tripper les fans sur le plancher devant moi.

J’ai flotté jusqu’en avant, voulant être le plus prêt des sons. Chaque note me droguait, chaque coup de Bass me faisait grandir. Totalement en transe, hypnotisé par les lasers, je m’agitais de gauche à droite, les mains au ciel, tel un disciple devant son Dieu. Assoiffé, je pris la bouteille d’eau dans mes pantalons et en fis couler tendrement sur ma langue molle et mon visage déjà mouillé. C’est à ce moment qu’une brunette sauta de travers et créa collision avec mon corps. L’eau fut propulsée de tout côté, car ce n’était plus une bouteille d’eau que j’avais entre les mains, mais une jolie fille.

Je lui criais : ATTENTION… TU VAS TE NOYER!!!
Et elle répondit : PAS GRAVE!!!

Je la comprenais trop bien. Elle me regarda droit dans les yeux, sorti sa langue et licha d’un lent coup le mélange de sueur et d’eau fraiche sur mon visage. Ses cheveux étaient en bataille, dégradés, un coté allant jusqu’à ses épaules. Ses yeux étaient noisettes, excités et grands ouverts, avec un léger mascara qui me donnait l’impression de déjà vue. Ses lèvres étaient minces, roses et bien pointues vers l’intérieur au milieu d’un visage bien lisse. Son T-shirt était identique au mien, Daft Punk en rouge sur fond noir, mais mieux ajusté pour recouvrir ses seins bien ronds et pointus. Elle me dit dans l’oreille : prouve-moi que je ne rêve pas!

Je pris son visage à deux mains et plaçais tendrement mes lèvres entre les siennes.

Descendant mes mains de ses cheveux doux à son coup moite, jusqu’à ses hanches, pour finir sur ses fesses rondes et fermes. Nous ne fûmes qu’un tout au long de Face to Face/Short Circuit. Puis, quand les mélodies cessèrent, elle rompu le contact de nos langues pour fouiller dans ma culotte… elle y trouva une bête totalement réveillé. Pour ma part, je pris son index libre, le mis dans ma bouche pour le chatouiller. En le sortant, je lui confiai, sage bandé que j’étais : seule toi peut me compléter ce soir!

Elle savait exactement de quoi je parlais, car elle m’a pris par le bras sans hésiter et nous nous frayâmes un chemin dans la foule dense, jusqu’à la salle de bain des hommes.

Je l’ai assise sur le bol en l’embrassant, passais à son cou avant d’enlever son T-shirt pour aller savourer des tétons rigides. Je descendis, vers son nombril, pour lui ôter ses jeans et sa culotte, tout en caressant les côtés de son bassin. Sa chatte était couverte de miel et la petite abeille en était la cause. Je me mis au travail, je devais nettoyer ce dégât. Plus je taquinais la reine, meilleur c’était… pour nous deux. Elle n’en pouvait plus, elle s’agitait tellement sur mon visage et avec une telle force que je me noyais. Je fis surface, la mis en boule, me redressais et mis ses jambes sur mes bras en incérant ma fusée en orbite. Mes coups étaient secs, au rythme de la musique lointaine. Évoluant de plus en plus vite. Elle adorait. Mon visage était entrain de mordre son cou lorsqu’elle me dit : ramène moi sur Terre… c’est à ton tour de vivre!

J’obéis, elle se mit à genoux, prit mon épée de fer et l’aiguisa avec sa langue. Le bout de la lame est le plus destructeur et elle y faisait très attention. Elle faisait sa circonférence complète tout en suçant le sang jusqu’à mon cerveau. Je voulais venir, je n’en pouvais plus! Mais il me restait une tâche avant que l’on soit complets. Je la remis sur ses pieds et accotais son visage sur la porte. Puis je ré ouvris la fente de sa chate pour la remplir à nouveau.
Je remis mon va et viens en action, remplissant mes mains de son sein gauche et de son clitoris juteux. Ma technique a été récompensée de hauts cris et de gros coups sur la porte. Des coups si puissants que la porte s’ouvrit. J’ai gardé l’équilibre pour nous deux et elle la referma en vitesse. Suite à cet incident, je ne pris aucune chance, je la mis de face, dos au mur. J’ai donné une série de coups bien décidés, caressé ses seins fermes une dernière fois avant qu’elle jouisse avec un cri de la mort en me déchirant le dos. Dès que son jus est entré en contact avec mon pénis, j’ai eu à peine le temps de le sortir que je suis venu sur les trois murs en faisant tout un dégât. Je m’assis sur le bol lunatique. Elle, souriante, s’agenouilla et me nettoya délicatement en silence.

Nous sommes sortis de la salle de bain en vitesse, les curieux de manquaient pas. Dès que nous fûmes de retour dans la foule, le classique One More Time commença. Nous nous sommes regardés tous les deux avec un sourire complice.

Encore aujourd’hui je peux affirmer que cette soirée fut le PrimeTime de ma vie.

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