Ma Première Pipe... Une Expérience Intéressante (4)

J’avais toujours eu envie de sucer une bite. Ma vie sexuelle à ce moment là avait été mouvementé : mon aventure avec Angélique, mes baises avec Louisa, le plan à trois avec Eléa et Nina, et ma relation durable avec cette dernière. Tout se passait pour le mieux avec elle, mais vint alors la fin du lycée et le début des études supérieures. Je partis à Paris, elle dans une autre ville et nous nous séparâmes. Cette séparation fut très dure pour moi comme pour elle, mais il le fallait : nous ne pouvions pas rester ensemble en étant si loin de l’autre. Dans une ville comme Paris, il me fut alors possible de tenter de nouvelles expériences, en essayant d’oublier Nina…

J’avais toujours eu envie de sucer une bite, mais pas à un homme mais à une femme. En effet, tout en ayant ce fantasme, je restais un pur hétéro, et je voulais donc sucer une bite de femme, de « shemale » comme ils les appelaient en anglais. Malheureusement, trouver une shemale était très difficile, même à Paris. Je furetais alors sur Internet à la recherche d’un club qui pourrait répondre à mes envies, et j’en trouvai un : c’était un club dans lequel on pouvait sucer quelqu’un sans voir qui c’était, sans voir si c’était un homme ou une femme. Je voulu donc y aller pour sucer une personne en imaginant que se serait une femme. Je me présentai donc là-bas un samedi soir. Le club était situé dans un quartier chic de la ville, et était très bien dissimulé. Je payai une somme rondelette, et on me fit attendre devant une série de portes noires dans un corridor. Une très jolie femme blonde, à la poitrine rebondie, vint me voir. Ses gros seins superbes étaient moulés dans un haut en latex noir très serré qui descendait jusqu’au bas de son cul bombé. En dessous, elle ne portait rien, et ses belles lèvres pulpeuses me donnaient envie de lui donner ma bite à dîner. Mais ce soir là, les rôles habituels allaient être inversés… Elle me rappela les règles claires du club qui était de ne pas s’identifier sous quelques formes que se soit, et m’ouvrit une porte.

Elle me souhaita alors de passer un agréable moment et me laissa seul devant la porte ouverte. J’entrai timidement dans la cabine éclairée d’une lumière tamisée. Elle était très petite, avec pour seuls objets un paquet de mouchoirs et un petit coussin plat, positionné en dessous d’un trou fait dans la paroi du fond. De ce trou dépassait ce pourquoi j’étais venu.

La bite était déjà légèrement gonflée, et était à peine dressée. Le gland n’était pas décalotté, et les couilles dépassaient aussi du trou : elles étaient, comme la queue, complètement rasées. Je dégluti et refermai la porte derrière moi. Je m’approchai de la belle bite qui n’attendait que moi et m’agenouillai devant elle, afin de positionner mon visage juste en face d’elle. Je commençai à bander légèrement. Je laissa tomber mon jean au bas des genoux, et commençai à me caresser ma propre bite à travers le caleçon. De mon autre main, j’empoignai avec réserve celle de l’inconnu(e) à la base. Celle-ci gonfla alors un peu plus, et cette sensation de ce membre qui grossissait dans ma main était déjà quelque chose que j’adorais. Je pouvais apercevoir les nombreuses veines qui couraient le long du tronc de cette bite qui gonflait toujours plus. Je décidai alors de me mettre au travail, et je la décalottai entièrement juste avec mon pouce et mon index. Le beau gland rose, légèrement pointu et luisant de liquide séminal, se dévoila à moi. Je commençai alors de lents va-et-vient avec ma main droite, en partant du bout du gland, tout en faisant tourner ma main, comme si je voulais visser et dévisser cette belle queue. Après quelques allers-retours, ma main était déjà trempée de liquide, et glissai avec grâce le long du sexe de l’inconnu(e). Celui-ci durcit fortement, devenant tout rigide entre mes mains. Cette sensation était vraiment agréable. J’accélérai ensuite le rythme, jusqu’à y aller de bon cœur. Ma main branlait à toute vitesse cette grosse bite palpitante de désir. Je me masturbai moi-même avec ardeur, voulant accorder mon plaisir sur celui de l’inconnu(e).
Après une minute de branle intensive, je décidai de passer aux choses sérieuses. Je retirai ma main, et approchai ma bouche du beau sexe devant moi. La bite bandait maintenant à fond : elle devait bien faire 17cm de long pour 5cm de large et était tendue droite comme un piquet. J’ouvrai la bouche et la fis entrer progressivement à l’intérieur, tout en faisant attention de ne pas gêner avec mes dents. Mes lèvres suivirent le contour du gland et continuèrent leur route le long du tronc de la queue. Je goûtai alors pour la première fois au liquide séminal qui enduisait toute le sexe gonflé : le petit goût salé n’était pas désagréable, bien qu’un peu écœurant. A ce moment là, j’avais décidé de l’enfourner à fond dans ma bouche, mais je n’y arrivai pas : elle était trop grosse, bien qu’il ne me manquait que deux petits centimètres. J’étais tout de même fier de ma performance, et je sentis buter le gros gland bien au fond dans ma gorge. J’émis un gargouillement ; c’était quand même difficile. Je laissai la bite là bien au chaud quelques secondes, puis je la retirai lentement. Plusieurs fils gluants de liquide séminal me reliaient encore à elle lorsqu’elle sortit enfin. Je soupirai de plaisir et, tandis que je continuai à me branler de la main gauche, j’agrippai la belle queue de l’inconnu(e) à la base avec mon pouce et mon index et entrepris de la sucer. Je commençai doucement, remontant et descendant lentement le long de cette longue bite, puis j’y pris goût et accélérai la cadence. Lorsque ma bouche arrivait à hauteur du gland, je faisais tournoyer avidement ma langue autour et fermais les yeux de bonheur. J’adorais vraiment sucer, c’était certain : sentir ce gros membre dans sa bouche et le lécher pour le faire éjaculer, c’était juste incroyable. Je comprenais mieux à présent certaines filles qui étaient dingues de ça. J’essayais alors d’imaginer la personne à qui je taillais une pipe. J’imaginai, de l’autre côté de la paroi, une superbe femme aux courbes délicieuses, qui fermait les yeux et pinçait ses lèvres pour se retenir de gémir de plaisir, tout en se caressant les seins.
J’imaginai alors que la bite que j’étais en train de sucer appartenait à la bombe sexuelle blonde que j’avais rencontré dehors dans le corridor. Cette pensée m’excita terriblement, et je continuai de sucer la bite avec une passion renouvelée, ma langue léchant comme une folle tous les recoins de celle-ci. Ma main gauche branlait à présent ma propre queue à toute vitesse, et je sentis l’éjaculation arriver.

