Un Matin Au Bois

Un matin, finissant le boulot plus tôt que d’habitude, je me dirige vers le Bois de Boulogne à la recherche d’un beau travesti.
Je roulais sur l’une des contre allée quand j’aperçois une super créature, vêtue d’un long manteau ouvert, duquel dépassait une superbe bite. Je me gare, et me dirige vers elle pour lui demander ses tarifs. La réponse me convenant, elle s’enfonce dans le sous bois, je lui emboîte le pas. Quand nous sommes assez loin de la route, elle me montre un petit bosquet dans lequel nous sommes à l’abri des regards. Elle me demande mon prénom, et me dit s’appeler Sandra. Je lui donne son petit cadeau, et commence à défaire mon pantalon et mon slip. De son coté, elle ouvre son manteau, un superbe bustier noir d’ou sortent deux magnifique seins et une paire de bas noir et surtout une queue entièrement épilée demi bandée d’une taille plus que raisonnable vers laquelle je ne peux m’empêcher de tendre la main. Un frisson me parcours, elle est toute chaude je commence à la caresser, et en quelques instants me rempli la main. Elle me prend la tête entre les mains, et me roule une pelle. Sa langue joue avec la mienne, ses main descendent, soulèvent mon tee shirt, et commence à jouer avec mes tétons, les pinçant très fort en me traitant de plein de petits noms cochons. Elle me passe une main dans les cheveux s’y agrippant pour me faire descendre vers son sexe que j’embrasse doucement, je le lèche de haut en bas m’attardant sur ses couilles elles aussi dépourvue de poil, je lèche le gland, elle appuie sur ma tête me forçant à avaler ce sexe presque entièrement, je commence un lent va et vient qu’elle rythme en appuyant sur ma nuque. Je sens son autre main courir le long de mon dos, et commencer à jouer avec mes fesses. Ses doigts parcourent ma raie, et jouent avec mon trou du cul, elle me fait lécher ses doigts pour les humecter de salive, et retourne jouer avec mon petit trou. Je les sens le forcer, un, puis deux, elle me baise avec ses doigts pendant que je la suce.

Soudain, j’entends un craquement dans les fourrés derrière nous, inquiet, je me relève d’un coup. Elle m’explique que c’est une copine à elle, et qu’il n’y a rien à craindre, et, pour finir de me rassurer, elle lui demande de s’approcher afin que je puisse la voir. Cette nouvelle venue, près d’un mètre quatre vingt, une perruque rousse et vêtue d’un long ciré duquel dépasse une belle pine bien bandée, plus fine que celle de Sandra mais assez longue. Elle me dit bonjour, me sourit, et parle avec sa copine dans une langue que je ne connais pas, elles rigolent toutes les deux. Pour finir, Sandra m’explique que sa copine est débutante, et me demande si cela me gênais de faire cela à trois. Pourquoi pas.
Comme pour finir de me mettre à l’aise, je me suis retrouvé avec un flacon de poppers sous le nez, deux ou trois sniffée par narine, Sandra face à moi m’embrassant à nouveau à pleine bouche, et sa copine derrière moi collée à mon dos son ciré ouvert, la chaleur de son corps contre moi. J’attrapais les deux queues, et commençais à les caresser toutes les deux, en frottant une contre mes fesses, l’autre contre mon ventre.
Sandra me fait me pencher à nouveau afin que je reprenne ma fellation là ou je l’avais laissée. Pendant ce temps, sa copine jouait à son tour avec mon trou du cul, je sens quelque chose de froid, certainement du gel, puis des doigts me fouillent le cul, puis, je sens la queue bien chaude venir les remplacer. Avec beaucoup de douceur prenait possession de mon orifice anal. Ca faisait un peu mal, mais après quelques lents va et vient, c’est moi qui tendait mon cul pour la prendre de plus en plus loin. Je les entendais parler, mais ne comprenait rien à ce qui se disait. Sandra se retire de ma bouche, enfile un préservatif, et toute deux échangent leur place. Cette nouvelle pénétration anale fut plus douloureuse à cause de la grosseur, maintenu par la tête par celle que je suçais maintenant, je ne pu faire autrement, et les quelques cris que j’aurais pu lâcher étaient étouffé par ce bâillon de chair.

Je me branlais tout en me faisant baiser par tous mes orifices.
J’ai senti le membre qui me remplissait le cul gonfler et Sandra pousser de petit grognement en me traitant de grosse cochonne, je sentais la chaleur du sperme à travers la capote. Sa copine quelques instants après m’arrosa le visage de son jus.
Ensuite, pour me faire jouir à mon tour, elles me suçaient tour a tour tout en jouant à me doigter le trou du cul …
Après quelques minutes de ce traitement, j’ai jouis comme rarement…

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