Un Diner De Gala

Un de mes interlocuteurs habituels, sur ma messagerie favorite, me demandait avec insistance, depuis plusieurs mois, de lui présenter Catherine, avec qui il avait envie de passer un moment. Toutefois, j’avais hésité à en parler à ma femme, parce que les projets de mon correspondant étaient très éloignés des goûts de Catherine…
Patrice, est en effet, un adepte du bondage, de la contrainte, et il désirait que ma femme soit sa prochaine « victime ». Il m’avait longuement expliqué qu’il désirait disposer d’elle, dans un endroit tranquille, où il pourrait l’attacher, et r d’elle. J’avais bien essayé d’en discuter avec ma femme, mais, dès que j’abordais le projet de la faire attacher par un inconnu, elle se fermait dans un refus têtu. Pourtant, je dois reconnaître que l’idée me tentait beaucoup… Depuis quelques mois, je constate que Catherine s’habitue à être offerte à d’autres hommes. Elle est moins difficile à convaincre, et il n’y a plus eu de refus de sa part, depuis bien longtemps. Je décidais donc de la livrer à Patrice, sans la prévenir des exigences de mon ami.
Un mardi soir, du mois de juin dernier, donc, je l’informai que, vers 19 heures, elle était attendue par un de mes amis, avocat de métier, dans les anciens bureaux de ma société, encore meublés mais inoccupés depuis que j’ai déménagé ma production en dehors de la ville. Je lui précisai qu’elle devait se rendre au rendez-vous vêtue d’une jupe, d’un chemisier, et de sous-vêtements blancs. Elle devait aussi prévoir un petit gilet pour le cas où nous sortirions ensuite pour diner tous les trois… elle s’étonna que je sois présent, car elle sait que ce qui me plait le plus, c’est de l’envoyer retrouver un homme, puis qu’elle revienne me raconter tout, sans rien oublier… je lui répondis que je ne savais pas encore si je viendrais : cela dépendrait des exigences de Patrice…
A l’heure dite, Catherine se présentait dans mon ancienne entreprise, et elle fut accueillie par Patrice, qu’elle n’avait encore jamais rencontré.

Il est à peu près tout ce qu’elle n’aime pas : plutôt gros, pas très grand, il fume beaucoup, boit trop, et a la réputation d’aimer les situations glauques. Ma femme, le découvrant, regretta d’être venue, dès qu’elle le vit. Mais il était un peu tard pour fuir, et surtout, elle ne sait pas dire non, en particulier quand je la présente à des hommes surs d’eux. Patrice est très sur de lui. Aussitôt Catherine arrivée, il lui prit la main, et l’amena dans mon ancien bureau. Il ferma la porte derrière lui, afin d’éviter d’être dérangé par un visiteur importun… Ma femme était enfermée avec un véritable obsédé sexuel : à peine la porte refermée, il ordonna sèchement à Catherine de se mettre nue : « mets toi à poils salope, que je voie ton cul »… ma femme, un peu surprise, mais obéissante, commença à déboutonner son chemisier. Pendant ce temps, Patrice avait allumé un cigare, et contemplait ma femme, assis dans un fauteuil, dans l’angle du bureau. Un peu intimidée, Catherine ne savait pas où regarder. Elle baissait la tête, et se retrouva en jupe, et posa le chemisier sur une chaise… « Continue ma beauté, que je mate tes miches ! »… elle descendit la fermeture de sa jupe, qu’elle enleva, sagement. Elle était maintenant en sous-vêtements devant ce gros homme vulgaire… « Enlève-moi tout ça, ma biche, et donne moi ces jolies petites choses ». Catherine dégrafa son soutien gorge, et le tendit à Patrice. Ses superbes seins étaient exposés au regard de Patrice, qui tendait maintenant la main vers la culotte. Catherine baissa le minuscule vêtement, et fut enfin nue devant son tortionnaire.
Sans se lever de son fauteuil, il fit signe à Catherine d’approcher, et quand elle fut assez près de lui, il tendit sa grosse main vers les fesses de ma femme, qui se retrouva empoignée par ce gros vicieux. Il ne prit aucune précaution, et ne chercha jamais à lui donner du plaisir : il voulait la malaxer, la dominer… il pinça ses seins, claqua ses fesses, et s’engouffra sans douceur dans son sexe délicat… il la força à se mettre à genoux, devant le canapé du bureau, et, sans qu’elle puisse se dégager, il lui attacha les poignets au montant du canapé, avec du scotch à cartons d’emballage, qu’il avait trouvé dans le dépôt désert…
Ma femme se retrouva les bras en croix, agenouillée devant un canapé.
