Gisèle 7

Le jeudi Julien me téléphona, me prévenant qui serait là dès le vendredi soir il ajouta "qu'il avait vraiment très envie !". Cela ne tombait on ne peut mieux, je crois que je n'avais vécu cette semaine que pour qu'elle se termine et que soit de nouveau dans les bras de mon amant. S'il savait dans quel état je me trouvais et combien j'étais disposée à tout lui passer… il en aurait profité….
Pour l'attendre, j'avais revêtu une jupe un peu déboutonnée sans string, comme il l'avait demandé (ou plutôt exigé) et un chemisier lui aussi un peu déboutonné sur un soutien gorge à balconnet. Je me pensais assez aguichante. En fait non, et je fus un peu déçue de sa réaction. Sa déception fut palpable :
"Je croyais que tu m'aurais attendu en tenue." Regretta-t-il.
"Je n'ais pas grand-chose à ôter, tu sais !"
"Non attends que je vois quelque chose !"
Prestement il passa sa main sous ma jupe. Là, par contre, il sembla satisfait de n'y rencontrer que ma courte toison qui avait finit par repousser.
"Aaaah voilà une petite chatte qui à envie !"
Dire que je mouillais était un euphémisme…. Vite, très vite, il me priva de ma jupe et attaqua mon chemisier dons je fus dépouillée sans attendre. Il se moqua de mon soutien gorge (pourtant en dentelle et très joli), me précisant qu'il devait en être comme du slip et ne se faire remarquer que par son absence. Il me laissa me l'enlever toute seule, me considérant ironiquement dans cet ultime effeuillage. Quand je fus totalement nue, il me prit enfin dans ses bras et fit comme la semaine écoulée. Il me plaqua contre ma porte d'entrée et me murmura :
"Alors… aujourd'hui… je peux te prendre ici ?"
Après tout, s'il le souhaitait, pourquoi pas ?
"Oui… si tu veux… prends-moi ! Prends-moi ici !"
Il prit la direction des opérations. Tout en se libérant il ordonna :
"Lève une jambe ! Passe-la autour de moi !"
Comme demandé, j'entourais ses reins d'une de mes jambes.

Je senti son sexe, dur comme de l'airain chercher ma fissure. Elle était là, chaude, ouverte, humide comme une fleur tropicale, ruisselante de nectar. Pour assurer ma stabilité, je passais mes bras autour de son cou. Il fléchit les genoux. L'estocade allait suivre…. Elle suivit…impériale et impérieuse. Ayant passé un bras autour de ma taille, il entreprit de me clouer contre ma porte à grand coup de reins. De son autre main, soit il soutenait ma jambe relevée, soit il me pétrissait un sein. Je ne pouvais ni le supplier de cesser de me cogner le dos contre ma porte, ni l'implorer de continuer à me brutaliser… sa bouche ne quittait pratiquement pas la mienne et nos langues et nos salives se mélangeaient sans repos. Il me besogna ainsi longtemps sans faiblir. A un moment, il me demanda même de passer mon autre jambe autour de lui. Cette fois il me tenait par les fesses et me laissait retomber sur son épieu. Je n'avais jamais été prise ainsi, c'était fabuleux… il était fabuleux… très viril et aussi très costaud pour m'honorer de la sorte. Je ne lâchais plus son cou tentant de m'accorder à la cadence qu'il m'imposait en frottant mes seins contre lui. En fin de compte, il finit par me faire reposer un pied au sol et "me finir" contre la cloison. Je crois avoir fait plus que gémir et quand il se raidit et que je senti son sperme fuser en mois je ne pus émettre qu'un "Ooooouuuuuuuuiiiiiiiii…." reconnaissante et abasourdi.
Tout deux flageolants (quand même) nous nous affalâmes au salon et nous pûmes boire le verre que j'avis préparé.
Il vint me rejoindre sur mon canapé et tout en me complimentant sur ma souplesse recommença à me caresser. Il n'y avait aucun doute, il savait parfaitement faire renaître mon désir. De mon clitoris à mes seins en passant par ma bouche il avait un don terrible pour réveiller mes ardeurs. Pourtant contrairement à ce que je croyais, il ne voulut profiter (tout de suite) des feux qu'il avait allumés en moi.
"Je t'emmène dîner" me dit-il.

Je regardais machinalement autour de moi, histoire de retrouver mes vêtements. Ayant intercepté mon regard, il souligna :
"Le soutif, ce n'est pas la peine !"
