Demi- Sommeil.

En ce moment, ma femme est un peu sous pression en raison de son travail. Elle est commerciale pour un laboratoire pharmaceutique. Elle fait de nombreuses heures. Les enjeux financiers sont assez importants.
Notre sexualité s’en ressent un peu: ce n’est jamais le moment, il y a toujours quelque chose qui la perturbe. Soit elle a besoin de dormir parce qu’elle est très fatiguée, soit l’instant est mal choisi pour je ne sais quelle autre raison.
Hier soir, nous nous sommes couchés vers 11h00. Un peu émoustillé, j’ai commencé à lui caresser le ventre et les fesses à travers ses sous-vêtements légers. Pas disposée du tout, elle a écarté ma main en me disant qu’elle était très préoccupée et qu’il fallait qu’elle se lève tôt pour voir un client, qui plus est « très chiant ».
Nous nous sommes finalement endormis après un échange de caresse et de baisers qui n’avaient rien de sexuel. Ça ressemblait plutôt à la tendresse.
Au milieu de la nuit, je me réveille à moitié sans véritable raison avec une érection de tous les diables. Ma queue est vraiment raide. Dans un demi-sommeil, je passe la main dans mon caleçon et me mets à me caresser très doucement. Je ne me masturbe pas. A ce moment, ma chérie se retourne dans le lit et pose sa main, encore endormie, sur ma main qui enserre ma bite.
Là, je me réveille vraiment. J’enlève ma main, baisse mon boxer et ce sont maintenant ses doigts qui sont posés sur ma verge turgescente.
Pas encore éveillée, elle réagit à cette invitation très claire en serrant ma queue dans ses doigts. Je me contracte pour lui montrer mon désir, j’écarte mes jambes pour qu’elle comprenne. Elle me dit avec sa voix endormie : « Tu ne dors pas complètement à ce que je vois.
- Je dormais, mais j’ai l’impression que tout mon corps n’a pas sommeil.
- Tu crois vraiment que c’est l’heure ?
- Je ne sais pas, je n’ai pas vu l’heure. Mais une chose est sure, c’est le moment. »
Elle lâche ma queue et me tourne le dos en me disant : « on verra demain, j’ai sommeil.

»
Trop excité pour résister, je plaque mon torse et tout mon corps brulant contre son dos.
Nous sommes sur le coté. Ma queue raide s’appuie entre ses fesses. Je passe ma main autour de sa taille et je me mets à la caresser à travers sa culotte. Ses cuisses se serrent en signe de refus, j’insiste en forçant le passage, je frotte vigoureusement ma main sur son sous-vêtement. Peu à peu ses cuisses se desserrent. Je sens enfin sa culotte humide.
Je passe dessous. Je caresse maintenant sa toison assez rase. Elle ne réagit pas.
J’écarte la culotte de sa chatte et doucement, je positionne mon gland à l’entrée de sa vulve. A ce moment, je la sens se cambrer en signe d’acceptation. Je fais un petit mouvement de bas en haut pour que ses lèvres s’écartent et se mouillent encore un peu.
Mon gland est maintenant hyper tendu, simplement recouvert pas ses lèvres humides. Là, je décide de ne plus bouger et de lui laisser décider de la suite des événements. Nous restons comme ça au moins une minute à attendre. Minute au bout de laquelle je m’aperçois que son corps se fait tout souple et que son souffle se fait de plus en plus lent.
Je tends l’oreille, je l’entends finalement ronfler très doucement. J’ai vraiment les boules.
Je me retire. Soudain, elle me retient, elle se cambre, passe sa main sur mon cul, empoigne ma fesse et s’empale fermement sur ma queue en se reculant d’un coup sec.
Elle me dit alors : « je t’ai eu ! Tu penses vraiment que je vais m’endormir avec une si belle queue entre les fesses. Il y a tout de même mieux à faire non ! » Toujours sur le coté, j’att ses deux hanches avec les mains et j’imprime un rythme très lent. Je me dis alors que cette femme est géniale. Elle enlève sa main de ma fesse et la mets dans sa culotte.
Elle se cambre encore un peu plus pour me permettre de la pénétrer encore plus profondément. Elle se titille le clito. Je la lime avec douceur. Mon rythme est à la fois lent et régulier.
J’y vais tout doucement mais je fais attention à bien enfoncer toute la longueur de ma verge. A chaque aller/retour, je sors presque mon gland pour mieux revenir au plus profond de son intimité. Nous restons comme ça dans le noir une dizaine de minutes, de très douces minutes au rythme lent de nos corps. Au bout d’un moment, je la sens se tendre, resserrer sa main entre ses cuisses. Elle vient de plus en plus vers ma queue qui se tend encore. Elle lâche un petit râle de satisfaction, je jouis enfin dans son ventre. Nos corps s’arrêtent de bouger. Nous sommes bien, nous ne disons pas un mot. Nous restons dans la même position et finissons par nous assoupir l’un contre l’autre sans changer de position. Ma queue débande et se retire doucement.
Ce matin, le réveil a sonné à 6h50, comme d’habitude. La radio s’est allumée. Sexual
healing de Marvin Gay nous a caressé les oreilles (belle coïncidence). Ma chérie a allumé la lumière, s’est retournée avec un grand sourire et les yeux encore gênés par la luminosité et m’a dit en s’étirant : « ça c’est une nuit réparatrice ! J’ai super bien dormi. Tu vas faire le thé stp ? »
J’ai mis de l’eau à chauffer pour servir cette jolie princesse du sexe que j’ai la chance d’avoir dans mon lit tous les soirs.

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