Bientôt, alors qu’elle ne pouvait pas se débattre, elle eut les genoux liés à chacun des pieds du canapé. Elle était crucifiée à genoux… Patrice entreprit alors de la fouiller, prenant possession avec ses gros doigts, de l’intimité de Catherine. Il entra deux, puis trois doigts dans cette petite chatte épilée, puis entreprit de forcer l’anus si serré qu’elle voulait préserver…
Catherine ne s’attendait pas à ce traitement. Elle se sentait humiliée, salie, méprisée, mais son tempérament de soumise l’incitait à ne rien dire : elle se laissait faire, mais n’y prenait aucun plaisir. Elle reçut de fortes claques aux fesses : il lui donnait une fessée douloureuse, de ses grosses mains qui marquaient ses fesses de larges traces rouges et boursouflées. Elle gémissait, mais elle n’avait pas réellement mal : elle sentait quelque chose d’un peu excitant dans ces claques qui la ramenaient à l’enfance…
Après l’avoir fouillée, visitée, malaxée, et battue, Patrice eut envie de jouir… il s’agenouilla derrière Catherine, baissa son pantalon, et sortit sa grosse queue de son slip. Il cracha un peu de salive sur les fesses de Catherine, et, mouillant son gland dans ce crachat, pénétra Catherine d’un coup, lui enfonçant son membre au fond de ses entrailles… il lui bourra le sexe comme une brute, et ne tarda pas à jouir, en gueulant, et lui remplissant le vagin de grandes giclées de sperme. Après s’être complètement vidé de son foutre, dans le sexe de Catherine, il sortit sa queue du ventre de ma femme, se rajusta, et, lui assénant une ultime, et très forte claque au cul, lui déclara : « tu es une bonne pute. Je dirai à ton mari de te ramener ici de temps en temps. Quand tu reviendras, je veux que tu portes ça » joignant le geste à la parole, il passa un collier de chien en cuir rouge autour du cou de Catherine. Il fixa au collier une laisse de métal, dont il fit pénétrer la sangle dans l’anus rougi de ma femme.
Content du spectacle que lui offrait ma femme, attachée écartée à un canapé, de dos, avec le bout d’une laisse dans l’anus, et des gouttes de sperme qui s’écoulaient du sexe béant, il annonça à ma femme qu’il partait, en laissant la porte ouverte, pour que son mari n’ait pas de difficulté à venir la libérer… Ma femme était paniquée, à l’idée que quelqu’un pourrait la trouver dans cette posture, et lui demanda de la détacher, mais il sortit en riant, laissant la porte ouverte, et la lumière allumée…
Ma pauvre femme était en larmes lorsque j’arrivais : elle avait honte d’avoir été humiliée et m’en voulait de l’avoir poussée dans ce piège.
Elle ne savait pas que Patrice m’avait appelé en quittant le bureau, et qu’il avait attendu devant le dépôt, pour protéger ma femme de visiteurs imprévus…
Je mis au moins cinq minutes à la libérer de tout le scotch qui la liait au canapé. Quand elle fut enfin débarrassée de ses entraves, Catherine se releva, toute endolorie d’être restée attachée si longtemps dans cette position inconfortable. Elle me demanda de l’aider à enlever le collier de chien, et le jeta dans la poubelle du bureau. Elle s’aperçut alors que Philippe était sorti en emmenant ses vêtements. Je lui prêtai ma veste, qui suffisait à l’envelopper complètement.
Catherine était furieuse, et sortit la première, me laissant fermer le dépôt sans m’attendre.
Elle fut stupéfaite de retrouver, près de sa voiture, Patrice qui l’attendait en souriant. Comprenant qu’elle s’était inquiétée pour rien, elle se détendit, et je les retrouvais riant ensemble de la peur de Catherine.
J’entendis alors ma femme avouer à Patrice qu’elle avait été excitée par sa façon de la malmener, et qu’elle avait bien aimé qu’il se serve d’elle comme il l’avait fait.