Je filais à la salle de bain me nettoyer et me rendre à nouveau potable. A mon retour, il me demanda si "je m'étais lavé le sexe " (en vrai il dit "la chatte"). Devant ma réponse affirmative, il eut une moue et me précisa :
"C'est ridicule… puisque tu vas encore mouiller et que je vais encore te la remplir….".
J'eus un moment d'absence de la vraie vie. Il avait dit : " je vais encore te la remplir" et il n'y eut que cela qui compta.
Il m'emmena dîner dans un petit bar ou il me sembla qu'il avait ses habitudes. Je le reconnu bien. Le monde était petit. C'était le bar ou Fabrice nous avait donné rendez-vous pour faire connaissance avec Roger et Nadine…. Il n'y avait qu'une clientèle presque exclusivement masculine et d'évidence pas mal de regards se portèrent sur moi. Malgré, disons, le pittoresque de l'endroit et sa clientèle, la table, bien que simple était parfaite. Pourtant je failli m'…. D'une voix pas trop confidentielle, Julien me déclara :
"J'aime beaucoup voir tes seins bouger sous ton chemisier ! J'ai hâte de les toucher et de les sucer !".
Je m'aperçus que nos voisins table avaient entendu et semblaient prêter l'oreille. Il voulut savoir en suite si j'avais envie de lui. Comme je sollicitais des "Chuuut… chuuut", il monta un peu le ton et voulu savoir si en plus je mouillais. Je dus lui confirmer tout cela pour qu'il cesse son manège, non sans avoir annoncé, pratiquement à la cantonade, qu'il allait me prendre en levrette dans mon salon. En fait je ne fus pas fâchée de quitter cet endroit d'une part parce que j'avais un peu honte de son attitude et du qu'en dira-t-on et d'autre part parce que je souhaitais vraiment qu'il mette ses promesses à exécution. A ce sujet j'avais tort de m'inquiéter avant de remonter en voiture, il m'avait plaqué contre celle-ci pour m'embrasser sans retenue et me faire sentir son érection.
Pendant le trajet, il "m'entretint" en ma caressant les cuisses sous ma jupe. Dès notre arrivée chez moi chemise et corsage, jupe et pantalon s'envolèrent et se mêlèrent sur la moquette pendant que ses mains autoritaires m'avaient contrainte à me placer en levrette sur mon canapé. Son intromission et sa fougue furent à la hauteur de mes espoirs. Que c'était bon ! Prise de cette façon animale mes sensations étaient complètes. J'aimais assez, mais sans plus cette position à l'accoutumée. Mais avec lui tout était différent. Il avait une façon à la fois très sensuelle et extrêmement virile (presque brutale) de me prendre que je fondais littéralement. Il me rappelait Fabrice et sa bande. Ses mains crispées sur mes hanches me faisaient me cambrer et m'offrir encore plus à son membre qui coulissait et remplissait mon vagin surchauffé. Pire encore, moi d'habitude n'étais pas ment très expansive pendant l'acte, je me laissais aller à l'encourage dans ce style si primaire dont les hommes raffolent :
"Ahhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... C'est ça... Oh oui, continue... Ohhhhhh... Julieeeennnnn…. Plus fort…. Encore…encore !"
Et lui n'était pas en reste et m'accompagnait de ses "Tiens… tiens" ou ses "Prends…. Prends" ou encore ses "C'est bon hein ?".
Je ne pus émettre qu'un "Je jouiiiis" étranglé juste avant que l'orgasme ne me ravage uniquement ponctué bruits mouillés de son pieux taraudant mon intimité. C'est ce semi brouillard que je sentis se contracter au maximum et se vider par saccades. Ensuite, je lâchais prise et complètement démantibulée m'effondrais sur le canapé avec lui par-dessus moi. Je me crus incapable de subir encore un assaut. Je m trompais, car cette dans ma chambre et juste avant que nous nous endormions, il me fit de nouveau l'amour. Il m'avait placée sur le coté, s'était mis derrière moi, m'avait fait lever une jambe et s'était introduit en moi. Il m'avait ainsi honoré longuement, ma jambe levée retenue par son bras. Ses mains s'étaient refermée sur mes seins par lesquels il se tenait, cependant que moi une main passée entre mes cuisses, je caressais ses testicules de nouveau pleine de ce sperme dont il me gratifia en fin de notre réunion au septième ciel et avant que le sommeil ne nous foudroie.

