Chantal Dans Une Boite De Rencontre

Chantal et un autre couple et moi on est dans une boite à partouze. On est à quatre à discuter autour d’une boisson.
Ce soir là, il y a peu de couples. Essentiellement des hommes seuls, louches, un peu troubles. Peu de femmes aussi. L'ambiance est un peu glauque et on est un peu sur nos gardes. Une petite musique plante une ambiance chaude.
Chantal porte son tailleur noir croisé sans rien d’autre dessous qu'un léger soutien-gorge en coton blanc et une culotte de la même couleur. J'ai eu beaucoup de mal à la convaincre de s'habiller ainsi. La femme qui est en face de nous, (des copains) est bien coincée.
Chantal est encore la plus belle. Bien maquillée, elle en jette ! Elle est la femme BCBG un peu hautaine et très brillante. Quelques hommes rôdent et la dévisagent sans vergogne. Ils passent, jettent un œil, la détaillent de loin puis reviennent. Bientôt ils s'enhardissent et s’approchent. Je sens Chantal se tendre et avoir peur. Elle croise et décroise nerveusement les jambes découvrant sans le savoir un peu plus de ses bas. Les hommes la regardent et matent. Elle boit un peu. Un peu plus même, comme pour se donner du courage.
Quand un voyeur un peu plus effronté vient s’asseoir à côté d'elle sur la banquette, j’ai peur de l'incident. Elle se cabre mais ne lui jette aucun regard. Au contraire, elle continue à discuter avec nous en l’ignorant complètement.
L'homme dans un premier temps reste immobile se contentant de caresser des yeux la femme assise près de lui. Il a la soixantaine bien sonnée, un regard brillant comme saoul. Ses lèvres sont humides et goulues et il est mal rasé avec une barbe blanche. Ses cheveux sont sales. Il est plus près du clodo que du PDG. Il doit sentir de la bouche.
Moi, je suis assis également sur la banquette sur la droite de ma femme. Je le vois soudain qui se glisse doucement tout près de Chantal, à la toucher. Elle ne veut pas le voir. Nous en face, on est sur nos gardes.

Un autre homme s’est approché. Il semble considérer Chantal pour une proie. Il tourne autour d’elle ne la quittant pas des yeux. Deux autres se sont approchés, flairant le bon coup. Il allait se passer quelque chose ! Si cette femme si belle est ici en ces lieux, c'est sûrement qu'elle est disposée à jouer le jeu. Ils sentent qu'il faut être là au bon moment. Sans menace, ils sont bien présents.
Parmi eux il y a un jeune qui doit tout juste avoir 18 ans. Il semble être accompagné par un second qui doit être un membre de sa famille. Ils ont des regards complices. L’aîné encourage l’adolescent qui paraît timide. A plusieurs reprises il le pousse à s’approcher pour ne pas manquer le spectacle qui s’annonce. J’imagine qu’on l’a emmené là pour se dessaler !! Pour le moment, il a les yeux carrément fixés sur les cuisses de Chantal qu’il ne quitte que pour mater dans l’échancrure de la veste du tailleur et essayer de saisir un morceau du tissu du soutien gorge blanc.
A ce moment le tableau est le suivant : Chantal et moi à sa droite sur la banquette de cuir. En face notre couple d'amis, un peu en retrait et spectateurs, même si le mari n'a d'yeux que pour le décolleté de ma femme. A sa gauche, sur la banquette, le bonhomme et en face, debout, les deux complices. Un troisième homme s'est approché, il a une main dans sa poche et au mouvement visibles sur son pantalon on devine facilement qu'il est train de se toucher en matant la belle.
Chantal a bien repéré le plus jeune mais aucune allusion à l’aspect de l’homme assis à côté d'elle. Elle est de biais et lui offre son dos de 3/4. Le vieux se penche pour voir dans l’échancrure de la veste du tailleur. Il n'a pas la honte ! il semble assuré que cette belle n'est là que pour se faire mater !
J'ai peur de la réaction possible de Chantal qui sait être radicale quand elle le désire. Pour l'instant, elle néglige. Le comportement du voyeur derrière lui échappe. Pas à nous. Placé comme il est, il doit bien voir ce qu’il aspire à voir.
On continue de parler et comme si rien ne se passait alors qu’il était certain maintenant que quelque chose se passait.
L’homme qui accompagne le jeunot s’est mis à danser sur la piste de danse en regardant Chantal dans les yeux. Elle croise son regard et lui sourit, amusée, et ravie. L’homme danse bien. Le petit jeune, le regard en coin, mate toujours vers ma femme.