J’étais à la fois soulagé de l’entendre reconnaître son excitation, et très excité, à mon tour, par la perspective qu’elle venait de m’ouvrir… Patrice avait changé de comportement avec elle : il était redevenu prévenant, et agréable. Tout à coupe, il déclara : « je vous emmène dîner à la pointe rouge. Je connais un restau sur la plage, très sympa. Il y a une belle terrasse : il fait doux ce soir, ça va être agréable. Toi, Catherine, remets ta jupe et ton chemisier, mais je garde les sous-vêtements : je te les ramènerai au bureau demain… François, suis nous avec ta voiture : j’ai envie de ramener Catherine ce soir. Elle laissera sa voiture ici. Tu es d’accord ? ». « Avec joie », lui dis-je !
Catherine enfila jupe et chemisier, et je la vis s’installer dans la voiture de Patrice, qui démarra aussitôt. Nous nous rejoignîmes devant le restaurant, et je notai que le chemisier de Catherine était bien trop ouvert pour un dîner en ville : on apercevait son torse jusqu’à la naissance de ses seins libres sous le fin tissu… mais Catherine ne semblait pas s’en soucier.
Patrice la prit par la main, et je suivais. Arrivés au restaurant, j’entendis mon ami demander une table pour deux. Un peu surpris, je les regardai s’installer au fond de la terrasse, près de la cuisine. Je décidai de jouer le jeu, et fis comme si nous n’étions pas ensemble, me dirigeant vers une table éloignée où je m’installai. Ma femme me tournait le dos, et j’étais face à Patrice. Catherine se retourna une seule fois, me sourit, haussa les épaules comme pour me dire « c’est comme ça… », puis s’assit et ne s’occupa plus de moi.
Il y avait encore deux tables occupées, mais la soirée était déjà bien avancée, et les derniers clients finissaient de dîner.
Je vis le serveur, un jeune homme plutôt mignon, s’approcher pour prendre la commande. Il ne manqua pas de constater que les seins de Catherine ne demandaient qu’à prendre l’air. Je pense que c’est volontairement qu’i resta debout près d’elle pour prendre la commande de leur dîner. Patrice semblait très à l’aise, et blaguait avec lui…
Quelques instants plus tard, je vis Philippe faire signe au serveur de s’approcher, et il lui dit quelques mots à l’oreille. Je vis le jeune homme acquiescer, et il se tourna vers Catherine, qui se leva, et lui suivit, lorsqu’ il se dirigea vers la sortie. Aussitôt qu’ils furent sortis, Patrice vint me rejoindre et me dit : « je l’ai envoyée se changer, et il l’accompagne pour qu’elle ne soit pas seule à cette heure sur le parking. »
Quelques minutes plus tard, Catherine revenait dans le restaurant, suivie par le serveur. Elle ne portait plus son chemisier, mais le petit gilet de coton blanc très fin, sans bouton, noué devant par un cordon. Ses seins étaient à peu près aussi visibles que si elle n’avait rien porté du tout… je compris en regardant la bosse qui déformait le pantalon du serveur, qu’elle avait changé de vêtement devant lui… il avait les joues rouges, et semblait ravi de l’aubaine.
L’un des clients, encore installé à une table peu éloignée, fixait ma femme, se demandant probablement ce qui était en train de se passer. Sa femme dut le rappeler à l’ordre, car il demanda l’addition, et ils partirent peu après, non sans que l’homme ait pris soin de passer tout près de ma femme en sortant, se rinçant l’œil une dernière fois…
Les derniers clients partis, à part moi, qui me faisais discret, je regardais avec passion ce qui se passait à la table de ma femme. Je vis Patrice faire signe à Catherine de relâcher un peu le gilet, et elle s’exécuta aussitôt. Comme par enchantement, le serveur apparut peu après, pour apporter une carafe d’eau, et se pencha au dessus de Catherine, en la matant sans se gêner. Patrice lui demanda quelque chose à l’oreille, et je le vis acquiescer avec joie. Il se pencha alors sous la table pour ajouter une cale sous un pied de table. Je vis distinctement Catherine ouvrir les jambes, pendant que le serveur était accroupi sous la table, face à Catherine. La manœuvre dura quelques secondes, et quand il se releva, notre serveur avait toujours une énorme bosse au pantalon. Ma présence, à l’autre bout de la terrasse, devait l’obliger à être discret. Il ne savait pas que j’étais un des joueurs de cette partie…
Peu après, Catherine se rendit aux toilettes. Le serveur l’accompagna pour lui indiquer le chemin. Il entra avec elle, et je ne pus savoir ce qui se passait derrière la porte. Mais, quelques instants plus tard, Catherine ressortit des toilettes, et son gilet délié témoignait que les mains du serveur n’étaient pas restées sur la poignée de la porte.
