La Chaude Nuit D'Hervé.

Hervé profite de l'absence de sa femme Laure, partie en séminaire avec sa société, en clair elle est allé se faire niquer et tailler des pipes à son directeur, pour inviter son copain Louis, un jeune métis, à venir passer le week-end, dans sa villa avec piscine. Ils sont âgés d'une trentaine d'années. Louis est célibataire, et on lui prête pas mal d'aventure avec les deux sexes. Mais jamais une manière déplacée avec le couple. Ses talents de cuisinier étant limités, Hervé a prévu de faire des grillades. Il fait une chaleur caniculaire. Les deux hommes prennent l'apéritif sur la terrasse. Ils sont tout les deux vêtus d'un caleçon de bain.
-Enfin une soirée sans femme, dit Hervé, tu le crois, çà s'arrose.
-Te plains pas, répond Louis, Laure est une super femme, très belle.
Le rosé aidant, les deux copains commencent à rire pour un rien, se taquinent. Louis devient entreprenant. Il essaie d'attr le sexe d'Hervé. Pour arrêter ce petit jeu, celui-ci envoie les grillades. Mais la dernière bouteille de rosé a raison de sa lucidité. Il est déjà minuit, et il fait toujours aussi chaud
-Et si on prenait un bain, propose Louis, à poils, bien sur, l'eau doit être bonne.
-C'est pas con, répond Hervé, çà me réveillera.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Hervé est surpris de voir le sexe de son copain, douze centimètres au repos. C'est à peine s'il ose quitter son caleçon, tant il a peur de se sentir complexé.
-Ben dit dont, dit-il, tu es monté comme un âne.
-Tu sais bien que les blacks ont toujours une petite avance sur vous.
A son tour, Hervé ôte son caleçon, et plonge dans la piscine. Son sexe doit à lui doit mesurer six centimètres. Il est de suite rejoint par Louis. Les deux copains font quelques allés de bassin, et Hervé s'aperçoit que Louis a tendance à le coller d'un peu trop près, ses mains frôlant un endroit précis de son anatomie.
Hervé se colle contre la paroi de la piscine en se tenant aux margelles.

Louis est de suite derrière lui, et le prend par la taille. Une main glisse entre les jambes et saisit les testicules, l'autre saisit la queue. Et là, surprise, Hervé se laisse faire, et commence même a avoir une érection. Louis caresse la hampe de son copain, joue avec le prépuce pour décalotter le gland, fait courir son majeur sur le frein, ce qui a pour effet de faire gémir Hervé. Celui-ci sent l'énorme bite de Louis contre ses fesses.
-Salaud, c'est quoi que tu me caresse?
- Chut, calme-toi, tu vas voir comme je vais te faire du bien.
Louis accélère ses va et vient sur la queue d'Hervé, lui presse les couilles. Celui-ci a passé ses bras en arrière, et se tient aux hanches de son copain, essaie d'attr le calibre de vingt deux centimètres.
-Ah...tu vas me faire cracher..ha.. oui..vas-y.. décalotte moi..que c'est bon.. oui...
Les jets de sperme transpercent l'eau. Hervé a maintenant saisit les énormes couilles de Louis.
-Rentrons, propose Hervé, allons nous sécher à l'intérieur.
Arrivé au milieu du salon, Louis fait pivoter Hervé, le prend par la taille, et se colle à lui. La queue de Louis dépasse celle de son copain de cinq bon centimètres, sans parler des couilles. Celles du mâle dominant.
Doucement, les deux amis glissent sur la moquette. Louis force Hervé a se mettre sur le dos, et s'allonge sur lui. Il lui bloque les mains derrière la tête. Les deux hommes se défient du regard. Louis se penche jusqu'à ce que sa bouche soit en contact avec celle de son copain. Il sort sa langue, et l'a fait courir sur les lèvres d'Hervé. Celui-ci répond à l'invitation, le baiser et charnel. Toujours soudés par les lèvres, Louis se place sur le côté, et entreprend de caresser le corps de son copain. D'abord les mamelons, qu'il excite avec un ongle, le ventre, puis le sexe. Les testicules roulent entre ses doigts, et la queue est entièrement décalottée.
-Gratte moi comme tout à l'heure, murmure Hervé, c'était bon tu sais. Tu veux qu'on aille au lit ?

Le séjour de Laure est écourté.
Aussi, c'est vers quatre heures du matin qu'elle rentre, à l'improviste. Attirée par des bruits, elle monte directement à la chambre, dont la porte est légèrement entre baillée. Elle découvre un spectacle hallucinant.
-Tu m'encules sale black, râle Hervé, tu te régales de niquer un blanc, hein ?
Prend moi le couilles, décalotte moi, et tape moi une branlette..vas-y.. bien sur
la bout.. comme dans la piscine..
-Mais c'est qui la pris gout l'enfoiré, sourit Louis, il aime se le faire mettre. C'est bon de prendre un bon coup de queue. Tu vas sentir comme je vais me vider les couilles dans ton petit trou..ha.. tiens tapette..
-Moi aussi..ha.. décalotte moi le fifre..oh.. putain.. Regarde comme tu me fais
gicler.. ma femme me fait pas des trucs comme çà..aie..aie.. ne tire pas sur ma queue, je sais bien qu'elle est plus petite que la tienne..
-Hi hi hi, s'esclaffe Louis, même tes noisettes, hi hi, allez, taille moi une pipe maintenant, avale moi.
Laure en a assez vue et entendu. C'est avec un sourire ironique qu'elle regagne sa chambre. Vers huit heures, en allant à la salle de bains, elle entend encore des râles qui proviennent de la chambre d'Hervé. Elle glisse un regard à l'intérieur. L'énorme colonne de chair est engloutie par la bouche d'Hervé, jusqu’aux couilles.
-Allez, dit le jeune black, prend ton biberon, oh.. mais c'est qu'il avait une grosse
faim mon bébé.. suce bien mon petit chéri..
C'est dans un "han" de bucheron que Louis vide sa semence au fond de la gorge d'Hervé. Ce dernier avale tout, et nettoie les dernières gouttes.
-Hum..hum.. que c'est bon, glousse Hervé, j'en reprendrai à mon goutter. Bouge
pas, je vais chercher ton café.
En revenant avec le plateau du petit déjeuner, Hervé ne se doute pas de la surprise qui l'attend. Laure, son épouse, est assise sur Louis, de dos, empalée sur sa colossale queue. D'une main, le black caresse les seins, et avec le majeur de l'autre main, doigte le clitoris entièrement décalotté.

-Heu.. Mais que fais-tu ma chérie, demande Hervé.
- Tu ne vois pas que je me fais enfiler, soupire-t-elle. Ma petite chatte aussi avait une grosse faim. J'espère qu'il aura des restes pour mon petit trou. Je t'ai préparé une liste pour les courses sur la table. Prend tout ton temps mon chéri, parce que nous, on va le prendre. On n’a pas encore fini.
Hervé s'apprête à sortir, quand il entend sa femme hurler de plaisir…

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