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Je me suis bien préparé, devant la glace, comme d’habitude . J’ai attendu que ma femme parte au travail, à 19h00 . D abord, la toilette, une bonne douche, je lave et relave mon sexe, qui rapidement se dresse, droit, à la perpendiculaire de mon ventre, le gland bien gonflé . Je le laisse, ma main se pose sur mes fesses . Je dois récurer mon anus fermé, et j’y introduis mon majeur, puis l’index, bien humecté de mousse savonneuse, en de courts va et vients . Le jet d’eau bien chaude me remplit d’aise et expulse toutes les impuretés pendant que mon sexe, toujours aussi dur, attends qu’on s’occupe de lui .
Bien séché à présent, je passe dans la chambre pour m’habiller devant la glace . Toute ma dentelle est là, éparse, sur le lit. Comme il fait doux ce soir, je décide de passer un joli petit caraco rouge carmin, qui descend jusqu’au bas de mes fesses, et j’opte pour un string noir, qui fait aussi office de porte-jarretelles. Je le monte bien haut, pour sentir l’élastique sur ma raie et mon petit trou s’agace . J’emprisonne ainsi ma bite dans le string et mes couilles compressées ressortent un peu de chaque coté . Enfin, j’enfile un bas de soie, lentement, et l’accroche à deux des jarretières et je procède pareillement avec le deuxième bas, puis je me contemple dans la glace, essayant d’obtenir une parfaite symétrie de mes dessous . Et je vois dans le miroir un beau mec, jambes gainées de soie noire et fesses épilées bien rondes, une grosse bosse déformant le string ... Je passe un jean, un cuir et des mocassins, et je m’en vais .

Je décide d’aller à La Ville aux Denis, endroit réputé pour ses rencontres et sans importuns le soir . Pendant le trajet, des flashs coquins me traversent l’esprit, mais mon sexe s’est assoupi, laissant dans le string la marque de ses émois passés . La Ville aux Denis est une grande clairière coupée en son centre par une route qui se termine en cul de sac devant les grilles de l’aéroport . A gauche, un parc entoure un étang, et tout au fond, il y a une petite colline .

A droite, une vingtaine de places de parkings qui s’enfoncent dans les bois . Trois ou quatre véhicules s’y trouvent déjà, mais je décide de me garer en face, à une centaine de mètres . J’allume le plafonnier, retire mes mocassins, mon jean, et remets les mocassins : je n’ai plus que mes dessous sexys sous le cuir . Je me passe un peu de rouge à lèvres et j’attends .

Je vois dans mon rétroviseur un type s’approcher lentement de la voiture . Il passe à deux mètres, en me regardant subrepticement, puis fait le tour de la voiture par l’avant, en me regardant fixement cette fois . Je le fixe à mon tour, en déboutonnant mon cuir . Il stoppe au niveau de la portière droite, et s’allume une cigarette en me matant . Je me penche pour prendre une cigarette dans la boite à gants, le cuir se prend dans le levier de vitesses, dévoilant la blancheur du haut de mes cuisses et une de mes hanches, enserrée dans les jarretières . Je me rassois sur un pan du cuir, et je vois qu’il apprécie la vue de profil de mes jambes gainées de noir, le caraco cachant encore mon sexe réveillé .
J’allume ma cigarette et un deuxième type se pointe, et va vers le premier pour lui demander du feu, puis il se retourne vers moi, en m’observant sans vergogne . Ils se mettent à discuter, sans que je comprenne leur conciliabule, me laissant deux à trois minutes, tremblant d’excitation et de peur . Rien ne se passe pendant quelques minutes : mon sexe emprisonné est à nouveau dur, très dur . Puis le deuxième arrivé refait le tour de la voiture et frappe au careeau . J’ouvre la vitre, et à cet instant, le premier entre par la droite . Celui-ci, la cinquantaine, est BCBG, alors que l’autre type, dehors est en jogging .