Patrice m’envoya un texto sur mon portable : « demande l’addition, et reste planqué derrière les plantes de la terrasse ».
Je fis ce que me demandait mon ami à peine étais-je sorti, que le serveur ferma le restaurant. Il s’était enfermé avec Patrice et ma femme. Je vis alors Patrice ordonner à Catherine de se lever, et de laisser le serveur la déshabiller. Elle fut bientôt nue, debout, face à ce jeune homme qui ne savait pas trop quoi faire…
Patrice lui dit quelques mots, et je le vis alors prendre Catherine par la main, et l’entraîner vers la cuisine. Patrice profita de leur absence, pour m’apporter les vêtements de Catherine, en m’ordonnant de les garder avec moi. Ainsi elle n’aurait aucune possibilité de s’habiller puisque j’aurais tous ses vêtements dans ma voiture.
Patrice était resté assis à sa place, et attendait patiemment. Il m’avait envoyé un texto me disant qu’il attendait le dessert.
Quelques minutes plus tard, je vis, depuis ma cachette, le serveur amener un chariot de dessert inédit : sur une table roulante, ma femme, nue, les chevilles et les poignets liés ensemble par de la ficelle de cuisine, avait les seins enduits de crème chantilly, parsemée de framboises, et sa chatte avait été tartinée de chocolat à tartiner. Quelques fruits étaient englués dans le chocolat, et une banane émergeait de sa chatte. Dans ses mains ligotées, une coupe de champagne, et, dans sa bouche, le bouchon de champagne, comme un blason…
Je crus éjaculer dans mon pantalon, tellement cette vision de ma femme, exhibée comme une volaille prête à cuire, ma parut incroyablement excitante.
Patrice et le serveur s’amusèrent à lécher le corps de Catherine, transformé en dessert pour gourmand vicieux… je voyais ma femme gigoter sous les caresses, et j’entendais qu’elle gloussait comme une poule excitée. Ils riaient de laper le chocolat qui s’était immiscé dans les lèvres de sa chatte, et qui coulait entre ses fesses… Ils mordaient les seins en picorant les framboises, ou les tétons… la banane fut enlevée avec les dents, et d’autres bananes furent introduites dans cette chatte exhibée, et dans l’anus chocolaté que la position de Catherine rendait si accessible… je pensais qu’elle devait souffrir de cette posture inconfortable, et de la finesse de la ficelle, mais elle semblait docile, domptée…
Après un long moment, Patrice, d’un coup de couteau de cuisine, trancha la ficelle, et ma femme fut libérée. Elle descendit difficilement de la table roulante, et fut amenée à la salle d’eau, où elle fut nettoyée par un serveur dévoué…
Revenue dans la salle, escortée par le jeune homme empressé, je la vis s’asseoir sur les genoux de Patrice, qui lui parlait à l’oreille. Elle hocha la tête, et se dirigea vers le serveur, à qui elle dit que son mari voulait qu’elle fasse ce qu’il désirait. Le serveur la prit dans ses bras, l’embrassa en lui malaxant les seins, puis l’amena sur un canapé, près de l’endroit où j’étais caché. Là, il ôta son pantalon, laissant apparaître une belle queue, bien dressée, et fit signe à Catherine de s’installer sur son bel engin. Je vis alors Catherine s’agenouiller face à lui, et, doucement, s’empaler sur ce jeune sexe bandé. Elle était à quelques centimètres de moi, et me tournait le dos. Lui, fermait les yeux en sentant ma femme s’enfiler sur lui, montant, descendant, et le recevant entièrement. Jeune, et peu préparé à cette situation, le e serveur jouit presque aussitôt, et je le vis se raidir en gémissant. Catherine resta sur lui, figé dans ses entrailles, puis, le sentant se relâcher, se releva, en plaçant sa main sous son sexe béant, pour recueillir le sperme qui s’en écoulait, et éviter de tacher le canapé du restaurant. Elle eut aussitôt les mains pleines du liquide chaud et gluant, et j’entendis Patrice lui ordonner sèchement : « lèche ta main ».
