Mon Premier Plan À 3 (3)

Je vous avais précédemment raconté mon aventure avec Angélique et ma première fois avec Louisa. Je vais maintenant continuer l’histoire.
Ma relation amoureuse avec Louisa était trop belle, cela ne pouvait pas durer. Nous restâmes ensemble un mois, faisant l’amour tous les week-end. Puis vint les vacances de Pâques, et je partis une semaine. En revenant, j’appris l’inévitable : Louisa m’avait trompée avec un autre mec. Cela devait arriver : Louisa, derrière son masque de gentille fille timide, était une vraie nymphomane, qui adorait baiser. Il avait fallu que je m’absente une semaine pour qu’elle se fasse prendre dans un coin par quelqu’un d’autre. Je mis fin immédiatement à notre couple, et lui fit savoir que j’étais vraiment déçu par son attitude. Mais je savais intérieurement que c’était inévitable. Je ne fus pas vraiment triste de cette séparation, j’étais surtout sorti avec elle au départ pour m’amuser, prendre mon pied. Et elle aussi, j’en étais sûr. Et je voulais de toute façon tenter de nouvelles expériences.

Je voulais en particulier tenter un plan à trois. Et dans mon lycée, il n’y avait que deux filles pour faire ça : Eléa et Nina, deux filles de mon âge qui se connaissaient depuis longtemps, très chaudes, et qui je pense avaient déjà eu des expériences lesbiennes. J’en parlai donc à Eléa sur MSN, allant directement à l’essentiel. Elle me prit d’abord pour un taré, un vrai obsédé, mais j’insistai et lui montrai des photos de moi nu. Je vantai de plus mes prouesses au lit, lui disant qu’elles adoreraient. Eléa commença alors à être plus intéressée puis, après discussion avec sa copine Nina, elles acceptèrent. Samedi soir, chez Eléa. Je savais que ça marcherait : elles aimaient trop le sexe pour refuser.
Trop heureux à l’idée de baiser ces deux superbes filles, je me masturbai en y pensant. Je décalottai mon gland et commençai à me branler doucement dans ma chambre, fermant les yeux et pensant à elles. Physiquement, c’étaient de vrais canons.

Nina, dont j’avais été amoureux quelques années auparavant et que j’appréciais toujours beaucoup, avait la même taille que moi. Elle avait de longs cheveux noirs, qu’elle coiffait souvent en queue de cheval ou qu’elle relâchait, de beaux yeux noisette et un nez fin, le tout encadré dans un visage assez allongé aux traits délicats. Elle avait la taille fine, de belles jambes et un très joli cul. Mais surtout, elle avait une poitrine parfaite : ses seins étaient bien gros, presque autant que ceux de Louisa, tombaient moins et lui formaient deux belles bosses bien rondes à travers ses hauts. J’accélérai le mouvement de ma main sur mon sexe en pensant à sa poitrine. Quand je lui parlais, j’avais toujours du mal à résister à l’envie de plonger mon regard dans ses seins de rêve. En un mot, Nina était vraiment magnifique. Je crois qu’en fait, maintenant que je n’étais plus avec Louisa, j’étais en train de retomber amoureux de Nina.
Eléa, elle aussi, était une vraie bombe, encore plus que Nina : c’était surtout dû au fait que Nina s’habillait plutôt discrètement, bien que je l’ai déjà vu porter de rares fois des petits débardeurs moulants et des minijupes très sexy ; Eléa, elle, s’habillait presque toujours comme ça et mettait souvent des hauts qui mettait très bien en valeur ses seins magnifiques : ils étaient du même acabit que ceux de Nina, peut-être un peu moins gros, mais je pourrai aussi les qualifier de parfaits. On peut dire que j’ai un penchant prononcé pour les grosses et belles poitrines… Eléa était un peu plus petite que moi, et avait la peau mate. Etrangement, en association avec sa peau foncée, elle avait des yeux bleus très clairs, presque gris. Quand on la regardait dans les yeux, on était presque hypnotisés par la beauté de ceux-là, par leur profondeur. Elle avait un visage d’ange, aux traits fins, parfaits, et des cheveux marron coiffés en arrière. Son tour de taille était fin, et elle avait un cul superbe, bien bombé, que l’on pouvait admirer à travers un jean ou un pantalon en tissu moulant.
Toutes les deux de vrais canons. Et j’allais les baiser… Je me branlai maintenant rapidement, ma main excitant mon gland, enduite de liquide séminale. L’orgasme ne se fit pas attendre, et j’éjaculai sur mon torse, en plusieurs longues traînées de sperme. Je m’affalai dans mon fauteuil, heureux. Et ce n’était qu’un avant-goût de ce qui allait venir…
Vint alors samedi soir. Je me rendis donc chez Eléa, tout excité. Elle m’accueillit avec un grand sourire et m’invita à entrer. Dans le salon, Nina était déjà là, assise sur un grand canapé couleur crème. Je m’assis à coté d’elle et l’embrassait tendrement sur la joue. Elle sourit en rougissant, et je lui passai un bras autour des épaules. Eléa vint s’asseoir à coté de moi, me regardant avec un œil intéressé. J’étais à présent encadré de deux superbes filles, rien que pour moi. Eléa me demanda en souriant :
« Sa va ? Tu es à ton aise ?
-Super, je ne peux rêver mieux. » lui répondis-je.
Elle se pencha alors vers moi et me chuchota à l’oreille d’un ton explicite, tout en me caressant la cuisse :
« Alors autant commencer ce pourquoi tu es venu…Qu’est ce que tu veux qu’on te fasse ?
-Commencez donc par vous embrasser… » murmurai-je.
Retenant un sourire, Eléa passa devant moi et alla se blottir contre Nina. Elle posa alors délicatement ses lèvres sur celles de cette dernière. Puis leur baiser s’accentua, et je pouvais apercevoir leurs langues qui se léchaient mutuellement et tournoyaient. Leurs yeux étaient clos, et Eléa pelotait passionnément les seins parfaits de Nina, qui commençait à rougir par l’excitation. Nina commença quant elle à caresser le beau cul de Eléa, à travers une minijupe en jean très sexy. Voir ces deux beautés, deux filles que je connaissais depuis plusieurs années déjà, s’abandonner l’une à l’autre fit grossir ma bite dans mon caleçon. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Je déboutonnai mon jean, baissai ma braguette et leur dis :
« Venez un peu vous occuper de moi, vous deux… »

