Exhibe En Voiture

Nous avons déjà raconté quelques unes de nos aventures.
Celle-ci est l’une des plus réussie de nos escapades nocturnes trop rares à mon gout pour plusieurs raisons :
Nous ne sommes pas toujours dipos sans et Sylvie, un peu flemmarde, a du mal à ressortir de la maison après préparatifs. Partir au restau ou ciné dans sa tenue du moment lui convient mieux que de s’apprêter selon mes désirs.
Néanmoins, pour satisfaire notre gout pour l’exhibe nous organisons quelques fois notre soirée en conséquence.
Ce fut le cas ce soir de fin de printemps.
Le choix de sa tenue était évident ; elle venait de s’acheter un tailleur d’été très léger blanc cassé. Petit désaccord pour les dessous, moi la voulant nue ! Elle finit par me convaincre qu’elle serait plus sexy avec un soutien-gorge balconnet et dentelles et elle accepta une culotte achetée dans un sex-shop, très jolie et fendue.
Elle a toujours raison, le résultat est époustouflant. La veste laisse entrevoir une bonne partie de sa poitrine a demi présentée par un dessous très suggestif, la jupe, sans être ultra courte, dévoile ses jambes déjà bien bronzées et une partie des cuisses. Elle est suffisamment transparente pour laisser deviner la culotte brésilienne. Sa forme et la légèreté du tissu font qu’elle épouse la forme de ses fesses en dessinant un joli sillon entre elles.
Direction restau et on verra après.
On laisse tomber le ciné. La dernière fois elle était restée un peu sur sa faim. Un spectateur, ayant vu notre manège – baisers, caresses et soupirs de Sylvie- était venu se mettre derrière nous au dernier rang et nous a regardé de très près, sa présence ne pouvant pas nous échapper.
Sylvie s’était vite retrouvée seins nus et jupe remontée jusqu'à la taille. Il a risqué une main sur un sein et devant la passivité de ma chère épouse a vite fait le tour de la rangée pour venir a coté d’elle. Elle l’a rapidement mis à l’aise en lui délivrant le sexe de son pantalon trop étroit et elle nous a masturbés tous les deux pendant que nous la caressions partout.

Elle commençait à nous sucer l’un après l’autre quand une bande de 5 ou 6 jeunes sont entrés dans la salle et ont mis le « bordel »
Rhabillage a toute vitesse et nous sommes sortis pensant que notre homme allait nous suivre. Après 10 mn d’attente sur le trottoir, il a fallu se résigner.
J’ai donc réservé une table au début de la salle et qui surplombe la terrasse dans un restau que nous connaissons et qui, en semaine est beaucoup fréquenté par des représentants ou hommes d’affaires.
Cette table nous permet d’être vus par les frileux qui sont à l’intérieur et ceux de la terrasse qui sont assez curieux pour lever la tête peuvent plonger le regard sous sa jupe. Comme la vue est féerique, nous buvons l’apéritif debout contre la balustrade. A chaque fois qu’un homme emprunte l’escalier, il lève la tête, je me demande s’ils peuvent distinguer la fente de la culotte.
Nous passons à table et on se demande quel homme a réellement compris notre manège. Comme nous surplombons la terrasse, on se met à prendre des paris sur tous ceux que qu’on aperçoit en bas en faisant des commentaires. Nous rions beaucoup et alcool aidant, Sylvie devient de plus en plus frivole. Comme elle est face à la balustrade je lui demande de remonter sa jupe et d’écarter un peu les cuisses. Moi je suis de coté et je la vois faire. Elle joue réellement le jeu et même se met de temps en temps les jambes carrément à l’équerre.
Nous voyons des regards dirigés vers elle mais digestif et addition plus tard, personne ne se manifeste réellement, nous décidons de partir.
Nous récupérons la voiture sur le parking et avant de démarrer je me jette sur elle, l’embrasse fougueusement et commence à la peloter.
Je surveille les alentours espérant voir un des clients, mais personne.