Patrice s’approcha de Catherine, l’installa à quatre pattes sur le canapé, près du serveur, qui prit les seins ballants de ma femme à pleines mains. Il prit, sur une table voisine, une bouteille d’huile d’olive, et en versa quelques gouttes sur l’anus de ma femme, qu’il enduisit avec les doigts. Catherine savait ce qui l’attendait. Je la vis baisser la tête, et elle poussa un cri de douleur quand la grosse queue épaisse de Patrice força son pauvre anus si étroit, et s’enfonça jusqu’à la garde dans son intestin… il l’enculait sauvagement, et ponctuait son mouvement de va et vient de grandes claques sur le cul de Catherine, qui criait au même rythme.
Après quelques minutes, la jouissance de Patrice explosa, et il jouit en beuglant, restant dans ce cul torturé, qu’il remplissait de sperme.
Il sortit de ce cul douloureux aussi brutalement qu’il y était entré, lui asséna une dernière claque monumentale qui la fit hurler, et lui ordonna de l’attendre à la voiture.
Je le vis ensuite payer le diner, et noter le numéro de téléphone du serveur, puis partir en riant, après lui avoir proposé de lui prêter sa petite salope de temps en temps.
Sorti de ma cachette, je m’approchai discrètement du parking, où j’aperçus, cachée par la nuit, Catherine, nue, frissonnante, recroquevillée pour ne pas se faire remarquer, qui attendait docilement le retour du mâle qui la dominait. Il arriva peu après. Elle lui demanda où étaient ses vêtements, et il lui répondit qu’il me les avait confiés lorsque j’étais rentré à la maison, après le dîner.
Elle lui demanda alors si j’étais encore dans les parages, et s’entendit répondre : « pas du tout, ma bichette. Tu es seule avec moi. Et je pense que je vais te garder cette nuit. Je vais prévenir ton mari que tu ne rentreras pas ce soir. ».
Ma femme répondit : « j’aimerais mieux rentrer, je n’ai rien pour demain matin, et je commence tôt au bureau. »
Patrice la fit taire : « Tais-toi ! Je t’ai dit que tu restes avec moi. Je n’aime pas dormir seul, et j’ai un pote à la maison qui n’a pas tiré depuis des mois. Il a été plaqué par sa femme il y a un an, et il squatte ma chambre d’amis. Je pense que tu vas lui redonner le moral. Je te préviens, si tu ne fais pas ta gentille, tu vas le regretter : lui et moi, c’est pareil. Ce qu’il veut, c’est ce que je veux. Tu as pigé ? Pas d’histoires. Compris ? »
Catherine n’avait pas envie de continuer. Elle ne répondait pas. Patrice s’approcha d’elle et lui reposa la question : »tu as compris ce que je viens de te dire ? » Et, joignant le geste à la parole, il lui pinça les seins, la faisant crier.
« Ne me faites pas mal. Je ne suis pas un chien. Je ne veux pas que vous me frappiez. Je voudrais que mon mari vienne me chercher. Appelez-le »
Patrice prit son téléphone et fit semblant de m’appeler : « ça sonne mais il ne répond pas », lui dit-il.
Il composa un autre numéro de téléphone : »salut Fernand, je te réveille ? Tant mieux ! Je t’amène une petite salope qui va te remettre le compteur à zéro : tiens-toi prêt, c’est une belle petite bourgeoise que son mari m’a prêtée pour que je l’éduque. Tu vas voir ses nichons : de la bombe, mon vieux ! Et je te le dis, tu peux l’enculer à sec : elle a été alésée par ma bite : un vrai petit fourreau d’amour… à tout de suite : on est là dans cinq minutes… »
Je vis alors Patrice ouvrir la portière de sa voiture, et pousser ma femme à l’intérieur. Il lui ordonna de s’asseoir sur sa main pour ne pas tacher le siège de la voiture.
Il démarra, et je le vis s’éloigner, emmenant Catherine pour la livrer à un autre homme… ma petite bourgeoise chérie aura eu trois sexes d’hommes différents ce jour là, mais j’en étais réduit à me branler en pensant à ce qui allait lui arriver…
De la voiture, Patrice me rappela : il me demanda d’apporter, pour le lendemain matin, une tenue propre, et un nécessaire de toilette, ce que j’amenais à l’heure dite. Je ne pus voir ma femme qui était endormie dans la chambre d’amis, avec le sexe de Fernand enfoncé dans son sexe…
Elle ne revint à la maison que le lendemain soir, et refusa de me raconter quoi que ce soit de ce qu’elle avait vécu…
Par contre, elle me confirma qu’elle devait se rendre, désormais, au domicile de Pierre, chaque mardi, et peut-être aussi chaque jeudi.

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