Cristelle Et Oscar

CHRISTELLE ET OSCAR
(Première fois)

Magnifique Christelle, jeune femme étendue là près de moi et qui vient de me faire le plus beau des cadeaux, la plus belle preuve d’amour. Ce n’est pas faute de lui avoir demandé, mais c’est au moment ou je m’y attendais le moins qu’elle a accepté de me donner sa virginité. Hier jeune fille, aujourd’hui jeune femme, je suis responsable de ce changement.
Mille questions se bousculent dans ma tête. Ai-je bien fait d’accepter ? Était-elle vraiment prête ? Ai-je été à la hauteur de l’événement ? M’aimera-t-elle autant, désormais ?
Endormie à poings fermés, les cheveux en bataille, une main sur son ventre et l’autre dans la mienne, elle semble détendue. Sa peau encore perlée de sueur, brille sous la lumière vacillante de la bougie. D’un de ses yeux fermés, coule une petite larme sur sa tempe. Larme de plaisir ? De regret ? De douleur ?
Le doute s’installe. Je crains son réveille. Je ne dormirais pas.
Tout a commencé…ce matin.

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Mais qu’est ce que je fou ici, à cette heure ci. Cette fille peut me faire faire n’importe quoi.
Apres une nuit en boite, malgré la fraîcheur du matin, malgré la fatigue, elle a réussie à m’entraîner dans cette ballade en foret. J’ai froid. Elle aussi, alors elle n’a pas hésitée à m’emprunter mon blouson. Je reconnais que ce n’est pas son petit top rose dos nu et sa petite jupe écossaise qui peuvent lui tenir chaud. En attendant, moi, je me gèle dans mon tee-shirt. Mais elle est si belle…alors…
La rosée du matin est en train de niquer mes pompes. Elle, dans ses bottes, ne craint rien mais des herbes hautes ont déposé des gouttes d’eau sur ses longues jambes nues et elle sautille pour les faire tomber. Je les enlèverais bien moi-même, mais pour l’instant mes mains sont bien au chaud au fond de mes poches.


Elle lâche mon bras et tout en avançant danse devant moi une caricature du « Lac des cygnes ».
Elle rit, elle saute, elle tourne, elle chante. Ses dix sept ans explosent dans le sous bois. Le soleil perce parfois le feuillage et s’écrase sur la blondeur de ses cheveux.
Marre de la balade, mes pensées sont ailleurs. Je m’arrête.
« On rentre ? »
Elle vient vers moi et passe ses bras autour de mon cou.
« Hoooo ! Pourquoi ? On est bien là, non ? »
Je glisse mes mains sous le blouson et la prend par la taille. Elle est chaude et elle sent encore très bon malgré la nuit blanche passée. D’un coup, je me sens à l’étroit dans mon pantalon. N’y tenant plus, je la colle contre moi en plaquant une main dans le creux de ses reins et l’autre dans son dos. Sa peau est douce, satinée. Ses seins s’écrasent contre moi et je frotte doucement mon renflement de pantalon contre son ventre tendu comme une peau de tambour. Je craque et plonge ma tête dans son cou.
Elle me repousse doucement en souriant.
« Du calme bébé, on pourrait nous voir et nous ne sommes pas à la maison. »
« Ben ! Allons-y !! »
« S’il te plaît, encore un peuuuu… »
Encore un peu…encore un peu…C’est quoi encore un peu ? Pffff !
Vaincu, je la laisse reprendre mon bras et nous repartons pour « encore un peu » de promenade.
« Regarde ! Une table ! »
Quelle découverte ! Elle vient d’apercevoir une table de pique nique dans le bois. Je ne vois pas ce qu’il y a de spécial, mais elle me tire par la main pour que nous y allions.
« Regarde Christelle, c’est tellement dégueulasse qu’on ne peut même pas s’asseoir. Aller, on s’en va. »
« Arrête de raller et viens là. »
Elle pose ses fesses sur le bord d’un des bancs qui encadrent la table et m’attire face à elle en m’attrapant par les mains. Une fois fait, elle enserre mes jambes de ses bras et pose sa tête contre mon ventre.
« Je t’aime » me dit-elle.
Je lui réponds que moi aussi.