Nous partons. Ce petit intermède a eu pour effet qu’elle a sa veste ouverte et la jupe remontée très haut. Elle commence à se réajuster mais je l’arrête. Au contraire, je lui demande de se dévoiler encore plus.
Elle se soulève sur les fesses et remonte sa jupe sur la taille. Je la devine très très chaude.
Nous quittons la corniche, direction centre-ville, à l’opposé des endroits où nous avons l’habitude de nous exhiber.
Je ne peux pas m’empêcher d’aller faire un tour en ville, elle dans cette tenue. Je m’efforce de prendre les rues où il y a le plus de piétons. Les lumières me font réaliser la situation.
Elle est quasiment à poil !
Veste ouverte sur une poitrine généreuse à peine dissimulée dans un soutien gorge qui à lui seul la rend plus désirable que nue.
Jupe roulée sur la taille laissant libre la totalité de ses cuisses et une vue directe sur une culotte blanche dont on devine facilement la fente ouverte sur un sexe lisse tranchant sur le blanc.
Malgré mon hypnose engendrée par ce spectacle je repère une moto qui par deux fois s’arrête à coté de nous.
Je fais un petit signe de tête de salutation au motard et feu suivant il nous adresse la parole.
Il nous demande si Madame veut bien s’exhiber pour lui dans un endroit plus tranquille.
Le feu est passé au vert et déjà des coups de klaxon, je lui fais signe de se garer sur la droite où il y a une place. Il nous suit et descendant de sa moto il vient du coté droit.
Je descends et demande à Sylvie d’ouvrir sa vitre et fait le tour de la voiture.
IL a retiré son casque et nous explique que ça fait un moment qu’il nous suit, et, si nous acceptons il serait ravit de nous regarder.
35 /38 ans bien habillé et assez charmant, je demande à Sylvie qui me répond »je ne sais pas»
La connaissant, je sais que ça veut dire oui.
Je lui explique que nous avons nos habitudes sur le parking du port et la route des calanques.
Nous voila partis !
En chemin, j’apprends que par deux fois il a effleuré les seins de Sylvie et je ne me suis rendu compte de rien trop absorbé par la situation. En effet je me souviens l’avoir vu s’accouder à la portière mais je surveillais les alentours.

A chaque feu ou ralentissement il vient à coté de nous et j’en profite pour caresser Sylvie.
Nous arrivons sur le parking, je fais un tour et tout a l’air calme et noir.
Je me gare où il y a le plus de lumière.
Nous commençons par nous embrasser, je finis d’ouvrir sa veste, je libère ses seins de leur écrin blanc et je recule son siège puis baisse son dossier.
Je lui caresse les seins et descends jusqu'à son ventre.
Elle s’écarte pour me faciliter la tache et je découvre qu’elle est déjà bien mouillée.
Elle me défait la ceinture, baisse la fermeture éclair. Je m’arque boute et elle descend mon pantalon jusqu’aux genoux puis elle se penche sur moi pour m’avaler.
Je lui demande de se mettre à quatre pattes pour s’offrir en spectacle à notre motard que nous avons un peu oublié.
Un monospace permettant pas mal de fantaisies, elle tourne le dos a sa portière et se met en position les fesses collées à la vitre, elle commence une fellation dont elle a le secret.
J’actionne le bouton pour ouvrir sa vitre et le bruit la perturbe dans son va et vient buccal mais elle continue.
Je me contorsionne et att une lingette antiseptique en pochette que j’arrive à passer à notre motard.
Il va croire que c’est un préservatif !
J’aperçois au dessus de la nuque de Sylvie qu’il a compris et qu’il se nettoie les mains.
Immédiatement après le rythme de sa bouche change et je comprends qu’il est en train de lui caresser les fesses et même certainement de la doigtée, je devine ses doigts en train d’explorer le sexe de ma femme.
L’effet ne se fait pas attendre, elle me lâche et pousse un râle de jouissance.
Elle se redresse pour m’embrasser et je lui propose de s’occuper un peu de notre ami.
Je lui demande si elle préfère qu’on aille à l’arrière ou dehors.
« Je ne sais pas » chuchote t elle.
J’ouvre ma portière, descend, fais le tour de la voiture.
