La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1424)

chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1423) –

Ensuite, il me présenta sa queue toute molle et je la pris en bouche pour bien la nettoyer avec ma bouche de salope... Quand j’eus terminé, il exigea de me rhabiller et de le suivre pour rejoindre Monsieur le Marquis qui patientait devant l’entreprise et ce dernier dit :

- Eh bien, j’ai failli attendre, mon cher ami
- J’en suis bien désolé très Cher, mais Votre chienne m’a beaucoup excité et je n’ai pas pu résister à l’envie de m’en servir comme un simple vide-couilles et Vous aviez raison, ses trous sont divin, à prendre.
- Voilà qui est délicieux à entendre, mon cher. Je l’ai dressé à cela, car en effet, ce n’est qu’un simple trou, bon à être utilisé à la guise de mes amis et invités … pas vrai Ma belle petite putain ?
- Oui Maitre, je suis simplement un trou bon à être utilisé comme citerne à foutre, un garage à bite, Monsieur le Préfet, répondis-je en baissant la tête et en sentant mon sexe s’humidifier juste à me l’entendre dire…
- Eh bien Cher Edouard, en voila de belles paroles. Je saurai m’en rappeler de cette petite pute en chaleur, rajoute le Préfet avant de saluer le Noble et de nous quitter…
- Bien, Ma chienne, tu as du faire forte impression auprès du Préfet, qui est un Maitre très difficile à combler. Je t’en félicite ! Continue comme ça et un jour, tu pourras porter Ma marque et Mes initiales. Pour l’heure, je vais te confier au bon soin de Jacques, mon garde-chasse. Tu vas passer le reste de la journée et la nuit avec lui car de temps en temps, pour le remercier de son travail qu’il fait pour Moi, je lui offre une de Mes chienne. Alors ne Me déçois pas Ma chienne
- Oui Maitre, je ferai selon Vos Exigences et les siennes
- Bien Ma chienne, aller, partons.

Je montais alors dans la luxueuse voiture et je fus conduit, avec Monsieur le Marquis, sur le chemin du retour, dans une ancienne maison entièrement restaurée, très isolée dans une clairière et située dans la grande forêt du Domaine du Maitre.

Une fois à destination, Maitre attacha ma laisse à mon collier et fouilla mon humidité dans mon intimité, sans un seul mot. Il salua et donna la laisse à Jacques, son garde-chasse et il partit en direction du Château. Quant à moi, je restai avec le garde-chasse. C’était un homme gros et crasseux qui paraissait assez rustre, habillé en chasseur avec la tenue complète, avec ses grandes bottes, sa casquette sur les yeux, son visage joufflu, des yeux ronds de carnassier, des grosses lèvres avancées où un mégot éteint et suspendu ne demandait qu’à tomber au sol… Il ne m’a dit aucun mot, mais il me dévorait des yeux qui lui sortaient des orbites. A voir la grosse bosse sous son pantalon, je compris qu’il bandait à scruter ainsi ma nudité de la tête aux pieds. Il sortit sa grosse langue qu’il passait et repassait sur ses lèvres, ce qui fit tomber son mégot. Ensuite, il mit sa main sur sa bosse et empoignait le tissu où dessous devait se trouver sa queue durcie de désirs. Pui il m’installa sur une vulgaire croix de St-André faite de deux grosses et longues branches élaguées d’arbre assemblées, croisées et posées à la verticale contre un mur aux pierres équarries.

Jacques prit ensuite une fine branche souple et flexible de noisetier et fendit l’air avec, dans un sifflement distinct comme pour essayer son fouet ‘fait maison’. Ensuite, il vient palper mes fesses avec ses grosses mains crasseuses et ridées par des années de dur travail en extérieur… Il en profita pour fouiller ma chatte humide. Je sentais la rugosité de sa paume sur mon clitoris alors qu’il me doigtait maladroitement. Il en sortit tout de même beaucoup de mouille de mon sexe sur ses doigts et me les fit lécher. Je les mis en bouche comme une bonne chienne, mais en les reniflant, ses doigts sentaient la vinasse, ce qui me fit supposer qu’il venait de boire du vin. Ensuite, il me fouetta le cul avec sa branche de noisetier durant de longues minutes sans préparation et la douleur était fort cuisante, vive.
Une fois mon cul très rougi, à la peau meurtrie, le garde-chasse me retourna, le dos contre la croix St-André et m’écarta largement les cuisses afin que mes jambes soit bien en parallèle à la croix. Puis le garde-chasse prit sur sa table sa bouteille de vin vidée de son contenu, et l’approcha de mon sexe. Il frotta le goulot de verre contre mes lèvres intimes, ajusta devant mon vagin et poussa la bouteille pour me goder la chatte. Il força doucement mais sûrement afin de faire entrer la bouteille.