« Humm ! Je le vois bien. Hihihi ! »
Elle lève son doux visage vers moi et sans me quitter des yeux, commence à me caresser au travers du pantalon. Mon sexe gonfle très vite sous ses doigts.
Je lui caresse les cheveux tout en lui expliquant qu’elle joue avec le feu. Mais, mes mises en garde ne l’impressionnent pas et comme pour me défier commence à descendre la fermeture éclair de mon jeans. Sa petite main se glisse à l’intérieur, fouille, se perd dans le tissu du caleçon et finalement, avec un grand sourire de victoire, elle sort l’objet de sa recherche.
Mon cœur se met à battre la chamade. Elle me masturbe lentement puis passe mon sexe sur ses joues. Ses lèvres roses s’entrouvrent et tètent doucement mon dard avant qu’elle ne finisse par l’engloutir. Sa bouche est chaude, gourmande. La caresse est douce, tendre. Sa langue, parfois, coure le long de ma verge pour laper mes couilles un instant, puis remonte au gland turgescent.
Je m’abandonne et lève les yeux au ciel.
Soudain…un bruit me fait tourner la tête. A vingt mètres, un type tente de se cacher derrière un arbre et se masturbe en nous épiant. Mon sang ne fait qu’un tour.
« Attend, je vais lui foutre mon poing sur la gueule, ça vas le calmer »
Mais Christelle me retient en serrant mes jambes.
« Non ! Attend. Laisse-le, il ne fait rien de mal. »
Je n’en crois pas mes oreilles. Elle ricane doucement.
« C’est lui qui devrait être jaloux, pas toi. »
Puis, comme si de rien n’était, elle entreprend de faire passer ses seins par-dessus le décolleté de son top. Avant même que je réagisse ou que je ne dise quelque chose, elle coince ma queue entre ses mamelles et entame une fabuleuse branlette espagnole.
Déchiré entre la colère et le plaisir, je lâche prise quand ses grands yeux croisent les miens, suppliant de ne pas bouger.
Je la vois à plusieurs reprises mater le mec et elle parait y trouver du plaisir. Ca semble même l’exciter fortement.

Elle reprend sa fellation avec une ardeur encore inconnue de moi. Je suis vraiment très surpris de l’excellence de la chose.
Surprise également pour Christelle qui ne s’attendait pas à une explosion de foutre si soudaine. Un jet puissant éclabousse le fond de sa gorge avec force. En pleine confusion, je la vois qui tente d’avaler et d’éviter un haut de cœur. Mon braquemart, incontrôlable, sortis de sa bouche, envois à la suite plusieurs giclées de liqueur chaude, qui viennent tour à tour s’écraser sur son front, ses joues, sa bouche et retombent en longs filets poisseux sur sa poitrine. Christelle, enfin ressaisie, lèche et aspire avec avidité les dernières gouttes qui sortent encore de mon sexe bouillant.
Mes couilles lui semblant vidées, les yeux brillant de malice, c’est avec les doigts qu’elle récupère un maximum de foutre sur son visage et ses seins, qu’elle porte ensuite à ses lèvres pour déguster ma semence tel un nectar rare.
Le type est parti. Christelle me dit l’avoir vu jouir. Ma colère se réveille et ça la fait rire aux éclats.
Tout en s’essuyant avec des mouchoirs, elle m’avoue en avoir vu deux autres un peu plus loin derrière moi et elle m’assure qu’ils ont également joui en nous regardant.
Je ne saurais jamais si c’est de l’info ou de l’intox et ça m’énerve mais devant le plaisir qu’elle semble avoir trouvé face à cette situation, je décide de me taire et nous retournons à la voiture, main dans la main.

