Offerte Et Avilie

Patrick a téléphoné à Marc, une relation en lui disant que j'acceptais d'être l'esclave de trois hommes. Le vendredi suivant nous nous retrouvâmes donc chez Marc. Deux hommes lui tenaient compagnie dans le grand salon. Chacun d'eux avait dépassé la quarantaine et était bel home.
- Gino et Denis, me dit Marc en me les présentant.
D'une légère poussée, il me rapprocha d'eux. Ils me détaillèrent un long moment puis, comme si je n'étais qu'une pute, ils commencèrent à me toucher les seins et les fesses. Gino releva ma jupe, baissa ma culotte et sans façon introduisit un doigt dans ma chatte, puis ensuite dans mon derrière. Je me laissais faire, un rien interloquée, mais avec une sorte de plaisir trouble.
- Vous la sodomisez souvent? Elle a le cul bien praticable, remarqua Gino à l'intention de Patrick.
- Plusieurs fois par semaine et elle adore!
L'entrée en matière était plutôt rapide.
- Déshabille-toi, ne garde que tes bas, décréta Marc.
Je m'exécutai, ne conservant que mes bas et mes escarpins. Marc et les hommes s'étaient approchés d'une table basse contenant divers alcools. Ils discutaient ensemble en me détaillant. Patrick resté à mes côtés, torturait la pointe de mes seins en les pinçant, les étirant,.
- Tu me fais mal! lui soufflai-je à voix basse.
- T'es ici pour ça, ma chérie! Tu es bien d'accord?
Je baissai les yeux et la tête. Oui, j'étais d'accord mais cela ne m'empêchait pas de ressentir une certaine angoisse. Angoisse qui s'accrût lorsqu'il annonça en m'entraînant :
- Je vais vous la préparer, soyez patients!
Je me retrouvai dans la chambre. Sur le lit se trouvai un bandeau de cuir. Patrick m'aveugla avec, puis ensuite il m'emprisonna les poignets dans une paire de menottes. L'acier sur ma chair déclencha un long frisson sur tout mon corps.
- J'ai peur, lui soufflai-je.
- C'est bien ainsi que je le désire, me répondit-il.
Il m'écarta les cuisses, pénétra de deux doigts ma chatte.


