Dans Un Compartiment Couchette

Dans un compartiment couchette d’un train de nuit, se trouve une jeune femme vêtue d’une courte nuisette laissant apparaître sa petite culotte et ses fesses bien rebondies.

N’arrivant pas à trouver le sommeil dans ce compartiment où elle est toute seule, elle laisse son esprit vagabondé, accoudée à la fenêtre. Elle a éteint la lumière pour ne pas être vu de l’extérieur.

Elle pense à son homme qui l’attend à l’arrivée. Elle imagine toutes les choses qu’ils feront pour fêter leurs retrouvailles. Elle sent lentement monter l’excitation.

Toute concentrée dans ses pensées, elle n’entend pas la porte du compartiment s’ouvrir. Elle ne s’aperçoit pas qu’un homme vient d’entrer.

Celui-ci referme silencieusement la porte et admire la silhouette de la jeune femme que la lumière de la Lune habille.

Sans bruit, il s’approche d’elle. Et avant qu’elle n’ait pu réaliser ce qu’il se passait, il la plaque contre la fenêtre.

Avec ses deux mains, l’homme att celles de la femme et les maintient fermement contre la vitre.

La jeune femme surprise pousse un petit cri plaintif à peine audible car elle est tétanisée de peur.

L’homme profitant de son absence de réactions, commence à lui embrasser le cou, la nuque, à lui mordiller le lob de l’oreille.

L’excitation de ses pensées avant l’arrivée de l’homme conjuguée à l’agilité que celui-ci met à sensibiliser ses zones érogènes du cou, lui font émettre quelques gémissements « honteux ».

L’homme sentant sa captive réceptive à ses caresses, s’enhardi. Il fait converger les mains de la jeune femme au-dessus d’elle contre la vitre, ou les maintient fermement d’une main.

L’autre main maintenant libre d’agir, descend vers la poitrine de donzelle. Une poitrine ferme et plantureuse qui tend la nuisette. Il dégage le sein droit de sa gangue de tissu. Il le caresse, titille le téton, jusqu’à que celui-ci soit tendu à l’extrême.

Puis il s’occupe du gauche dans les mêmes conditions.

La femme ne tient plus devant tant de caresses. Elle sent sa culotte s’humidifier. Elle a envie de plus. Elle frotte impudiquement ses fesses contre le sexe de l’homme.

Voyant cela, il descend sa main libre vers le sexe de celle-ci. Délicatement il caresse son clitoris, qui durcit un peu plus à chaque passage. Déjà les gémissements de la jeune femme se font plus intenses. Il introduit un doigt dans sa petite fente, qu'il fait aller et venir.

La jeune ne tient plus. Elle le veut tout de suite en elle et lui crie : « BAISE MOI ».

L’homme se déboutonne, avec sa main libre tout en la maintenant fermement de l’autre, et sort son sexe déjà tout durci par ces préliminaires. Il écarte l’entrejambe de la petite culotte, et fait pénétrer son sexe d’un coup brut.

La jeune femme cri son plaisir, couvert heureusement par le bruit du train. Sa chatte ruisselle. Il commence une série de va-et-vient rapides mais auxquels il donne des coups d’arrêt pour ne pas venir trop vite. Puis recommence de plus belle.

Maintenant qu’il l’a pénétrée, sa main libre reprend son office sur le clitoris de la belle soumise.

L’effet conjugué les coups de butoir dans son sexe et des caresses sur son clitoris, la cisaille littéralement en deux. Elle n’arrive pas à tenir debout face à tant de plaisir, qui monte par vague du tréfonds de son ventre.

Après quelques minutes de ce traitement, elle sent monter la vague ultime. Elle sent aussi le sexe de son partenaire d’un soir emplir totalement sa cavité secrète. Elle agite ses fesses pour le faire venir en même temps qu’elle.

Le plaisir arrive comme les foudroyant. Ils restent un instant immobiles comme suspendus à ce moment de bonheur fugitif.

L’homme se retire, range son sexe et repart.

Il laisse là seule dans le noir une jeune fille pantelante encore rêveuse de ce moment impromptu de plaisir.

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