Chantal, s’adosse à la banquette tournant toujours le dos à son voisin qu’elle feint toujours de ne pas avoir vu. Sa veste s’étire, et ses jambes croisées laissent mieux voir maintenant ses charmes. Elle est superbe. Je n ai jamais vu Chantal aussi détendue. L’alcool qu’on a pris avant de venir doit faire son effet, effaçant toutes les inhibitions de son éducation. Je l’ai bien vue une fois se laisser aller mais pas dans une telle situation et si intensément.
Soudain, le "clodo" vieillissant sort un fin foulard noir de sa poche et avec des gestes lents, rassurants pour ne pas effrayer, il le passe devant les yeux de Chantal qui esquisse un geste de recul. Elle s'empare du foulard pour le rendre à son propriétaire. C'est l'incident ! Tous, autour, reculent discrètement.
Puis l'homme lentement reprend son geste, très lentement, sans rien dire. Chantal me regarde droit dans les yeux comme pour m'accuser de ce qui lui arrive. Je lui fais un clin d'œil signifiant que cela me plait et qu'elle peut se laisser aller. Je regarde son voisin et lui fais signe de recommencer. Alors, cette fois, à ma grande surprise, elle baisse les mains et laisse le geste s’accomplir. Incroyable ! L'homme lui cache les yeux de son bandeau qu'il noue délicatement derrière sa tête. Chantal est ainsi sans yeux, face à des individus lubriques aux pensées sales et impures. Elle s'abandonne au dos de la banquette. Le petit vieux lui saisit le menton et lui bascule la tête en arrière offrant le cou et le haut de la poitrine encore cachée par le tailleur. Il lui caresse le visage. Il est laid et Chantal superbe. Le jeunot s’est approché, ne craignant plus rien comme protégé par le foulard qui le soustrait au regard de la femme.
Il a sorti sa bite et se branle imité par son parent. Tout s'accélère, je suis au spectacle, dépassé par ce qui se passe.
Le vieux descend sa main et caresse la poitrine, Chantal repousse d'abord la main puis se laisse faire. Encouragé, il descend encore, ouvre le seul bouton de la veste découvrant le soutien-gorge éclatant de blancheur dans la lumière tamisée de la salle de danse. On ne voit que lui, dessinant la courbe d'un sein. En dessous, son ventre est nu jusqu'à la taille.
L'homme caresse les seins sur le vêtement puis le ventre jusqu'à la limite de la jupe noire. Chantal lui maintien la main mais le laisse la caresser comme pour contrôler la situation. Quand il s'aventure trop près du bas ventre, Chantal le retient fermement. Il a compris et revient au soutien gorge. Et quand il se met à lui peloter les seins sur le tissu, elle enlève sa main. Le type alors en profite.
Le jeunot explose déjà dans une éjaculation violente et saccadée au sperme abondant. Il souille la moquette à ses pieds. L’homme qui pelote Chantal glisse, sa main dans le vêtement blanc. Chantal repousse, il revient à la charge, elle se dégage, l'homme n'insiste pas. Elle respire de plus en plus vite. D'énervement ? D'excitation ? Impossible de le dire. En tous cas, elle reste adossée au dossier de la banquette, le tailleur ouvert.
Et quand son voisin revient à la charge, cette fois elle le laisse faire,
et se saisissant du sein blanc, il le sort de son étui pour le faire jaillir à la lumière. Aucune réaction de Chantal qui s’abandonne à l’exhibe. Il commence alors à titiller le bout pour le faire bander. Les tétons sont biens dessinés, bien en relief, ils sont entourés d’une aréole large et brune, à la couleur caramel. Chantal respire plus vite. D'autres mâles qui se sont rendu compte que spectacle était commencé et doucement, ils s’approchent, sortent leur bite pour quelques uns et se branlent. Le jeune lui s’est encore approché. Il ne semble plus timide du tout protégé qu’il est par le bandeau qui le cache.
Moi, je quitte ma place sur la baquette à côté d’elle pour la laisser encore plus offerte et sans défense, ainsi exposée aux hommes. C’est le jeune qui vient prendre ma place à côté d elle, poussé par son parent qui l’encourage. Il regarde le vieux lui peloter le sein qu’il a dénudé. Il n’ose pas toucher. Puis, timidement, il approche à son tour sa main et se saisit du visage qu’il attire à lui pour lui prendre la bouche. Chantal se laisse faire. Il pose d’abord délicatement ses lèvres sur celles de Chantal comme pour ne pas briser le charme, puis il s’enhardit et lui force les lèvres pour introduire sa langue qu’il commence à remuer rapidement, maladroitement, semblant explorer les moindres recoins de sa bouche. Il ne se sent plus de retenue devant Chantal qui lui rend son baiser. De la salive perle aux coins des lèvres des deux amants.
