Virginie Ou Les Pièges De L'Infidélité (2)

En la voyant attachée dans la cuisine, un godemiché enfoncé loin dans son sexe, Léopold avait vraiment halluciné. Qui avait pu lui faire ça? Il l'avait délivrée, consolé mais finalement pas trop cru son histoire de cambrioleurs qui n'avaient rien volé et l'avaient violé toute la nuit. Et puis les jours étaient passés. Il avait bien eu du mal à admettre qu'elle ne veuille pas porter plainte mais finalement cela l'arrangeait bien de croire sa femme toujours fidèle. Juste dommage qu'elle ne veuille plus de lui après "tout ce qu'elle avait vécu".
De son coté Vanessa était partagée entre une haine tenace pour Vincent et la manière dont il l'avait traitée et le souvenir lancinant des coups de queue qu'elle avait subi sous son joug. Personne ne l'avait jamais baisée comme ça et elle ne savait pas comment faire comprendre à son mari qu'elle avait besoin d'autres hommes. Qu'elle ne pouvait se suffire plus longtemps de ses baises rapides. L'occasion se présenta heureusement quelques semaines plus tard lors d'un dîner chez des amis. Quatre couples étaient là, dont les hôtes, Birgit et Wilhem, un couple d'Allemands installé à Paris avec lequel ils avaient sympathisé il y a plus d'une dizaine d'années. Elle n'était pas très grande mais incroyablement sexy avec sa grande bouche, ses cheveux blonds et son décolleté assumé. Il n'était pas non plus très grand mais également très sexe. Vanessa s'était souvent demandé ce qu'il valait au lit. Quant à Léopold, elle l'avait quasiment violé il y a quelques années et c'était un secret bien gardé entre eux.
"Vous êtes déjà allés en club échangiste?" Birgit aurait voulu laisser un blanc dans la conversation qu'elle n'aurait pas mieux fait. Les trois couples se regardaient en chiens de faïence sans réagir. A la surprise générale ce fut Vanessa, la présumée timide, qui reprit la balle au bon : "Non mais j'adorerais". Stupéfait, Léopold articula un petit "Tu crois" avant que Birgit renchérisse : "Nous on ne connaît pas non plus mais on aimerait en visiter un vendredi soir.