Cette fois c'est moi qui émergeais la première, le bas ventre passé à la moulinette, mais peut être encore un peu gourmand. Julien dormait encore… son sexe dressé vers le plafond… eh oui… encore. Malgré l'envie qui me prit de m'en saisir, je me levais sans bruit, passais un peignoir et filais à la cuisine nous faire un café. Il me rejoignit peu de temps après. Après m'avoir embrassé voluptueusement, il me fit ôter mon peignoir en me rappelant qu'il me voulait toujours nue. Je m'éclipsais prendre une douche et m'arranger un peu. Je le retrouvais dans mon salon toujours nu lui aussi. Il prit ma place à la salle de bain et je commençais à nous préparer un petit repas. J'étais dans mes petits préparatifs quand il revint. A partir de là, il n'arrêta pas de me tourner autour, ne perdant jamais une occasion de me caresser ou de m'embrasser dans le cou, sur les épaules, les seins et évidemment la bouche. Sa virilité était toujours dressée et menaçante. Il finit par me coincer contre mon évier et deux doigts vinrent prendre possession de mon sexe. Il m'avait réveillée… je le caressais moi aussi et ondulais contre lui. Finalement, il me fit asseoir sur le rebord de l'évier. Après qu'il m'eut écarté les cuisses, il s'agenouilla entre elles pour m'octroyer un cunnilingus d'anthologie. Ses lèvres et sa langue commencèrent à s'occuper délicatement de mon clitoris. Celui-ci, soigné comme il le fut se gorgea vite de sang et se raidi sous les caresses buccales. Je gémis de me sentir aspiré par ses lèvres affamées. J'avais raison sur un point. Comme je vous l'ai dit j'avais eu l'impression que sa langue était particulièrement longue. Lorsqu'il me le mit dans le vagin, je pus mesurer combien je ne m'étais point trompée… un vrai petit sexe qui me procura une belle jouissance pendant que j'appuyais sa tête contre ma vulve et que je devais lui inonder le visage de mes sécrétions intimes. D'ailleurs j'en goûtais moi-même les fragrances, puisqu'il me roula une pelle fiévreuse.
Il se recula un peu jusqu'à ce que ses fesses rencontrent la table de cuisine à laquelle il s'appuya. Des yeux il me désigna son membre dans une sorte d'injonction muette. Je compris m'approchais. Je le pris en main et me courbais pour tout d'abord achever de me faire apparaître son beau gland et y déposer quelques baisers puis quelques coups de langues. Enfin ma bouche s'en empara et je me mis à genou. Ce fut à ce moment là que je réalisais vraiment l'imposante taille de son membre. Il m'emplissait bien la bouche et j'aurais du mal à le prendre en entier. J'aimais assez pratiquer une fellation à mes amants. Lui, ce serait pareil, j'allais y mettre ton mon savoir faire, toute ma sensualité. Je le léchais, l'aspirait, le serrais entre mes joues. De temps à autre, il passait ses mains dans mes cheveux et appuyais un peu sur ma tête pour son gland turgescent vienne chatouiller ma luette. Un jour, c'était sûr, il me l'enfoncerait encore plus… gorge profonde…mmmmm !
Je crus suffoquer quand il éjacula en grommelant je ne sais quoi. Sa semence crémeuse et épaisse m'emplit la bouche. Je dus libérer sa hampe pour pouvoir déglutir et vite je la repris en bouche pour en extraire les ultimes gouttes. En m'aidant à me relever, il me fit part de son contentement :
"Mais… dis moi ! C'est que tu te défends pas mal du tout… je crois que tu vas pouvoir te mettre à apprendre à respirer par le nez…. "
Nous prîmes ensuite un temps pour nous restaurer avec ce que j'avais préparé. Là, il me dit qu'il était désolé, mais qu'il me laisserait après dîner. Il m'indiqua qu'il avait le lendemain un repas de famille… vraie ou fausse excuse ? Quoi qu'il en soit, il jeta son dévolu sur une chambre d'ami pour la sieste… qu'il débuta avec trois doigts d'une main dans mon vagin et mon clitoris entre le pouce et l'index de son autre main. Même dans cet exercice il était diabolique et dès qu'il eut achevé de me faire tordre sous ses caresses par des frissons de jouissance, il trouva mon sexe épanoui et ouvert à ses envies. Il me remonta les jambes sur ses épaules et prenant appui sur le lit de chaque coté de moi, il se mit à me prendre en cadence comme s'il faisait des pompes. Recroquevillée sous lui, je ne pouvais que le subir…et qu'est ce que j'aimais cela ! Ne pouvoir rien faire d'autre que subir la loi d'un mâle puissant et fougueux, quel bonheur. J'avais fait une fois l'expérience d'être attachée pendant l'acte et cela ne m'avait pas déplut. Mais qu'est ce que serait avec lui ! Il faudrait, si nos relations perduraient que je lui suggère… je pensais qu'il aimerait bien me soumettre…. J'étais loin du compte ! En attendant cette fornication farouche nous mena tout deux à la jouissance.