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Je n’ai jamais été si content d’apercevoir la silhouette du bâtiment de Christelle. Je suis épuisé et j’espère en secret, qu’elle ne me demandera pas de la raccompagner jusqu'à la porte de son appartement et qu’elle me laissera partir de suite.
Mais là… faut pas rêver.
« Monte avec moi, s’il te plais. »
Mais comment résister à son sourire. Et me voilà en sa compagnie, à attendre l’ascenseur, qui comme à chaque fois, se trouve toujours au dernier étage.

L’attente est longue.
La coquine en profite pour se pendre à mon cou et m’embrasser avec fougue. Sa langue fouille ma bouche tandis que ses mains s’aventurent une fois de plus sous ma ceinture. Ma tête dit « non » mais mon sexe, à ma plus grande surprise et malgré la fatigue, dit encore « oui ».
Le « DING » de la porte de l’ascenseur nous fait sursauter et revenir à la réalité. Nous entrons, j’écrase mon doigt sur le bouton indiquant 15. La porte se ferme et nous voici ensemble encore pour une poignée de secondes.
Mais ma belle ne voit pas les choses ainsi. A ma grande surprise, elle interrompt notre ascension en appuyant sur le stop. La cabine s’arrête brusquement entre deux étages.
« Mais qu’est ce que tu fabrique encore ? C’est n’importe quoi ! »
« C’est n’importe quoi ça ? »
En une fraction de seconde, joignant le geste à la parole, elle se débarrasse de son top et me le jette à la figure en riant.
« Arrête Christelle ! Tu as bu ou quoi ?? »
Adossée à la paroi, légèrement cambrée, elle malaxe ses seins à deux mains.
« Je me suis occupée de toi tout à l’heure, tu peux bien me rendre la pareil quand même ! »
Je n’ai jamais pu résister longtemps à la vue de sa poitrine et elle le sait bien.
Je la prends dans mes bras pour l’embrasser. Habillement, elle en profite pour soulever mon polo. Sa peau frôle la mienne et je suis parcouru de mille frissons. Puis l’étreinte aboutie, son corps se plaque au mien. Sa chaleur m’envahie. Sa peau de satin glisse sur la mienne. Ses seins s’écrasent contre moi et je sens les tétons durcis rouler contre moi.
Ses mains ont quitté sa poitrine et caressent maintenant ma nuque. Ni tenant plus, je me penche et suce avec avidité les deux mamelons, tour à tour. Je pince et étire ses pointes durcies, sachant que cette caresse lui procure un grand plaisir. Mes doigts ont glissé le long de son corps. Ils ont soulevé sa petite jupe et se sont faufilés sous l’élastique de sa petite culotte de coton blanc.
Je pétri à présent ses petites fesses, bien rondes et qui lui donne cette silhouette de rêve. Je me redresse pour dévorer de nouveau sa bouche sucrée. Je bande comme un fou et je me frotte à elle, simulant une pénétration. Ses petits doigts se perdent de nouveau dans mon caleçon.
« Nonnnn, Chistelleeeee, nonnnn… »
Je sais ce qu’elle a en tête. Elle a déjà joué à ce petit jeu et c’est une véritable pour moi.
Mes jérémiades ne changent rien et elle sort mon sexe raidi, puis habilement, elle le glisse dans sa culotte en le penchant vers le bas. Ma queue se place parallèle à ses grandes lèvres et s’y faufile. Hot-dog improvisé, mon membre glisse ainsi de son clito jusqu'à son entre jambe. La caresse est douce et chaude, mais demande un contrôle permanent pour ne pas perdre la tête et la pénétrer d’un coup, sans autorisation. L’homme est un animal, évolué certes, mais un animal tout de même.
« Haaaa… Il faut arrêteeeer…Je t’en supplieeeeee… Je vais venirrrrrr… »
« Hooo, noooon…Pas encoreeee…Pas encoreeeee… Attend…. »
Soudainement, elle me pousse et sans que je puisse avoir le temps de réagir, elle retire sa culotte, se replace cambrée contre la paroi et lève une jambe pour coincer le talon de sa botte dans la barre qui sert aux personnes âgées de se tenir.