Notre ami a déjà repris ses investigations.

Sylvie est toujours dans la même position, à quatre pattes, cuisses écartées et fesses offertes.
Il a la main entre ses cuisses et je devine qu’il lui titille le clitoris. Je laisse faire jusqu'à entendre un nouveau râle encore plus fort. Si ça continue elle va rameuter tous les environs.
Je lui laisse reprendre son souffle, ouvre sa portière et lui demande de descendre.
Rapidement j’actionne l’ouverture de la porte coulissante arrière et att quelques préservatifs.
Quand je me retourne ils sont enlacés tous les deux pour un long baiser.
Sans les séparer, je défais la jupe de ma femme et la descend jusqu’aux chevilles.
Elle lève un pied puis l’autre pour m’aider à l’en défaire mais sans lâcher leur étreinte.
Je veux faire pareil avec la veste mais là je dérange car elle a un bras autour de son cou mais l’autre est entre eux deux et je devine qu’elle est en train de le libérer, le bruit de la boucle de ceinture ne fait aucun doute.
Elle l’abandonne, se retourne et elle se jette sur ma bouche. Nous échangeons un long baisé pendant qu’elle se débarrasse seule de sa veste qu’elle jette dans la voiture.
Elle est maintenant dehors, entre deux hommes, en culotte fendue et seins à l’air sortis de leur prison.
Le motard lui retire son soutien-gorge pendant qu’elle m’embrasse et me masturbe en même temps, lui, se plaquant contre son dos, lui malaxe les seins
Je sens son bassin se détacher du mien et ses fesses vont à la rencontre de l’autre ; je devine qu’elle a envie de se faire prendre.
Je lui tends une capote et recule d’un pas, je la soutiens pour qu’elle se penche en avant
Elle se plie en deux et s’agrippe à mes hanches, lui s’agenouille et lui lèche tout ce qu’il peut en même temps qu’il enfile le préservatif puis se relève et vient s’appuyer sur ses fesses.
A la réaction de ma chère et tendre, je comprends qu’il est entré directement grâce à la fente de la culotte, elle réagit immédiatement.
Il commence son va et vient et je lui fais signe de ralentir pour faire durer, je présente ma queue devant sa bouche qui me happe immédiatement mais pour une très courte durée ;
En effet elle me lâche presque aussitôt et jouit très fort, lui en profite pour se lâcher aussi assez bruyamment.
Je l’aide à se redresser, lui fais un petit bisou sur la bouche et lui demande de quitter son slip.
J’ai envie de la voir entièrement nue sur ce parking.
Elle le fait immédiatement, étonnée de ne pas l’être déjà, oubliant les bienfaits de sa culotte
« spéciale ».
Notre ami est en train de se réajuster, pour lui l’affaire est close !
Nous nous regardons tous les deux et inutile de parler, l’un et l’autre avions d’autres projets, mais tant pis, la nuit est encore à nous.
Il nous remercie chaleureusement, nous laisse son n° de tel. et démarre sa moto.
Soudain il me vient une idée pendant qu’il remet con casque.
Je lui demande de faire faire un tour de moto à Sylvie sur le parking dans cette tenue.
On met une serviette sur la selle et les voilà partis. Ce parking est très vaste et peu éclairé, ils disparaissent rapidement de ma vue, je n’entends que le bruit du moteur et suis le ballet du phare, je regrette de ne pas avoir d’appareil photo pour immortaliser la scène.
Ils reviennent, Sylvie descend et lui repart
Elle me raconte que dans l’obscurité le parking est loin d’être désert, il y à pas mal de promeneurs.
J’hésite un peu sur la suite, rester ici ou aller sur la route des calanques. Changer de lieu risque de casser l’ambiance.
Elle s’est assise à l’arrière de la voiture portière ouverte et a allumé une cigarette.
Il me semble entendre des pas venir vers nous. Je suis aux aguets et j’aperçois deux silhouettes qui sembles se diriger de notre coté.