Heureusement que j’étais très excitée de me trouver dans cette situation, ce qui facilita l’introduction du début de la chopine de vin. Mais le diamètre grossissant au fur et à mesure de la pénétration, Jacques fit faire de nombreux va-et-vient fort excitants à la bouteille, je dois l’avouer, avant de parvenir à l’enfiler jusqu’à plus de la moitié donc en son diamètre le plus large… Ensuite, le garde-chasse fit faire des courts mais de rapides mouvements de rotation réguliers et sans interruption à la chopine tout en continuant ses allers-retours de plus en plus forts et cadencés en mon sexe coulant d’une cyprine abondante. Je gémissais de plaisir et de me sentir si amplement fourrée, je ne pus m’empêcher de retenir de jouir à tue-tête. C’était la première fois qu’on me baisait avec une bouteille dans mon sexe et cette sensation d’être bien remplie d’un énorme volume pénétrant me fit perdre pied. Je criai mon orgasme bruyamment. Et plus je criais mon plaisir, plus il activait la bouteille comme s’il cherchait à me faire céder une nouvelle fois, à me faire jouir encore et encore, sans y être autorisée, ce qu’il était aisément parvenu mais par perversité évidente, le garde-chasse continuait volontairement à me faire fauter. Je compris alors que j’avais à faire à un vicieux pervers qui n’hésitait pas à m’amener à la faute juste pour le plaisir sadique de me punir par la suite…

Quand Jacques en eut assez, il retira la bouteille d’un seul coup brusque. J’avais le souffle fort et court de mes orgasmes simultanés mais je n’eus pas le temps de m’en remettre qu’il sortit sa grosse bite qui me parut assez courte mais énorme de diamètre.
Le garde-chasse était trop excité et ne tenait plus en place, visiblement pressé de me la fourrer dans mon sexe. Alors il me prit ainsi, sauvagement, sans se soucier de mon plaisir, par quelques violents coups de reins rapides comme un lapin reproducteur, tandis que de ses grosses mains, il empoignait mes seins. Et je n’eus rien à faire de plus, car il jouit sans tarder, tel un éjaculateur précoce que je supposais qu’il devait être. Il émettait des gutturaux râles rauques alors que je sentais couler en mon vagin des flots abondants de sperme chaud… Quand le garde-chasse se remit de sa rapide éjaculation, il se retira, empoigna mes cheveux et toujours sans un mot m’emmena dans une pièce ressemblant à un grand débarras. Il y avait une cage au milieu de la pièce, à l’évidence utilisée pour ses chiens de chasse car quand il m’y enferma, ça sentait le chien à l’intérieur… Je restais ainsi à attendre, j’avais froid et faim mais je ne pouvais que attendre… Il vint me chercher en fin de soirée et je vécus un dur moment car je fus conduite dans un grand hangar où de nombreux aboiements se firent entendre alors qu’on s’en approchait. Et j’entendis la voix du garde-chasse me dire :

- Tu vas passer la nuit ici, dans l’enclos des chiens de chasses, à ta place de chienne. Pas question qu’une chienne de ton espèce dorme dans ma maison mais elle doit dormir avec ses congénères, les nombreux chiens de chasse de Monsieur le Marquis. Cet enclos est relié au Château de Monsieur le Marquis avec un système de vidéo surveillance et micro donc attention à toi, grosse chienne

Jacques me laissa là sans un mot et ferma la porte. J’étais entourée par les chiens de chasses qui venaient me renifler voire me lécher les épaules ou les pieds, mais qui une fois qu’ils mémorisaient mon odeur, ils me laissaient tranquille, tels des chiens véritables amis de l’homme. A un moment j’entendis la voix du Maitre résonner dans l’enclos.

- Ma Belle petite chienne que tu es.
Tu es à ta place ici, un simple animal à Ma disposition. Couche-toi à t’allonger par terre et branle ton clito de salope soumise chienne animalisée je l’exige et face à la caméra fixée contre la poutre...

Je m’exécutai et je m’allongeai face à la caméra et commençai à me masturber comme une chienne en chaleur en manque de bites. Plus je me masturbais et plus l’excitation de ma chatte augmentait en intensité, je gémissais de plaisir et je mouillais plus que de raison à être ainsi humiliée, animalisée car ça m’excitait terriblement ce qui augmentait mon plaisir d’être rabaissée comme une simple animal.

- C’est bien ma grosse chienne continue comme ça, à te branler ton clito en manque, Je l’exige, Je te veux femelle en chaleur, en manque, au bord de la jouissance, prête à tout pour se faire baiser et enculer par Ma queue ou par n’importe laquelle, espèce de salope de chienne. Tu n’es que sale chienne en manque de bites, dit le haut et fort, Ma chienne
- Je ne suis qu’une sale chienne en manque de bites, Maitre. Je ne suis qu’une sale chienne en manque de bites Maitre, criais-je et répétais-je, haut et fort
- Bien alors soit, tu es et seras encore et toujours Ma chienne, Mon esclave, Ma salope, Ma pute, Mon objet, Ma chose qui ne demande qu’à être baisée et démontée en bonne soumise que tu es et que tu vas continuer à être... Continue c’est bien… voila…. Ne t’arrête surtout pas de branler ton clito de salope... Quand tu ne pourras plus te retenir, tu es autorisée à me demander le droit de jouir, Ma chienne et Seul Moi pourra te l’autoriser. Accélère encore… Oui c’est ça, active encore plus tes doigts sur ton clito, doigte-toi encore plus intensément de ton autre main, plus vite et plus fort… Je veux que tu sois au bord de l’orgasme et que tu me supplies de t’accorder une jouissance... C’est bien continue, comme tu le fais, que c’est bon Ma chienne, de se branler pour le Maitre, que c’est bon pour toi, je le sais...

(A suivre …)

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