Ses jambes forment un angle droit, dégageant au maximum sa vulve tant convoitée. Je m’accroupi. Avec délectation je lèche ce joli minou et bois la douce liqueur qui s’en échappe, prenant garde que ma langue ne la pénètre pratiquement pas.
Ses mains empoignent mes cheveux et me tire vers le haut, m’obligeant à me relever.
Je replace mon sexe pour une nouvelle caresse sage douce et humide, tandis que nos langues se mélangent de nouveau dans un fougueux baiser. Notre souffle est court, entrecoupé de son qui signifie notre plaisir prêt à exploser. Elle prend mon visage à deux mains, plonge son regard d’ange dans le mien.
« Prend moi…Maintenant… »
« Mais ?…Je… »
« Oscar…Maintenant… »
C’est si soudain, si inattendu, que je mets un peu de temps à réagir. Je me secoue et comprend très vite qu’elle n’attendra pas toute la journée. Je dégage mon sexe de sa position courbée et très heureux de ça, il se raidit encore plus et vient gentiment se placer contre l’orifice qui le réclame.
« Tu es sure ? »
Comme seule réponse, elle m’embrasse de nouveau, plaque ses mains sur mes fesses et leurs appliquent une pression qui veut dire « Oui ».
Je la pénètre doucement, jusqu'à sentir une légère retenue.
Instant ultime, sublime et magique.
Je cesse de l’embrasser pour me noyer dans ses yeux. Elle les ferme un court instant en souriant.
Je pousse…d’un coup bref et je stop, pétrifié de peur.
J’ai senti l’hymen craquer sous la pression.
Ses yeux se sont ouverts en grand. Elle a poussé un petit cri, accompagné d’un léger rictus de douleur. Je me sens rougir, gêné comme un qui vient de commettre une bêtise irréparable. Elle dois sentir mon désarroi et tout en soufflant un peu d’air elle m’invite à aller plus loin en appuyant ses mains sur mes fesses.
Je m’enfonce au maximum dans son intimité chaude et humide.
J’entame un doux mouvement de vas et viens, attentif à ses moindres grimaces. Imperceptiblement son visage se détend. Elle a refermé les yeux et donne un doux rythme à son bassin. Fort de cet encouragement, je me relaxe à mon tour pour apprécier pleinement le cadeau qu’elle me fait.
Nous fusionnons, nous ne faisons plus qu’un, oubliant même ou nous nous trouvons.
Pour la première fois, elle jouie d’être remplie d’un sexe dur et dressé. Je me sens venir également et veux me retirer, mais elle m’en empêche.
« Tu ne crains rien, j’ai pris mes précautions. Viens…Viiiteeee…Viennnns… »
Je me lâche et je joui en elle avec bonheur. Je sens les longues giclées chaudes envahir son ventre. Son vagin se transforme en un fourreau de délice et nous poussons ensemble un dernier râle.
De longues minutes, nous restons ainsi, l’un dans l’autre, laissant la nature nous libérer d’elle-même.
Un fou rire nous prends lorsque désemparés, gluant et légèrement ensanglantés, nous nous apercevons que nous n’avons plus de mouchoir.
« Prends ma culotte. »
Je m’accroupis et délicatement je m’applique à nettoyer au mieux le petit minou souffreteux.

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Quatorze heures sonnent à la grosse horloge du salon. Restaurée, lavée et épuisée, elle a tout de même insisté pour que je reste encore un peu avec elle. Elle a fermé les volets, a allumé une bougie parfumée et nous avons échangés de longues caresses durant une heure.
Il fait chaud. Nos corps ont glissé, trempés de sueur, rendant nos caresses encore plus douces. Puis, elle s’est endormie.
Sa peau encore perlée de sueur, brille sous la lumière vacillante de la bougie. D’un de ses yeux fermés, coule une petite larme sur sa tempe. Larme de plaisir ? De regret ? De douleur ?
Le doute s’installe. Je crains son réveille. Je ne dormirais pas.



Claude Lamour

Histoire écrite à la demande d’Oscar pour Christelle

claudelamour@hotmail.fr

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