Le vieux a ouvert encore plus la veste et passant ses mains dans le dos de Chantal, il lui dégrafe le soutien-gorge. Le jeune s’empresse de saisir le sein à sa portée et le pétri maladroitement. Son parent s’est planté devant elle et se branle de plus en plus vite. Soudain tout son corps se cambre, son regard se fige sur les seins nus et il éjacule devant lui dans des râles bruyants. Il dirige sa bite vers la femme. Des giclées de sperme vont de figer entre les seins blancs de Chantal qui a un petit geste de surprise. Le jet suivant l’atteint au visage, puis un autre, puis enfin un dernier vient s'écraser sur sa cuisse. Le jeunot bande à nouveau et pelote toujours le sein près de lui alors que le vieux crade a glisse une main sous la jupe noire et commence à la remonter découvrant une cuisse entièrement nue. Il caresse la chair douce et chaude puis continuant son ascension, il atteint le slip de coton blanc qu’il écarte de suite découvrant les poils noirs du pubis. Rapidement il s’empare des lèvres luisantes de sécrétions qu’il écarte pour découvrir des petites lèvres toutes humides. Il introduit un doigt dans le plus profond de ma femme. Soudain, elle se cabre et retient la main qui la fouille, la viole, mais l’homme d’autorité lui rejette la main et commence une masturbation, entrant et sortant son doigt de la chatte ouverte. Ses doigts sont rapidement humides et brillants de la mouille du sexe excité qui montre un plaisir certain à cette branlette. Chantal, au contraire de résister, s’abandonne en ouvrant largement ses cuisses aux doigts de son voisin. Le jeune, qui ne perd rien du spectacle, a pris la main libre de Chantal et la pose sur sa bite toute tendue et prête à éclater. Sans vergogne cette fois, il réclame une branlette. Chantal s’exécute toujours sans rien et branle lentement la queue tendue qu’elle enserre fermement dans sa main. Deux autres voyeurs se sont approchés et caressent les seins offerts. Chantal a alors à ce moment quatre paires de main sur son corps.
Alors le vieux qui en veut plus et qui semble la faire sienne, la prend par les hanches, l'attire à lui et la monte à genoux sur la banquette lui offrant sa croupe rebondie. Il lui remonte la jupe sur les reins découvrant les fesses encore habillées de la petite culotte blanche. Il caresse les rondeurs et remontant encore plus la jupe sur les hanches, jusqu'à la taille il descend la petite culotte découvrant le cul de ma femme. Il glisse son nez entre les fesses qu’il écarte de ses deux mains et entreprend de lécher le cul et la chatte ouverts devant lui. Visiblement il réalise là son plus grand vice. On l’entend qui souffle entre deux coups de langue.
- Putain qu’il est bon ce cul. Cette femme, les gars, elle a une chatte qui a un goût et une odeur super. Je n’ai jamais bouffé un si bon cul.
Et s’adressant à moi :
- Je vais te la défoncer ta pute mec ! Elle va goûter de ma grosse queue bien au fond de sa chatte si chaude. Je vais fouiller son ventre. Elle mouille ta salope. Je vais la fourrer devant toi et la faire crier de plaisir.
Ces mots crus excitent la meute. Chacun se sent alors l’envie d’y aller de son petit commentaire.
Devant elle, Chantal a saisit la bite du petit jeune dans la bouche et la suce sans retenue. Elle participe la salope !
Le vieux a sorti la sienne qui bande encore bien et la présente à l’entrée du ventre ouvert et sans attendre, il s’enfonce d’un coup tout excité et commence à la bourrer sans douceur. Il jouit très vite et se déverse longuement dans l’intimité violée. Repus, il se retire remplacé aussitôt par le parent du jeunot qui bande à nouveau. Du sperme s’écoule d’entre les fesses tendues. Chantal reste là, le cul ouvert, en attente, les reins cambrés, offrant sa croupe à qui veut bien la prendre. Elle attend. Une trainée de sperme glisse lentement sur l’intérieur de sa cuisse. Elle ne bouge pas.
