Suite Des Aventures De Stai Le Soumi.

Je me suis mis chez moi et est enfin pu profiter des avantages d’avoir mon indépendance. J’étais libre et j’en ai bien profité pour avoir des amants plus réguliers, souvent j’allais chez eux passer la soirée et rentrais tard dans la nuit. Cela ne m’empêchait pas de continuer à aller draguer et à me faire baiser en foret de St Germain. J’avais acheté toute une panoplie de godes et de sous vêtements féminins sexys. Je me rasais entièrement, il me restait juste une petite touffe de poils au dessus du sexe et je trouvais mon corps féminisé beau et excitant. Je passais des heures à me goder et à me branler avec des mecs sur Minitel. J’étais une nymphomane au masculin. A cette époque j’arrivais à pratiquer la double pénétration anal, je pouvais me rentrer deux godes dans l’anus en même temps, un de 4 cm plus un de 5 cm de diamètres. Mon anus était comme un deuxième sexe, très présent, avec ses désirs. Mes érections partaient souvent d’un désir anal. Je m’exhibais dans les saunas à Paris, à la piscine naturiste porte de Vincennes et il m’arrivait de rentrer chez moi en passant par le bois de Boulogne. Il y avait toute une faune la nuit, j’aimais cette ambiance très hard et très sexe. Je m’y exhibais en salope à la lueur des lampes électriques et m’y suis fait baiser plusieurs fois par plusieurs mecs. C’est la que j’ai commencé à utiliser des préservatifs car il y avait toutes sortes de mecs plus ou moins propres qui y trainaient la nuit. Le week-end, je continuais à aller draguer en foret de St Germain après mon footing, j’aimais bien me faire baiser dans la nature mais il m’arrivait aussi de ramener des hommes chez moi quand ils me plaisaient vraiment et qu’ils avaient le temps et l’envie d’un peu plus que juste se vider les couilles. C’est par annonces dans les petits journaux locaux que j’ai rencontré des hommes de ma région avec lesquels j’ai pu sympathiser et qui sont devenu mes amants. Ils habitaient près de chez moi, c’était pratique, j’allais chez eux, souvent en soirée la semaine.

François était pharmacien à St Germain, il était séparé de sa femme et en manque d’affection, Jacques était un homme d’affaires Libanais qui était de temps en temps en région Parisienne pour ses affaires, il en profitait pour vivre ses fantasmes et s’éclater sexuellement, ce qu’il ne pouvait pas faire dans son pays. Miguel était célibataire et vivait sont homosexualité pleinement, je crois qu’il était tombé amoureux de moi. J’étais très sollicité et cela me plaisait bien. Je n’avais pas le temps de m’ennuyer. A cette époque, je me faisais des lavements assez régulièrement, cela que permettait d’avoir un anus parfaitement clean et de pouvoir me donner à mes baiseurs sans aucun problème. Surtout quand j’allais chez Jacques, il lui arrivait d’organiser des fins de soirées chez lui avec des collègues et amis à lui. Il me faisait confiance, il m’avait essayé et savait que j’étais assez salope pour assurer dans ce genre de plan cul. Nous commencions toujours par boire un ou deux Wiskis en feuilletant des revues pornos. Puis ils sortaient leurs bites et je m’exhibais devant eux en string, porte jarretelles et bas résilles. Ils étaient en général 2 ou 3 avec Jacques et ils m’invitaient à venir les sucer les uns après les autres. Avec eux, j’avais confiance, je ne prenais pas de capote, j’avalais leur sperme jusqu’à la dernière goutte et me laissais graisser le cul. C’est avec eux que j’ai pu réaliser mes fantasmes de doubles pénétrations en réel. Ils me prenaient sur le tapis ou sur la banquette du salon, Je m’asseyais sur le sexe de celui qui avait la plus longue queue et je relevais mes jambes en les écartant pour pouvoir inviter un deuxième homme à venir se mettre la bite au chaud dans mon trou dilaté de salope, j’avais la bouche ouverte et invitais le deux mecs qui restaient à se branler en nous regardant a venir mettre leur bite au chaud dans ma bouche. C’est comme cela que j’ai pu réalisé le fantasme d’avoir 4 mecs en moi. Ils giclaient en moi ou sur mon corps ou sur mon visage.
Je savais qu’ils me prenaient pour une salope et une pute même si je ne me faisais pas payer et cela m’excitait encore plus. Souvent, je ne prenais pas le temps de me laver et rentrais chez moi, le cul bien cassé et pleine du sperme et des odeurs de ces hommes. Je me branlais dans mon lit et me giclais dessus, puis je m’endormais épuisé. Cela me rappelait mes débuts avec Salem et ses copains Algériens. Jacques, comme Salem était bi, il avait une femme. Au Liban et une amie Portugaise qu’il voyait le week-end en France. Elle était amoureuse de lui et acceptait, comme moi de baiser avec les amis de Jacques. Je n’étais encore jamais sorti avec une femme et l’avais confié à Jaques. J’avais envie d’essayer et elle a accepté de me dépuceler. Je bandais bien mais je ne suis pas arrivé à jouir. J’avais trop envie que jacques vienne m’enfiler par derrière, je pense que s’il était venu, j’aurais giclé dans la chatte de sa maitresse Portugaise. François, comme Jacques, m’appelait pour tirer son coup, sauf qu’avec François, il n’était pas question de plan cul à plusieurs. Il me baisait sur le canapé de son salon et utilisait toujours un préservatif pour me sodomiser. Avec Miguel, c’était différent, il recherchait une amitié sincère et est tombé amoureux de moi. C’est l’un des seuls hommes que j’ai accepté de sodomiser. Avec lui, ce n’était pas que de la baise, nous faisions l’amour comme aurait pu le faire un couple hétérosexuel, nous faisions des sorties et je restais souvent dormir chez lui. La même année, je suis parti en vacances avec Daniel, un collègue de boulot. Nous avons fais du camping en Irlande pendant un mois et nous en avons bien profité. Il me plaisait beaucoup, il était très poilu et très brin, avec des moustaches et un beau sexe assez épais pour bien me dilater mon trou du cul de salope. Je le suçais tous les matins au réveil avant de prendre notre petit déjeuné. Il avait du mal à émerger mais il bandait bien quand même et j’avais tout mon temps pour bien nous exciter en le suçant longuement.
Je mouillais comme une salope et il avait les couilles bien pleines, il m’invitait souvent à venir m’assoir sur sa bite et adorait m’achever en me défonçant en levrette. Cela à durée 3 semaines puis nous avons rencontré le propriétaire d’une grande propriété avec un petit château qui nous à invité à venir camper gratuitement dans son parc. Un soir il est venu m’inviter à faire une petite promenade et je l’ai suivi. Il m’a baisé, cela n’a pas plu à Daniel qui m’a fait la gueule pendant toute notre dernière semaine de vacances. Cela n’était pas de ma faute, j’étais une salope et une pute, je ne savais pas résister aux avances d’un homme.

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