Dans La Boue

Quand j’avais dix huit/ dix neuf ans, ma copine du moment n’avait pas froid
aux yeux… Ni aux fesses !!! Grâce à elle j’appris beaucoup sur les choses
de l’amour. En cette journée pluvieuse, je me souviens d’une fois en
particulier où j’ai pris avec elle un pied d’enfer…

Nous étions partis une quinzaine de copains et copines dans un gite
forestier pour passer un weekend de fête… On avait une bonne sono et de
l’alcool à gogo si bien que l’ambiance tourna à la grosse bringue ! On a
dansé, rigolé, des couples se sont formés, d’autres défaits… Bref soirée
entre potes… Vers cinq heures du matin nous nous sommes couchés, la grosse
majorité ensommeillés par l’alcool sombraient bien vite dans le sommeil. Ma
copine et moi n’avions pas exagéré sur la boisson, juste assez pour être
excités…

Le gite n’était composé que d’une pièce et donc tout le monde se coucha à
même le sol sur des tapis, dans des sacs de couchage. Si je me souviens
bien c’était durant le mois de mars et donc impossible de coucher à la
belle étoile… D’autant plus et fait important de l’histoire, il pleuvait
averse. Je pelotais ma copine et elle faisait de même, je sentais ses
petits seins qui dardaient et elle sentait mon sexe qui s’érigeait ! D’une
main experte elle décalottait mon gland et faisait coulisser la chair de
mon pénis… A mon tour je plaçais une main sur son sexe. C’est doux, délicat
et… Humide… Je sentais le corps de ma compagne frémir de désir… On
s’embrassait de façon gourmande, affamés des sensations que ressentaient
nos corps. Pas facile de rester discrets, ma copine étant du style plutôt
expansif… Le problème est qu’à force il nous devenait presqu’impossible de
nous contrôler… Nous avions tant faim l’un de l’autre…

Mutine, ma bien aimé me souffla à l’oreille : ‘lève toi et suis moi’…
Surpris,j’obéis.

Elle me prit par la main et m’attira au dehors du gite… Il
faisait froid, le vent soufflait et des trombes d’eau s’abattaient sur la
forêt j’allais protester mais elle me fit un chut… De ses doigts agiles
elle me déshabilla complètement, elle fit de même pour elle et plaça les
habits à l’abri sous un porche. Puis elle m’entraina sous les éléments
déchainés…

Mes sens échauffés par les caresses ne ressentirent bizarrement pas le
froid, par contre le corps nu de ma copine ondulant sous la pleine lune me
permis de garder une bandaison qui n’avait pas faiblit depuis tout à
l’heure…

Nous avons avancé de quelques mètres sous la pluie puis ma vicieuse coquine
se jeta dans la boue et me fis signe de l’y rejoindre ! La pluie nous
dégoulinait de partout, je sentais le corps chaud de mon amie tout contre
moi mais je sentais aussi sa peau et ses cheveux tout trempes… Le contraste
était saisissant : la chaleur du désir, la chaleur animale contre la
froideur et l’humidité des éléments en furies.

Nous nous roulions dans la boue, dans les flaques d’eau ; nous nous
caressions de façon énergique, presque violente ; le désir était purement
charnel, bestial. C’est elle-même qui, toujours maitresse de la situation,
s’empara de mon pénis pour l’enfoncer dans son vagin… J’imagine que cette
fois là nous n’avons pas fait l’amour à proprement parler… Nous avons
plutôt baisé, pratiqué le coït, nous avons forniqué, nous nous sommes
accouplés… Cette nuit fut une communion entre nos corps et la nature, notre
ardeur et l’ardeur de la tempête mêlées nous procura un orgasme
incommensurable et unique, je dirai presque mystique…

Ce n’est pas une histoire de cupidon mais plutôt un récit de débauche mais
le plaisir passe aussi par des phases de luxure…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!