Les deux bombes stoppèrent leur baiser enflammé, et entreprirent tout d’abord d’enlever leur haut et ce qui allait en dessous.
Je me retrouvai alors face à deux paires de seins parfaits, sortant de mes rêves les plus fous. Ma bite durcit et se tendit violemment dans mon caleçon, me faisant mal. Leur poitrine tombait délicatement sur leur ventre plat, dessinant des courbes à se damner, et leurs beaux tétons pointaient avec le désir, roses pour Nina et bruns clairs pour Eléa. Elles s’approchèrent de moi à quatre pattes d’une démarche languissante, me regardant fixement. Elles se penchèrent ensuite au dessus de mon entrejambe et me retirèrent mon jean, ainsi que mon caleçon. Elles purent alors admirer ma belle bite, mon gros gland pourpre à moitié décalotté. Eléa ne souriait plus, elle était à présent concentrée et plus chaude que jamais. Nina, elle, rougissait encore un peu. Je devinai qu’elle avait moins d’expérience qu’Eléa, qu’elle se lâchait moins. Ca allait vite changer… Eléa, tout en me regardant avec ses yeux bleu glacé à moitié clos, prit ma bite à pleine main et commença à la branler doucement. Elle la décalotta entièrement et la tendit à Nina, qui n’attendait que ça. Celle-ci l’enfourna alors délicatement dans la bouche et se mit à la sucer passionnément, ses beaux yeux marron profonds fixés sur moi. Je croyais rêver : la fille dont je retombais follement amoureux me suçait ! Elle faisait de lent va-et-vient, sa langue et ses lèvres excitant mon gland palpitant d’une façon experte. Je lâchai un soupir et m’affalai un peu plus dans le canapé. Nina retira ma bite de sa bouche et ce fut au tour d’Eléa de me tailler une pipe, tandis que Nina la regardait en gémissant et en se caressant ses seins parfaits. Merde, elles savaient y faire les deux-là… Eléa fermait les yeux, concentrée sur ce qu’elle faisait, et me suçait de plus en plus rapidement. Je donnai moi aussi de légers coups de hanche, amenant ma bite au plus profond de sa gorge. Ce que c’était bon…Le plaisir montait lentement mais sûrement en moi, j’étais aux anges. Eléa arrêta de me sucer, et Nina et elle se positionnèrent de chaque coté de ma bite toute tendue et gonflée.
Elles entreprirent alors de me lécher la bite en même temps, chacune de leur côté, juste avec leur langue. Elles donnaient de petits coups de langue, allant de la base de ma queue jusqu’au bout du gland, tout en me regardant. J’étais on ne peut plus excité, et je sentais que si elles continuaient comme ça encore quelque temps, j’allais tout leur balancer dessus. Je mis donc ma bite hors de portée de leur langue avide, et leur dis :
« Allez, assez pour l’instant. Maintenant, laissez moi vous baiser… »