Impossible de distinguer s’il s’agit d’un couple ou deux hommes. Ils font demi tour, je les suis quelques instants du regard et vais les abandonner quand je vois les clignos d’une voiture s’allumer et les distingue monter dedans. La voiture démarre et vient vers nous.
Sylvie a suivit le manège, elle aussi.
La voiture se gare à quelques mètres de nous.
Je propose à Sylvie de sortir faire quelques pas dehors.
Elle hésite un peu, voudrait se rhabiller mais je l’en dissuade.
Notre portière ouverte est à l’opposé de leur voiture. Elle descend, fait le tour et nous faisons quelques pas en passant devant leur capot.
Nous distinguons deux hommes mais qui ont l’air d’être très jeunes.
Sylvie est très chaude et je la ramène à la voiture pour continuer tous les deux.
Nous nous installons à l’arrière et recommençons a faire l’amour comme si nous étions seuls.
Très rapidement, ils sont là et je demande à Sylvie si elle veut que j’ouvre l’autre portière.
Je ne comprends pas exactement ce qu’elle murmure mais ça n’a pas l’air négatif. Je déclenche l’ouverture ce qui a pour effet d’allumer les plafonniers. Nous nous retrouvons en pleine lumière mais ça nous permet aussi de mieux voir nos admirateurs.
Ils ont 20/22 ans à tout casser, et certainement plus intimidés que nous.
Fesses à l’air, je me penche vers l’avant pour éteindre la lumière.
En me rasseyant je m’arrange pour pousser mon épouse plus prés de la porte et recommence à la caresser et l’embrasser comme s’ils n’étaient pas là.
Elle est tellement réceptive que je les oublie un moment.
Il faut dire qu’ils sont très discrets. Ils restent là, bouches bées à se frotter le bas ventre.
J’explique à haute voix à Sylvie qu’il lui faut s’occuper de nos invités avant qu’ils ne déchargent dans leurs pantalons.
Elle éclate de rire, eux ont l’air gênés.
M’adressant à eux, je leur propose de se défaire en précisant qu’elle apprécierait de les voir s’astiquer sous ses yeux.
Ils s’exécutent devant nous mais sans oser nous regarder.
Nous constatons ensembles qu’ils bandent un peu mou et pour être plus « présentables » ils commencent tous les deux à se masturber légèrement.
L’un utilise deux doigts, l’autre la pleine main…
En effet le premier a un sexe très petit, l’autre est plutôt très bien monté.
Je propose à Sylvie de prendre leur place, ce qu’elle fait immédiatement.
Elle est maintenant tournée vers eux et les branle consciencieusement.
Le « gros » grossit encore tandis que l’autre se redresse fièrement mais sans prendre plus de volume.
Sans que je n’ai besoin d’intervenir, elle se penche sur eux et commence par embrasser le bout de leurs sexes puis engloutit carrément le plus petit pendant qu’elle prend l’autre a pleine main et le masturbe.
Elle change de partenaire buccal pendant que je glisse ma main entre ses cuisses.
Sans être une femme fontaine, elle mouille abondamment, et là c’est le cas…ça coule sur sa cuisse. Je glisse deux doigts dans son intimité inondée, elle s’écarte pour me faciliter son accès mais sa position ne permet rien de plus.
Je lui demande de se retourner, ce qu’elle arrive à faire presque sans lâcher ses deux proies.
Elle est maintenant a genoux, un sur le siège et l’autre sur le plancher cuisses ouvertes et suce tour à tour nos deux voyeurs.
Ils ont défait leurs pantalons jusqu’aux genoux, ce qui permet à Sylvie de leur caresser les couilles en même temps.
A voix haute pour être entendu de tous, je lui conseille de ne pas les faire jouir pour en profiter encore plus.
Sans me répondre, elle continue a aller de l’un à l’autre.
Je pense qu’elle maîtrise la situation, elle sait sentir venir le point de non retour et doit profiter de changer de partenaire au bon moment.
Je me consacre donc à son plaisir en reprenant d’assaut ses fesses offertes.
Je me contorsionne pour arriver à lui lécher le sexe et la raie des fesses mais n’arrive pas a lui faire correctement.
