Je Retrouve Un Ancien Ami

Cette histoire c’est passée en août 2007, mais plantons le décor.
Une petite station balnéaire sur la cote varoise, un groupe de plaisanciers rassemblé pour un apéritif et parmi ces plaisanciers un couple, moi M et mon mari R, ainsi qu’un ami du couple P.
Depuis plusieurs semaines P me fait une cour assidue et ne manque aucune occasion pour me complimenter sur mon physique ainsi que sur mes maillots de bain qui me vont à ravir, enfin tout y passe pour me faire tomber dans ses filets. Il faut préciser que par le passé il avait tenté de me sauter mais pensant qu’il s’agissait d’un coup monté, avec mon ex mari avec qui il était particulièrement copain, je n’avais pas succombé à l’exception d’un baiser furtif, que j’avais cependant trouvé agréable. Sans que cela soit une obsession j’en ai gardé un petit regret, je m’en rends compte aujourd’hui.
L’assemblée débuta par un discours au cours duquel je me tenais à l’écart de mon mari afin de permettre à P de commencer sa cour, car je voyais bien que tel était son désir. J’étais moi-même particulièrement excitée par la situation et n’avais qu’une envie, voir le désir briller dans ses yeux, entendre ses flatteries qui me procuraient des minuscules spasmes dans le bas ventre.
P comme je l’avais prévu s’approcha de moi et m’effleura sans précipitation, je voyais mon mari qui écoutait les discours, j’en profitais pour me laisser draguer. Le désir de P se faisait sentir de plus en plus, je lisais l’envie dans son regard, j’avais des difficultés à cacher la chaleur qui montait dans ma chatte je la sentais humide, gourmande de queue. J’avais envie de la queue de P, ma chatte la réclamait. Je voulais le sucer, qu’il me touche, me caresse, m’enfonce sa queue, j’espérais …
Les discours terminés mon mari nous rejoignit, se rendit-il compte de quelque chose ? Toujours est-il qu’il s’approcha de nous et nous proposa un nouveau verre de pastis qui eu pour effet de me désinhiber totalement, puis se penchant vers moi il posa sa main sur mes fesses (j’adore) et je compris ce que ce geste voulait dire.

Nous parlons souvent d’intégrer à nos ébats un deuxième homme et je dois dire que si je suis habituellement réservée sur la chose, j’étais ce jour là particulièrement d’accord pour que cela se fasse.
Nous partîmes donc vers notre bateau, sachant tous les trois ce que nous attendions. A peine étions-nous dans le carré que quatre mains avides parcouraient mon corps, enlevant ma robe, caressant mes anches, mes fesses, mes seins ; ôtant mon soutien-gorge, s’insinuant dans mon string, caressant ma chatte y pénétrant. Mon mari par derrière me pelotait les seins en embrassant mes épaules, pendant que P la main dans ma chatte trempée m’embrassait plein de désir. Je sentais sa bite tendue contre mon ventre alors que celle de mon chéri se collait dans la raie de mes fesses. Je n’en pouvais plus j’envoyais la main dans le pantalon de P et lui attrapais sa queue dure comme du bois, la branlais, la sentais grossir s’humidifier, puis m’agenouillant je la prenais enfin en bouche pour la sucer longuement, déposant de petits baisers sur le gland, l’aspirant toute entière, descendant jusqu’aux couilles, remontant en suçant l’avalant à nouveau, je n’y tenais plus je voulais sa queue dans ma chatte tout de suite. Nous nous rendons dans notre cabine où, nus tous les trois, nous reprenons nos ébats mon mari couché sur le dos devant moi, je m’empressais d’avaler sa queue couverte de sécrétions humides, alors que derrière me pétrissant les fesses P posait sa queue au bord de ma chatte, se régalant du spectacle, puis d’un seul coup de rein s’enfonça profondément en moi m’arrachant un ralle de plaisir et me procura immédiatement un orgasme qui me fit sortir la queue de mon chéri de la bouche. Reprenant rapidement ma pipe mon chéri me proposa de venir m’enfoncer sur sa queue, ce que je fis présentant ainsi mon cul à P qui céda sa place dans ma chatte et présenta sa queue à l’entrée de mon cul (chose que je refuse à mon chéri) et lentement pénétra mon petit trou, puis callant leur rythme ils entreprirent de me faire jouir comme jamais se vidant dans mon corps en rallant de plaisir.

La journée tirant à sa fin nous décidons de ne pas nous quitter ainsi et de passer la soirée ensemble pour finir la nuit couchés tous les trois dans la même cabine, nuit pendant laquelle le sommeil n’eu pas beaucoup de temps à lui trop décider à jouir de notre entente. La nuit fut chaude, moi aussi, je fus prise par l’un par l’autre, ensemble, j’ai sucé l’un j’ai sucé l’autre, j’ai embrassé les deux, j’ai joui comme jamais.
J’espère recommencer bientôt.

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