Il me lance brutalement :
- Enlèves ton cuir !
J’obtempère lentement, et j’apparais dans ma plus belle tenue
- Jolie salope, tu sais ?
- Mmmh, j’espère que je plais ?
Le BCBG soulève délicatement le caraco, et j’apparais en pleine splendeur .
Il pose sa main sur ma cuisse, redescend sur ma jambe en me caressant doucement, passe sa main sous la cuisse et remonte lentement, et par simple pression de sa main, ma jambe se soulève, et je finis par poser mon pied sur l’autoradio .
- Mets ton autre jambe contre le pare-brise, petite salope, me jette le sportif .
J’obéis et me retrouve jambes écartées posées sur le tableau de bord
- Descends ton string, sale pute !
De mes deux mains, très lentement, je descends le string, d’abord par derrière, pour qu’il arrive en bas de mes fesses .
- Montre ta bite !
Je dégage enfin ma queue, et reste ainsi, bien offert à leurs regards vicelards, et ils apprécient visiblement . Une longue minute se passe ainsi, le string sur mes cuisses, mon sexe coincé entre mon ventre et le volant, puis le BCBG repasse sa main sous mes jambes, atteint mes fesses nues, me tate les couilles, et enfin les empoigne fermement . Sous les caresses, je me mets à gémir sans retenue . Il continue à les triturer, puis les lâche et se met à me pincer les fesses, chacune à son tour, passe un doigt derriere les testicules, et s’arrête sur mon petit trou .
- Regardes moi, salope !
Je me retourne et vois le sportif baisser son jog, et je me retrouve ainsi devant sa queue, pas énorme, mais bien tendue .
- Ben, branles moi, pauve con !
Je prends sa queue entre mes doigts, caresse le bout du gland et décalotte . C’est bon .. Et je me mets à le branler doucement en tirant le prépuce à fond vers ses couilles, puis le remontant vers son gland . Il mouille un peu, et j’étale sa mouille tout en le masturbant . L’autre à côté me dit doucement :
- Je veux que tu poses tes jambes plus haut encore, sur le tableau de bord, et continues à le branler ...
Je m’éxécute, et cette nouvelle position me force à poser mes fesses en équilibre sur le siège, jambes écartées, mais pas trop car enserrées par le string . Je l’entends dégrafer son pantalon, et tout en continuant d’astiquer l’autre, je sens ma main droite prise et e de se poser sur le sexe à ma droite .
Je branle donc avec beaucoup d’application ces deux belles bites, triturant leurs couilles, serrant leur tige, en me tournant alternativement vers l’un ou l’autre . L’homme distingué me palpe toujours les fesses, de plus plus fort, et finis pas me pincer durement .
- Tu veux ?
- Oui, oui, dis-je d’une voix faible et tremblante .
Alors, il m’enfonce son pouce entre mes fesses écartées, et d’une seule poussée, me pénètre complètement ce qui me fait serrer convulsivement les deux bites tendues ..
- Hé, la pute, regardes moi ! m’ordonnes le sportif .
Je me retourne, toujours travaillé par ce pouce épais, bientôt remplacé par deux doigts, qui me déchirent un peu mon trou échauffé, doigts qui entrent, ressortent, puis reviennent brutalement .
- Je veux juter sur ta gueule de salope exhib, ma belle salope !
De plus en plus soumis à mon cul obéissant, j’approche mon visage de la bite bien grosse, luisante, en l’astiquant langoureusement et ma bouche entrouverte s’avance vers le membre, ma langue pointe et se pose sur lui quand tout à coup, il jouit en m’envoyant trois belles giclées, sur les joues et les lèvres .
- Branle moi à la vitesse que je te baise, me glisse t-il .pendant que le sportif s’esquive .
Et il commence à me doigter un rythme rapide et je le branle à la même vitesse . Ces deux doigts bien musclés me bourrent bien me remplissent et je retransmet en le caressant avec tendresse et ferveur, jusqu’à ce qu’il me demande de me tourner face contre la vitre gauche, délaissée par le sportif, à genoux, fesses complètement ouvertes vers lui . Il recule et sort de la voiture, et me fait reculer à quatre pattes, mon cul dépassant maintenant de la voiture . Il se pose contre, et jute en donnant quelques coups sur ma raie . Je me retourne et aperçois deux mecs, se touchant à travers leur pantalon .

Corcocoran, routier ouest de la France




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