Je la pénètre de mon pouce en lui caressant les lèvres et le clito de mes autres doigts.
Il ne faut que quelques secondes de ce traitement pour qu’elle lâche sa fellation et jouit en relevant la tête et en poussant un cri peu compatible avec l’endroit où nous sommes mais je continue ma caresse jusqu’au bout ce qui déclenche un nouvel orgasme mais heureusement moins fort et plus discret.
Je lui laisse reprendre ses esprits.
Je suis très inquiet des suites possibles et j’en fais part à tous.
Nous attendons un peu, rien ne vient, rien ne bouge mais la magie du moment a disparut.
Je demande dans le creux de l’oreille à Sylvie si elle veut continuer.
Avec une certaine mauvaise fois, elle me répond qu’eux n’ont pas jouit.
Je lui propose de descendre de la voiture pour « faire plus ample connaissance » et mieux profiter de nos visiteurs.
Elle me demande de passer le premier, puis je lui tends la main.
Elle sort, un peu gênée et les deux voyeurs s’en emparent immédiatement.
Ils se la partagent en baisers et caresses et elle se laisse faire avec une évidente satisfaction.
Voyant que ça devient vraiment très chaud, je leurs met dans la main un préservatif chacun, qu’ils s’empressent de défaire et d’enfiler.
Cette diversion n’échappe pas à Sylvie et elle baragouine quelque chose que je ne saisi pas mais entends quand même le mot sodomie.
Je pense avoir compris mais lui demande de répéter. Elle le fait mais presque à voie basse en parlant du « petit »
C’est une demande assez extraordinaire de sa part car elle n’accepte que très rarement cette pratique et encore que de moi.
Je profite de la situation pour la pousser à une espèce d’exhibe orale et insiste pour qu’elle le demande ouvertement.
Entrant dans le jeu, elle finit par presque crier : « je veux qu’il m’encule »
Je lui fais mettre le buste sur le siège arrière et lui demande de s’offrir.
Elle écarte les cuisses, je m’agenouille et la prépare avec ma langue, de la salive et un doigt puis laisse la place en lui demandant d’y aller doucement.
Il se place à l’entrée de ce tout petit trou et sa bite me parait plus grosse, j’ai peur qu’il n’aille trot vite, mais immédiatement je vois le bout disparaître et toute la longueur s’enfoncer pendant qu’elle pousse un feulement de plaisir… en même temps que lui ! il n’a pas pu se retenir.
Il a quand même l’idée de faire quelques va et vient qui déclenchent un véritable orgasme à Sylvie puis se retire.
L’autre se précipite pour prendre la place et je propose à Sylvie de se redresser un peu afin qu’il ne soit pas tenter de prendre le même chemin.
Comme son copain, il ne lui faut que quelques secondes pour se répandre et je vois ma main de Sylvie s’activer entre ses cuisses pour se finir elle-même avec un nouveau râle.
Je ne sais plus combien de fois elle a jouit mais elle parait épuisée.
Le premier, débarrassé de son préservatif a déjà reprit de la vigueur et je réfléchis comment on pourrait la prendre en sandwich.
Je la rejoins pour lui proposer mais elle refuse car elle a un peu mal et me dit qu’elle n’en peut plus mais elle veut me sucer devant eux et peut être recevoir leur sperme sur le corps.
Elle s’assoit sur la serviette au bord de la voiture et commence sa fellation.
J’en ai un de chaque coté qu’elle masturbe en même temps.
Je parts le premier, elle s’arrose le visage et récupère la fin dans la bouche ce qui déclenche les jets simultanés de droite et de gauche.
Elle s’en badigeonne le cou et les seins jusqu'à la dernière goutte.
Nos deux compères nous quittent à regrets, ils auraient bien remit ça !
Nous, nous restons un peu et échangeons nos impressions.
Sylvie me dit qu’avec un peu plus d’expérience ils valaient le coup et on se rend compte que nous n’avons pas pris leur tel contrairement au motard que nous ne contacterons certainement pas.
Alors tous les deux, si vous lisez ces lignes, n’hésitez pas !!

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