Vous venez avec nous?" Les deux autres couples dirent que non en rigolant jaune et Léopold essaya de rigoler une fois dans la voiture : "Elle nous a bien eu. C'est une blague j'en suis sûr." Quel donc ne fut pas sa surprise le vendredi soir de voir sa femme en train de s'apprêter. Elle portait un corset ultra sexy qu'il n'avait encore jamais vu et qu'elle lui demanda de lui lacer : "On ne fera rien ce soir, c'est juste pour voir mais j'ai envie de me sentir belle, tu comprends.
- Et c'est aussi pour ça que tu t'es rasée la chatte?
- Dans les clubs c'est quasiment obligatoire, je ne veux pas dénoter.
- Mais tu comptes être nue.
- Il faudra bien si tu m'honores..." Elle lui caressa le sexe et il se sentit pousser des ailes. La baiser, enfin…
Birgit et Wilhem étaient bien là au café à l'angle du club. Ils trouvèrent celui-ci très joli dans une cave d'un beau quartier parisien. Les femmes étaient sexy, les hommes pas toujours aussi jeunes mais certains "valaient le détour" confièrent les deux femmes à leurs maris en buvant des coupes de champagne. Ils ne purent s'empêcher de dire qu'il y avait aussi plein de belles femmes. "Oui, mais vous ne les touchez pas. Comme nous, on regarde juste."
Peu après ils s'enfoncèrent dans le méandre des coins câlins. Un spectacle qui les excita vite, surtout Léopold qui entreprit de déshabiller Vanessa. Pau après il la prit en levrette devant une grille ouverte. Il s'appliquait à la faire jouir les yeux fermés quand il se rendit compte qu'un homme lui caressait les seins au travers de la grille. Et elle ne disait rien... semblait même apprécier. Une minute plus tard il fut encore plus surpris de voir le même homme, un grand brun très classe d'une cinquantaine d'années, sortir son sexe et lui enfourner dans la bouche. Et elle le suça avec avidité, totalement soumise. L'excitation de Léopold était telle qu'il ne tarda plus à jouir. Devant lui Vanessa restait, offerte. L'homme fit le tour et s'approcha d'eux, demanda un "pardon, je peux" à Léopold avant de s'enfoncer d'une traite dans Virginie.
Et il l'entendit feuler, il le vit prendre ses seins, agripper ses fesses, la fesser gentiment, la baiser comme il ne l'avait jamais fait. "Tu aimes ça salope. - Oui, oui." Il hallucinait, devant Birgit et Wilhem qui étaient venus assister au spectacle mais n'avaient rien fait et qui lui lancèrent un : "On va vous laisser, bonne fin de soirée".
Enfin l'homme jouit et se retourna ravi : "Votre femme est une salope de première. Venez je vous offre à boire." Vanessa avait même du mal à marcher tant elle avait joui mais ce fut elle qui dit à Léopold qu'ils allaient le suivre. A sa table il y avait deux couples, la quarantaine, de très belles femmes dans la trentaine et des hommes plus âges. Tous semblaient bien installés dans la vie et ne se privèrent pas de complimenter Virginie sur sa plastique. "Elle a des seins de rêve", renchérit leur initiateur qui se nommait Pierre. "Et elle suce divinement." Autant Virginie semblait à l'aise en cette compagnie, autant Vincent se demandait ce qu'il faisait là. "Voulez-vous venir chez nous", proposa Pierre après qu'ils aient bu encore deux coupes de champagne. "On finira la nuit agréablement, mes amis sont restés très sages toute la soirée et sont sûrement plein d'énergie..."
Une demi-heure plus tard, ils étaient devant la façade bourgeoise d'un immeuble en pierre de taille du XVI° arrondissement. Vincent ne posait plus de questions, lui qui avait toujours été leader dans leur couple se laissait mener par le bout du nez par une Virginie enthousiaste. L'appartement était aussi beau qu'ils l'avaient imaginé. Un salon immense dans lequel les deux couples et Pierre les attendaient. Les deux femmes étaient à genoux devant des fauteuils et suçaient les hommes qui y étaient assis en se touchant le sexe. Pierre, déjà occupé, accueillit Virginie en lui demandant de s'occuper de leur ami, un grand brun à l'allure italienne qui sortit négligemment son sexe en indiquant à Virginie de se mettre à genoux. Et Virginie ne se fit pas prier pour sucer ce deuxième sexe de la soirée.
Il lui maintenait la tête d'une main pour s'enfoncer encore mieux en elle. Vincent regardait, fasciné.
Quelques minutes plus tard, le troisième homme, plus petit et trapu, dit à Vincent de s'asseoir à côté de lui et indiqua gentiment à sa compagne qu'elle devait dorénavant s'occuper de lui. Puis il se dirigea calmement vers Virginie, remonta prestement sa jupe et commença à la caresser. Quelques minutes de ce traitement suffirent à la rendre suffisamment excitée pour qu'il se décide à la pénétrer. Elle se fit la réflexion que, décidément, il n'était pas facile de sucer un sexe pendant qu'un autre vous pénétrait de plus en plus vite. Quant à Vincent, il s'était aussi décidé à pénétrer la belle blonde qui l'avait si bien sucé. Maris et femmes s'éclataient chacun de leur côté. Vincent jouit assez vite et pu voir alors Pierre qui demandait à son ami de lui laisser prendre Virginie. Son sexe semblait totalement ouvert aux assauts de ces hommes qui se proposaient mutuellement de s'y enfoncer. Bientôt les trois hommes eurent eu ce privilège, la retournant, la baisant mis sans s'intéresser encore à son anus. Ce tour vient quand Pierre proposa qu'ils la prennent en double.
"Non, articula faiblement Virginie.
- Si dit Pierre, il faut en passer par là. Vous aimerez vous verrez, nous allons bien vous préparer."
Il sortit un petit godemiché qu'il entreprit de lui mettre dans l'anus après l'avoir enduit de lubrifiant et commença un travail que Virginie sembla vite apprécier. C'est à ce moment là que Vincent se rendit compte que les deux femmes s'étaient éclipsées et qu'ils étaient seuls avec les trois hommes. Ceux-ci entreprirent de faire profiter Virginie de ces trois orifices. Elle n'y croyait pas, elle s'envolait littéralement de jouissance. Elle dut même s'endormir car quand elle se réveilla ce n'était plus d'elle dont les trois hommes s'occupaient, mais de Vincent. Ils avaient en effet rapidement lorgné sur lui, son corps d'éphèbe, sa peau douce, son sexe de taille moyenne, ses fesses.
.. Pierre avait donc d'abord négligé Virginie et s'était approché de Vincent : "Elle ne suce pas bien.
- Pardon.
- Je dis que quand on la baise elle ne suce pas bien. C'est inacceptable. Vous devez faire quelque chose.
- Quoi.
- Me sucer." Et Pierre lui avait pris la tête pour y enfoncer son sexe. Vincent ne s'était pas vraiment défendu, fasciné comme sa femme par l'autorité de Pierre. Peu après Pierre l'avait fait se retourner et préparé à son tour. Son sexe avait pénétré doucement les entrailles de Vincent pour lequel s'était une première fois. La première douleur passé il s'était littéralement empalé sur le sexe de Pierre quand celui-ci l'avait fait venir sur ses genoux. Un deuxième homme abandonna alors Virginie pour se faire sucer, puis un troisième. Voyant que Virginie sortait de sa torpeur, ils demandèrent aux deux de se mettre face à face pour qu'ils les sodomisent ensemble. Stupéfaite, Virginie vit alors son homme gémir devant son visage. Elle prit aussi son pied et tout s'arrêta enfin quand les deux hommes jouirent en eux non sans les avoir copieusement fessé avant.

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