Après avoir récupéré, il décida que nous irions dîner comme hier. Je lui avouais ma préférence pour un tête à tête à mon domicile. Il insista d'une part pour que nous sortions et d'autre part pour "m'aider" dans mes choix vestimentaires. Comme la veille, je fus privée de sous vêtements et portais ce qui avait choisi : un chemisier ample, au tissu très léger et une jupe fendue. Même petit bar… même type de clientèle… peut-être les mêmes personnes qu'hier… et lui avec ses yeux rivés sur moi… et moi, avec le sexe brûlant…. Assez peu habituée à m'exhiber de la sorte (et ce n'était qu'un commencement… un pâle début…), je me prenais au jeu. Je le voyais me désirer et j'en rajoutais dans l'oscillation de ma lourde poitrine. Je peux bien l'avouer je me plaisais à l'allumer et aussi… aussi à me faire remarquer des autres clients qui peut être le jalousait avec envie. Comme pour répondre à des désirs enfouis, il m demanda de déboutonner un troisième bouton de mon corsage. Le sillon entre mes deux globes était devenu bien visible. Je crois que les regards eurent plus d'acuité tout d'un coup. Je crois aussi que mon ventre se crispa et que mon vagin se trempa derechef. Une envie brutale de sexe venait de me saisir et quand il me raccompagna, cuisses écartées je le laissais fourrager ma vulve tout le long du trajet. Arrivés chez moi, je lui proposais d'entrer. Il fit semblant d'hésiter. J'insistais, lui précisant que j'étais bien chaude de ses manigances. Il fait semblant de tergiverser avant se rendre à mes arguments. En un clin d'œil nous fûmes nus. Il s'allongea sur le dos à même la moquette, au beau milieu du salon et me demanda de le chevaucher en énonçant :.
"Puisque tu en as si envie, c'est toi qui fait le boulot !"
Je vins de part et d'autre de lui, d'abord accroupie. Je pris son membre en main et le guidais à ma béance puis toujours en le tenant fermement, j'abaissais mon bassin pour le faire délicatement entrer en moi. Quelque vas et viens parachevèrent l'introduction et je pus m'agenouiller complètement pour jouer du bassin. Les mains croisées derrière la nuque; il suivait mes prouesses d'un œil amusé. De temps à autres, il me prenait par les fesses ou par les seins pour me faire appliquer une cadence plus appropriée. C'est ainsi que me démenant comme une possédée un soir de sabbat, je jouis de cette folle cavalcade. C'est encore toute essoufflé que je sentis sortir de moi, me positionner en levrette, toujours à même la moquette et m'enfiler fiévreusement. Cette fois, c'est lui qui "faisait tout le boulot"… et à grand coup de bassin, je vous jure…. J'étais tellement insatiable et avide qu'il me fit jouir encore. J'éprouvais un orgasme animal, bestial… de femelle en chaleur…. A nouveau il me délaissa et je le retrouvais debout campé face à moi, sexe dressé. Je me redressais sur mes genoux et sans prendre la peine d'y réfléchir à deux fois j'engloutis cette hampe brûlante, j'allais presque dire sortie fumante de mon intimité, du moins enduite de la cyprine dans laquelle je l'avais fais mariner. Je gouttais mes sucs sur sa verge… mes sucs… puis les siens… en longue rasades épaisses et salées.
La re descente fut catastrophique. J’avais presque oublié que Julien devait me quitter. J’en fus toute contrite. Devant mon air tristounet, il me promit que le week-end prochain, il me le réserverait et qu’il me ferait passer des moments de folie. Je voulus le croire… oh oui !

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