I- Tu mouilles déjà, t'es vraiment maso, ma pauvre chérie!
Au moment où j'allais répondre, je sentis une morsure sur ma grande lèvre droite, puis une seconde sur la gauche. Sans rien voir je devinais qu'il m'avait installé des pinces auxquelles étaient suspendues des chaînettes. Je l'entendis se redresser et fouiller dans un tiroir. Peu après je sentis un poids distendre mes lèvres. Je laissai échapper un petit cri lorsqu'il les fit s'entrechoquer entre elles.
- Garde tes plaintes pour tout à l'heure!
Je gardai donc le silence pendant qu'il me passait une double chaîne au-dessus et en-dessous de mes seins. Il me fit tourner plusieurs fois sur place, puis me força à m'agenouiller. Je devinai qu'il s'éloignait puis j'entendis la porte se refermer. J'eus soudain froid et regrettai subitement d'avoir accepté cette soirée. Et si malgré la présence de Patrick elle dégénérait. Un léger courant d'air m'apprit que quelqu'un venait d'entrer dans la chambre. Plusieurs même, car le frottement des pas sur le sol me renseigna. J'humectai mes lèvres que la peur desséchait.
- Voici votre esclave, messieurs! Faites-en ce que vous voulez!
Je sentais les hommes très proches de moi. Je relevai mes poignets enchaînés et sentis un sexe d'homme sous mes doigts.
- Elle est déjà à l'assaut des queues, ricana Marc.
Pour ne pas le faire mentir, j'attirai son membre vers ma bouche. Je l'engloutis profondément et le suçai avec conviction. J'ai toujours aimé sentir une bite dans ma gorge, rouler ma langue autour du gland. L'homme, au bout de quelques minutes, se retire d'entre mes lèvres. Un autre prit sa place. Ma bouche pleine de salive était chaude et cela dut lui plaire car il gémit de plaisir. Mais lui aussi se retira. Une main que je ne reconnus pas me courba le front jusqu'au sol.
- Redresse tes reins, m'ordonna Gino.
J'obéis, alors il enchaîna :
- Marc, écarte-lui les fesses!
Je sentis Marc enjamber mon corps, puis doucement ses mains écartèrent mes deux lunes.
Au bruit, je devinais que les autres se déplaçaient pour voir ma rondelle.
- Elle a l'anneau bien ouvert! C'est une petite enculée!
- Pas assez à mon gré! décréta Marc.
Presque aussitôt je sentis le contact contre mon œillet. Il était fin et je fus surprise et déçue en même temps. La première fois que l'on m'avait fouillé le fondement, le leurre était nettement plus conséquent. Déçue. Je m'apprêtais à le lui faire remarquer mais un cri de douleur jaillit de ma gorge et me coupa la parole. D'un coup de paume sans doute, Marc venait d'enfoncer l'objet en totalité dans mon cul. Et ce n'était pas un gode mais un anus picket avec un énorme renflement. J'eus la sensation d'être déchirée, je hurle. Un coup sec de cravache me ramena au silence.
- Continue et je récidive! menaça Marc.
- J'ai mal, tu m'as éclatée! Retire-le, je t'en supplie!
- Ton cul est bien ouvert mais intact, me rassura Marc.
Ses doigts titillèrent les bords de ma rondelle distendue, puis il me releva. Aussitôt, je sentis une bite forçait mes lèvres. En esclave docile, je la suçai avec application. Soudain l'homme se retira, son foutre chaud éclaboussa mon visage en longues giclées. Soigneusement il s'essuya le gland sur mes lèvres.
- Lèche-bien, salope, ricana Marc.
En même temps qu'il parlait, un homme s'empara de mes cheveux et entreprit de se branler dedans. Un autre, je pense Patrick, me pénétra la bouche.
- Souillez-la au maximum, elle aime ça, cette salope! Couvrez-la de foutre! Enculez-la! Baisez-la! conseilla Patrick.
Je ne lui en voulais pas. J'étais là pour servir de dégorgeoir à tous. Je sentis bientôt une giclée chaude dans ma nuque. L'homme qui se branlait dans mes cheveux se soulageait. Patrick, bientôt, jouit sur mon visage. Comme pour le précédent, je lui nettoyai soigneusement la queue avec ma langue.
- Qui veut l'enculer à présent ? demanda Marc à la cantonade.
En même temps, brusquement il arracha l'anus-picket de ma rondelle.
La douleur était si forte que je suis tombée sur mes avant-bras, le cul offert à qui le voulait, je sentis un membre me pénétrer. J'avais affreusement mal et envie de pleurer. L'homme commença à aller et venir entre mes reins.
- Elle est complètement défoncée! Ma queue n'est même pas serrée, râla-t-il.
- Mets-lui les doigts, ouvre-la encore davantage proposa Marc.
Ce salaud qui m'enculait suivi son conseil.
- Arrêtez! Vous allez me déchirer, bande de salauds! hurlai-je.
- Retire-toi, Gino, conseilla Patrick.
Je fus étonnée de tant de sollicitude de sa part. L'homme décula et sans vergogne, essuya sa queue dans mes cheveux. On m'installa sur le grand lit. Sans douceur, on m'ordonna de plier les genoux et d'écarter les cuisses. J'obéis. On tira sur les chaînettes accrochées à mes lèvres. Je devinais ma vulve ouverte à la vue de tous.
- Regardez cette putain, elle est trempée! Ça lui coule sur les cuisses, les poils! On dirait qu'elle se pisse dessus, remarqua Marc.
A peine sa phrase terminée, il me pinça méchamment le clitoris, puis introduisit plusieurs doigts dans ma chatte. Il me fouilla profondément puis me força à les sucer.
- Bouffe ta mouille, salope! Sens ton odeur de putain, esclave!
Je m'escrimais à nettoyer ses doigts lorsqu'il enchaîna :
- Allez, baisez-la, cette salope!
Un homme me pénétra. Il allait et venait sans douceur dans ma chatte. Il ahanait, me pinçait les seins, m'insultait. Je sentis la jouissance déferler dans ma tête, mon sexe…
- Oui, baise moi! Couvre-moi de foutre! Défonce-moi! Éclate-moi mes trous!
Il se retira de mon ventre. M'éclaboussant de foutre, il le ramassa de sa main et me l'étala sur mon visage. On me retourna, un homme me prit par le cul. Je criais, souffrance, jouissance? Une main plutôt plusieurs doigts se glissèrent dans ma foufoune. Je crûs reconnaître celle de Patrick, bientôt elle fut entièrement en moi. L'effet était extraordinaire! J'avais le sentiment de me déchirer.
Un homme m'introduisit sa bite dans la bouche. Celui qui m'enculait me fessa durement le cul. Je hurlais, je gémissais. Je ne sentais plus la douleur, elle avait fait place à un plaisir fou. Tout se passait dans ma tête. J'aurais accepté n'importe quelle étreinte. La plus basse, la plus vicieuse. J'encourageais ceux qui me torturaient.
- Allez-y, faites de moi ce que vous voulez! Je suis un sac à foutre, une putain qu'on baise, qu'on encule, qui suce!
Une giclée de foutre éclaboussa ma bouche. L'homme s'essuya dans mes cheveux. Patrick retira sa main de ma chatte. La douleur qui irradia mon corps se transforma en un déferlement de jouissance. L'homme qui était dans mon cul se soulagea à son tour. Je sentis son foutre chaud se frayer son chemin dans mes intestins. J'étais comme folle, j'en voulais encore. Sous mon bandeau, des étoiles éclataient devant mes yeux. Dans mon dos, j'entendis le souffle rauque des mâles. Ils n'allaient pas me laisser en cours de route! J'en voulais encore et toujours.
- Prenez-moi encore! Faites-moi tout dans le cul, la chatte, la bouche! Je suis votre putain, votre salope!
J'entendis des ricanements, puis on m'agenouilla sur le sol. Patrick retira mon bandeau. Je clignais des yeux et découvris les hommes, et Marc qui me regardaient en souriant.
- T'es déchaînée, ma chérie. Que désires-tu que nous te fassions?
- Tout, n'importe quoi! Je veux tout, tes mains, leurs bites! Bourrez-moi! Défoncez-moi! Je suis là pour ça, pour être votre esclave de la soirée!
Je devenais folle, hystérique. Ce n'était plus moi qui m'exprimais mais une femelle en chaleur.
Mes mains enchaînées frottaient mon sexe, l'acier des menottes maltraitait mon clitoris.
- Regardez! Vous ne voulez rien me faire alors je me le fais.
Et de gratter, gratter mon bourgeon rose avec le métal! En quelques secondes je pris un pied incroyable! Ma langue sortait de ma bouche, mes lèvres guettait un sexe. Salope au possible, je proposai :
- Approchez, mes chéris, que je fasse la toilette à vos gentilles queues!
Je suçais soigneusement leurs bites, recueillant les dernières gouttes de leur jus. Patrick, dans mon dos, me caressait amoureusement.
J'étais heureuse, nullement choquée d'avoir été avilie à ce point, déjà prête à recommencer.

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