Et elle ne tarda pas, mais pas pour moi. Après encore quelques secondes de suçage et de léchage intensifs de bite, l’inconnu(e) déchargea ses couilles sur mon visage, sans se faire attendre. J’eus juste le temps de retirer le gros sexe de ma bouche, sentant l’afflux de semence qui le faisait gonfler encore plus. Je fus sur le coup surpris par la quantité de sperme qu’il/qu’elle m’envoya dessus : sept grosses giclées de foutre allèrent s’écraser sur mes joues, mon nez, mon front, et une sur ma paupière fermée. Terriblement excité par ce déversement de plaisir, je me lâchai également sur la paroi qui me faisait face, laissant de longues traînées blanches qui commencèrent à couler lentement. La belle queue de l’inconnu(e), satisfaite, se retira dans le trou. J’étais encore tout tremblant par l’excitation et le désir lorsque j’essuyai avec des mouchoirs les traces de sperme sur le mur et sur mon visage. Je ne me sentais pas encore prêt à avaler ou lécher du foutre. Tout à fait satisfait moi aussi, je sortis de la petite cabine.

La blonde magnifique qui m’avait fait fantasmer durant ma fellation était là dans le corridor, et m’attendait. En la revoyant, elle et son corps de rêve, je ne pu m’empêcher de rebander un peu.
« Alors, sa c’est bien passé à ce que je vois… »me dit-elle avec un sourire terriblement aguicheur.
Je regardai sur ma veste : une longue traînée blanche s’étalaient sur l’épaule. Je l’avais complètement raté. Je souris en l’essuyant.
« Oui, merci, c’était vraiment super, je vais sûrement revenir, lui répondis-je.

-Si vous le désirez, vous pouvez à présent rencontrer votre partenaire. Pour sa part, il voulait vous rencontrer. Il avait l’air d’avoir beaucoup apprécier…Ou elle… » me lança-t-elle d’une voix sulfureuse, ses yeux bleu me dévisageant. La moitié supérieure de ses gros seins parfaits était visible, et elle descendit encore un peu plus son haut de latex noir, de sorte que je puisse voir les auréoles roses de ses tétons. A travers sa bouche entrouverte, je pus apercevoir sa langue passer doucement sur sa lèvre supérieure.
« Merde, mais elle est vraiment chaude la salope. Elle veut se faire baiser ici et maintenant ou quoi ? » pensai-je, impressionné. Ma bite était maintenant redevenue bien dure dans mon caleçon. Sans m’en rendre compte, j’avais le regard braqué sur ce décolleté d’une beauté affolante. La blonde canon s’approcha un peu de moi en souriant. Je pourrai glisser ma bite entre ses superbes seins, lui défoncer son beau cul de salope, lui… Je revins soudainement à la réalité : non, sa suffisait pour le moment, il fallait vraiment que j’arrête avec mon obsession pour le sexe. Relevant la tête, je lui répondis :
« Oui, j’aimerais beaucoup le, ou la rencontrer. Vous pouvez m’y amener ? »
Elle acquiesça et me pria de bien vouloir la suivre en se détournant. Je vis bien qu’elle était déçue, et la rencontre avec mon partenaire avait été le seul moyen de pouvoir lui échapper. Maintenant que j’y pensais, j’espérais vraiment que se serai une femme, bien que les chances soient très minces que ce soit le cas. Dans le corridor, alors que je la suivais, la bombe sexuelle blonde en remit une couche. Elle commença à se déhancher en marchant de façon exagérée, presque obscène et vulgaire. Son cul bien large et bombé, moulé dans le latex, se balançait avec langueur et sensualité, et ses longues jambes claires et lisses bougeaient avec grâce. Je pense vraiment que cette femme était une véritable nymphomane, bien pire que Louisa, la fille que j’avais connue un an auparavant, mais je ne cédai pas à la tentation, bien que ce fut très dur. Lorsque j’arrivai enfin dans le salon de rencontre, ma bite bandait terriblement et me faisait mal dans mon caleçon. La belle blonde, qui à ce moment là ne cacha pas sa déception, m’indiqua une petite table ronde, avec deux chaises autour, et repartit. L’une des chaises était occupée. J’eus du mal à croire qui était assis, ou plutôt assise, dessus.
To be continued.

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