Ma Première Pipe Sans Capote

L'autre jour je fais du vélo à Paris. Je suis en short car l'arrière saison est très belle. À un feu rouge, alors que j'attends, une camionnette s'arrête à côté de moi. Le feu rouge dure assez longtemps. Je regarde dans la camionnette. Le chauffeur est en train de regarder de mon côté, mais pas pour surveiller le feu : il me regarde moi. C'est une espèce de barbouze : cheveux grisonnants longs attachés en catogan dans le cou, barbe poivre et sel, sourcils noirs, regard bleu, veste en daim ; il a dans les 55-60 ans.

Je le regarde dans les yeux : c'est toujours très troublant, ces regards si bleus. Je me détourne et me sens rougir un peu. Le feu passe au vert, je démarre. Il me suit sans me dépasser. Je n'accélère pas, je roule doucement. Quand on arrive au croisement suivant, le feu est en train d'y passer à l'orange. Au lieu d'accélérer pour passer, je m'arrête. Il s'arrête aussi, de nouveau à côté de moi.

Je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil : il me regarde dans les yeux avec un sourire. Je lui rends son sourire. D'un hochement de tête, il me fait signe de tourner à gauche. Quand le feu passe au vert, il démarre sans m'attendre et tourne à gauche. Alors je le suis.

On arrive dans une rue qui longe un stade au bord du périf. Il y a peu de circulation et plein de places libres : il se gare. Je m'arrête. Il sort de la camionnette, ouvre la porte arrière et me fait signe de monter. J'attache mon vélo et je monte.

Dedans, c'est une espèce de capharnaüm : il transporte des branches de bois toutes tordues, des sculptures, des vieux jouets repeints dans des couleurs criardes… Un artiste, je me dis. Il s'est appuyé sur un tas de vieilles branches, a ouvert sa veste et sa chemise de trappeur et baissé son pantalon et son caleçon. Sous son ventre à peine un peu rond, au milieu des poils, sa queue sombre pend de travers sous l'effet d'une érection qui commence.

Je m'agenouille, je respire ses cuisses, son ventre, l'odeur de ses poils, et en même temps, je sors un préservatif de mon portefeuille, que j'enfile sur sa bite qui est déjà en train de monter.

Puis je la prends dans la bouche.

Ma technique de fellation consiste à commencer par lui téter le gland comme une tétine, sans faire de va-et-vient. En serrant les lèvres et les joues, en roulant la langue autour de son gland sa bite devient rapidement très dure. Il commence à pousser des soupirs encourageants.

Mais, n'ayant pas trop le temps, je décide d'aller vite à l'essentiel. Sa bite est de taille raisonnable, je pourrais tenter une gorge profonde, mais je préfère adopter une technique dont j'ai déjà pu vérifier l'efficacité rapide quand ma femme me la fait : tout en branlant la tige avec deux doigts et le pouce au rythme des va-et-vient de mes lèvres, je garde toujours dans ma bouche la langue contre la pointe de son gland. Le gland ne s'enfonce pas profondément car à chaque avancée, ma langue lui résiste et il vient s'y presser comme sur un airbag.

Très rapidement, il me retient la tête et me demande d'arrêter : avec le préservatif, je n'avais même pas remarqué qu'il avait déjà joui ! Il me regarde en reprenant son souffle. L'air heureux, il me dit :

– J'adore ta façon de sucer. Il faut absolument qu'on se revoie, mais sans capote.
– Non, je ne veux pas prendre de risque...
– J'ai compris, mais j'ai un centre de dépistage près de chez moi. Je vais faire des tests rien que pour toi, parce que vraiment, je ne veux pas laisser passer ça ! Rappelle-moi dans 10 jours. Voilà mon numéro… Je compte sur toi !

10 jours plus tard, je me rends chez lui, dans un pavillon de proche banlieue. Dans sa bicoque, le bordel est indescriptible : des tableaux, des sculptures, des livres, des revues, des bouteilles de pinard…

Cette fois, je prends mon temps pour le sucer, car je dois avouer que c'est la première fois que je suce une bite nue jusqu'au bout. Je me délecte du contact de mes lèvres sur l'ourlet de son gland, je savoure son goût et sa douceur si particulière, je fais coulisser la peau de sa tige avec mes lèvres, et cette fois, je n'hésite pas à faire pénétrer sa bite jusque dans ma gorge, jusqu'à avoir le nez enfoncé dans ses poils odorants.


J'adore aussi lever le visage et le regarder dans ses yeux bleus si troublants, si intrusifs pendant que je le suce. J'ai l'impression que ses yeux voient en moi comme si j'étais transparent ! Vraiment, je ne pourrais soutenir un tel regard dans aucune autre circonstance, mais là, c'est une espèce d'humiliation qui décuple mon plaisir.

Quand finalement je recommence à faire buter son gland sur ma langue comme dans la camionnette, je sens que sa jouissance augmente rapidement. J'y vais un peu plus mollo que l'autre fois, ayant tout mon temps cette fois-ci !

Mais après quelques va-et-vient langoureux, dans un grand soupir il pousse son gland gonflé de façon autoritaire. Pour la première fois, du sperme inonde ma bouche en plusieurs jets abondants. C'est visqueux, c'est collant, c'est tiède, c'est salé, ça me dégouline sur le menton et son gland autoritaire me viole la bouche sans ménagement : j'adoooore ! C'est un bonheur indescriptible !

Je prends un plaisir immense à nettoyer sa bite dans le moindre repli, aspirant les dernières gouttes, puis pressant la tige et le périnée pour en faire couler encore un petit peu. Bien sûr, j'avale tout avec une suprême délectation, sauf quelques gouttes qui avaient coulé sur mon menton et que j'y laisse sécher pour garder une empreinte de ce moment fabuleux.

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