Celui qui vient de prendre la place derrière elle, commence par contempler la rondeur et la raie des fesses devant lui. Il plaque sa main et la caresse avec douceur. Puis comme pressé de profiter de ce fruit, il présente sa bite à l’entrée de la chatte trempée et sans attendre, il se met à limer. Puis sortant sa queue, il la présente à l’entrée des reins. Chantal n’a pas été souvent sodomisée. J’ai peur qu’elle ne refuse. Heureusement sa queue n’est pas très grosse mais par contre, elle est très longue. En plus Chantal est toute humide entre les fesses: le sperme du vieux et ses propres sécrétions. L'homme écarte à son tour les fesses pour les offrir en spectacle autour de lui. On sent que s'est installé autour de Chantal un groupe qui baise une femelle en chaleur.
Donc l'homme qui va la sodomiser présente sa proie aux complices. Il s'écarte, montre, il introduit un doigt dans l’anus ouvert, l’enfonce un peu plus, lui fait faire des mouvements sur lui-même, et de va et vient. Il branle l’anus avec son doigt dans un geste extrêmement obscène et en même temps très sensuel.
- Ouvre-moi ton cul ma belle dit-il. Pousse bien que l’on voit ta corolle s’épanouir. Va s’y pousse, ouvre-toi bien, relâche tes muscles comme pour chier.
Ces paroles blessantes excitent Chantal car on voit soudain son petit trou s’ouvrir et laisser apparaître un morceau de chair rose encore plus intime.
- Tu as honte hein, ma salope. Tous ici voient ton cul de bourgeoise méprisante. Et cela t’excite de savoir qu’on te prend tous pour la pute que tu es et que tu veux qu’on sache que tu es. Pousse encore.
Et ma femme s’exécute au risque de s’oublier devant tout le monde. Son violeur lui introduit alors brutalement un doigt dans le cul relâché.
Chantal se laisse faire et même répond à cette nouvelle caresse en dressant encore plus sa croupe en guise de plaisir. Les yeux bandés, le cul à l air, une bite toute jeune dans la bouche, les seins qui pendent sous elle, malaxés par des mains brutales, elle semble irréelle.
L’homme qui lui branle le cul, abandonne son doigt et présente son sexe qu’il introduit sans effort dans les reins maintenant dilatés. Chantal se cabre sous la douleur. La moitié de la colonne de chair est avalé. Il marque un temps d’arrêt, écarte les fesses pour montrer encore alentour la pénétration, puis dans un coup de rein plus puissant, il enfonce son dard jusqu’à la garde, venant buter contre les fesses rebondies. Ainsi planté il goûte un moment le plaisir de ce fourreau étroit qui lui enserre la bite, avant d’entreprendre de limer ce cul sans douceur. Chantal, peu habituée à la sodomie est encore très étroite à cet endroit, faisant le délice de son enculeur:
- Tu es étroite ma salope. Ton mari n’a pas dû avoir souvent le privilège de ton cul ! Tu as l’air d’aimer cela pourtant. Sens-tu bien mon nœud qui vient bien au fond de ton cul ? Il est long et bien dur. Dis-moi que tu le sens bien dans tes entrailles. Dis-le bien fort que tous t’entendent dire que tu aimes te faire enculer. Dis-le !
Et à ma grande surprise, j’entends ma femme, qui d’habitude refuse de parler pendant l’amour, dire abandonnant un instant la bite du jeunot :
- Oui ! Timidement.
- Plus fort, crie son violeur.
- Oui, dit-elle, d’une voix assez forte pour que chacun puisse l’entendre.
- Précise bien que tu la sens bien au fond de tes entrailles et que cela te donne du plaisir de te faire enculer.
Et Chantal, sans plus aucune retenue se laisse aller à dire :
- Oui, je sens bien ton nœud au fond de mon ventre, entre mes reins et cela me donne du plaisir de me sentir ici enculée devant tous.
L’homme alors accélère son mouvement pour assouvir sa jouissance et dans un cri, il se déverse dans le cul défoncé de cette femme. Chantal qui a repris sa pipe au jeunot reçoit la semence dans ses boyaux au fond de son ventre.
Devant, le jeunot qui regarde et suit la scène qui se passe devant lui, la queue entre les lèvres de Chantal, n'en rate pas une miette. Tout en pétrissant les seins, il lime dans la bouche qui le reçoit. Très vite, il se déverse en elle, lui maintenant la tête contre son ventre pour l’empêcher de s’échapper et l’obliger ainsi à avaler toute sa semence.
Chantal est crevée, fatiguée et comblée. Je demande à tous de la laisser maintenant se reposer. Tous s’éloignent en m’adressant un petit sourire complice et de remerciement dans lequel se mêle en même temps une certaine envie.
Si cela vous intéresse d’en savoir et voir plus écrivez.
AL

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