Eléa ne se fit pas attendre, et sans dire un mot monta sur le canapé en enlevant ses bas et se mit à quatre pattes, son cul de rêve face à moi. Je pouvais apercevoir sa vulve gonflée et trempée de mouille, tandis qu’elle écartait les jambes de manière obscène. Cela ne fit que m’exciter d’avantage. Nina, quant à elle, dévoila aussi son beau sexe rasé et alla se mettre à genou à côté du canapé pour embrasser avec entrain Eléa. Je reportai mon attention sur le cul magnifique d’Eléa, et sur son trou béant, qui n’attendait que ma bite. Je n’avais jamais essayé la sodomie avec Louisa, mais je ne fus pas déçu. Luisante de liquide de séminale, ma belle queue entra facilement dans le cul d’Eléa, et je l’enfonçai à fond d’un coup sec. Eléa trembla et laissa échapper un gémissement, tant de douleur que de plaisir. Nina, elle, s’était mise à se doigter langoureusement en admirant le spectacle. Je commençai alors des va-et-vient de plus en plus violents, mes mains posées fermement sur le cul bien bombé de ma partenaire. Cette sensation de la pénétrer au plus profond d’elle-même était incroyable. Cette dernière lâchait des cris de plaisir, tout en étant secouée par mes coups de bite, et Nina gémissait à côté d’elle, se titillant rapidement le clitoris. Je continuai à limer furieusement Eléa pendant plusieurs minutes. A un moment, n’y tenant plus, Nina retira ma bite du trou du cul de sa copine et la suça comme un folle pendant quelques secondes, sa langue s’attardant particulièrement sur mon gros gland, puis elle la remit en place en me regardant et me sourit. J’étais alors au bord de l’orgasme. Je donnai encore quelques coups bien au fond dans le cul d’Eléa, qui haletait de bonheur tout en s’enfonçant deux doigts dans sa belle chatte. Puis, dans un râle de plaisir, je déchargeai tout mon foutre en plusieurs grosses giclées à l’intérieur de cette jolie salope d’Eléa, ma bite se gonflant fortement dans son cul sous l’afflux soudain de mon sperme. Je retirai ma queue, encore bien grosse et toute enduite de sperme chaud, et m’affalai dans le canapé, heureux. Je voyais le sperme qui coulait doucement du trou d’Eléa en une longue traînée blanche, tandis que celle-ci se retournait sur le dos en respirant bruyamment. Nina, voyant ma bite dans cet état, ne résista pas et se précipita pour la lécher avidement et la laver de tout trace de semence. Je la regardais tendrement en lui caressant les cheveux. Je l’aimais, définitivement, j’en étais sûr. Je me penchai et lui déclarai mon amour pour elle, tandis qu’elle était encore affairée à me sucer. Elle releva alors la tête et me lança un regard plein d’amour. Je pris alors son beau visage que j’aimais tant et l’embrassai longuement avec passion et amour. « Je t’aime. » lui répétai-je dès que nos lèvres se séparaient, « Je t’aime de tout mon cœur. » Je m’allongeai sur elle et nous continuâmes notre baiser, tandis que je lui caressais tendrement ses seins parfaits et ses belles et longues jambes. Eléa se releva, sourit en nous regardant, se rhabilla et s’en alla, me laissant seul avec Nina, ma Nina. Je passai cette nuit là là-bas, et je fis l’amour avec Nina pendant plus d’une heure ; se fut la meilleure baise que je n’avais jamais faite : elle me suça, je lui fis un cunnilingus mémorable, je la pénétrai par tous les trous et lui éjaculai au final sur son visage parfait. Nous avions baisé au nom d’un amour véritable et profond, et c’était ça qui avait fait la différence. Mon amour pour Louisa avait été beaucoup moins fort, et ma relation avec Nina était partie pour durer…
To be continued.

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