Ma Blonde Au Sexshop, Suite

Il y a une dizaine de mecs assis sur les fauteuils, éloignés les uns des autres, sauf deux cote à cote au dernier rang, et ils se branlent tous. Ma petite salope veut bien s’en occuper, mais après une courte pause. On va dans la boutique, elle demande à boire au patron qui lui tend une bouteille d’eau. On regarde les toys. Deux mecs sortent de la salle, et à la bosse de leur pantalon ils bandent dur. Ils font semblant de regarder des cassettes, mais sont là pour mâter ma jolie blonde. Elle est belle à faire dresser toutes les queues de la terre. Sur ma consigne elle leur adresse des sourires et des oeillades, et on repart dans la salle.
La pièce avec le lit est occupée par les types du dernier rang, qui sont là à se rouler une pelle en se masturbant. On va alors dans la salle télé, et passe devant les deux homos qui forniquent toujours. Il n’y a personne, et on est rejoint par les deux voyeurs qui nous ont suivis.
Ils déballent leur matériel, et elle les pompe, les caresse à tour de rôle ou les deux en même temps. Je suis à l’entrée de la salle, ai aussi vu sur le couloir, et me régale des deux spectacles.
Ils se félicitent de leur suceuse, la traite de tous les noms, et annoncent qu’ils vont jouir. L’enculeur du couloir se retire et se fait sucer par sa pute soumise.
Les deux mecs vident enfin leurs couilles dans ce merveilleux réceptacle féminin. Sans surprise elle avale tout, et les nettoie. Ils s’en vont.
On regagne la grande salle, et la salope en string suce toujours. On passe le long des rangées, et elle évalue de son regard insistant les bananes qui feront son repas. Arrivée au premier rang elle tombe en admiration devant le seul occupant. Il a soixante ans, pantalon et slip aux chevilles, et caresses tendrement une sublime queue éclairée par l’écran. Il lui fait signe d’avancer et elle n’hésite pas. Il enlève sa main pour lui laisser libre accès, et elle s’agenouille. Gland, hampe, boules, il a des formes et des mensurations de rêve.

Un sexe modèle pour des godes. Elle ne suce pas de suite, mais prend le temps de le caresser tendrement elle aussi, de l’admirer, de réaliser qu’elle ne rêve pas. Elle le prend en bouche et le savoure au ralenti.
Le mec du deuxième rang se lève et s’avance. Il lui fout la main au cul, et elle le repousse gentiment. Sa bouche oui, mais pas sa chatte, encore moins son petit trou. Il s’assoit prés du vieux et se branle espérant son tour. Le vieux se penche et murmure à l’oreille de ma garce.
Elle fait un signe affirmatif, et il s’adresse à son voisin. Celui-ci se branle énergiquement, se lève, relève Joëlle par les cheveux, et plante son bâton entre ses lèvres. Elle le suce quelques secondes, et il décharge violemment. Elle engloutit, le garde encore un peu en bouche par amour du travail bien fait, et revient sur le sceptre de toute beauté. Le mec s’en va.
Un autre se lève, s’assoit à coté. Le vieux lui parle et le scénario se répète. Une décharge de plus dont elle se régale. Elle revient à son client préféré et à nouveau le caresse, le turlutte tout en douceur. J’ai compris le plan de ce vieux salaud : il voudrait ne pas jouir, pour se faire sucer pendant des heures. Le rythme lent des succions et câlins est délicieux, mais insuffisant pour se retenir. Ils proposent aux autres mecs une pipe express, ou se finir à la main. Ils acceptent et ça lui donne des pauses pour se calmer et repartir à zéro.
Les deux mecs du couloir ont fini. Ils se sont rhabillés, le dominant embrasse sa chienne à pleine bouche et s’en va. Ma queue est sortie depuis longtemps, et je me tiens une trique d’enfer qui attire la tapette :
- Si tu veux m’enculer, j’ai la rondelle grande ouverte.
- Non tu es gentil, mais je surveille ma petite.
- Pourquoi tu l’as amenée, on est bien entre mecs, et elle me les pique tous.
- Pas tous, tu as eu ta ration.
- Ah, le grand macho. Qu’est ce qu’il met à chaque fois, c’est le samedi que je m’éclate le plus, quand je suis la seule femelle.

- Parce que tu viens d’autres jours.
Il m’explique alors qu’il vient tous les jours après le boulot, les samedi et dimanche à 14h. Il a un accord avec le patron et ne paie pas. En échange il participe à des soirées spéciales tous les quinze jours. Ca se passe le samedi après la fermeture à minuit. Ils peuvent être entre huit et une vingtaine. Il y a deux femmes, celle du patron, et une vielle qui appartient à deux gars. Tous les autres sont des mecs, actifs, passifs, les deux, et lui est leur pute à tous, même aux femmes.
Il me caresse le manche, veut s’offrir à moi. Je ne dis pas non une autre fois, mais l’invite à voir les autres. Il passe dans les rangs, et finalement il y en a un qui se lève et le suit dans la salle du fonds.
Des clients continuent à arriver. Certains vont dans la salle gay, d’autres qui on compris le manège s’installe sur les fauteuils, certains se sucent en attendant leur tour.
L’atmosphère est torride, ma jeune vicieuse attaque un nouveau chibre, et j’ai envie de mon enculé. Je dis à Joëlle que je reviens vite, de ne pas s’inquiéter, et dis au vieux qui m’inspire confiance de veiller sur elle, que la bouche. Ma miss est dans son truc, et se fout de ce que je lui ai dit.
Je vais rejoindre mon amant. J’avais oublié les deux autres mecs ; ils sont complètement à poil sur le lit et se font un 69 gourmand, en ignorant notre présence. Mon mec me voit, il continue à sucer et baisse son froc. J’enfile un préservatif, non que ça me déplait de le prendre sans rien, mais j’espère me faire sucer moi aussi par ma salope en short.

A suivre………………

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