Na Leslie Tr 23

Leslie à Paris – P23 – Les confidences de Laure, Florence.

Depuis qu’avec Laure nous sommes ensemble, mon amante parfois m’a fait des confidences sur son passé et ses aventures, après m’avoir fait les confidences sur sa jeunesse elle a tenu à me confier quelques unes de ses expériences.
Certaines confidences m’ont laissées un bon souvenir, voire même parfois troublée ou excitée en me mettant dans un état pas possible de désir.
Je vais maintenant vous les raconter, en essayant d’être la plus rigoureuse possible.

Florence.
Laure commença par me raconter comment lors d’une soirée dans une discothèque elle avait tapée dans l’œil de Florence.
Laure commence par me dire :
- Je pense être jolie et attirée les regards, enfin je le crois, surtout quand je vois les regards des hommes se poser sur moi, mais de là à attirer le regard d’une femme il y a un monde, même si je ne déteste pas être avec une femme dans un lit. Bien sûr je ne me suis jamais cachée d’être bisexuelle, suite à mon passé, et avoir des attirances pour les femmes et aimer faire l’amour avec elles, mais je pensais sincèrement qu’une femme viendrait me draguer pour m’emmener dans sa couche.

Ce soir-là pour sortir je portais une jupe noire moulante faisant bien ressortir ma cambrure, avec un joli ceinturon, et un petit corsage blanc sans soutien-gorge laissant deviner ma jolie poitrine et un string ficèle pour mettre en valeur mes jolies fesses. Les lèvres dessinées par un rouge à lèvres assez provoquant.
J’avais envie de passer un bon moment sans faire obligatoirement une rencontre et surtout je ne pensais pas attirée, ce soir là, vers moi une femme cherchant en moi une proie pour vivre des moments saphiques.
Certainement qu’elle devait chercher une nouvelle compagne pour passer un moment agréable et c’est sur moi qu’elle à fixer son attention.
Il est vrai que je provoquais dur en balançant mon beau petit cul au travers de la discothèque.


Et il est bien possible qu’elle m’a imaginée à cet instant nue et harnachée par ses soins lui faisant l’amour à grands coups de reins ou bien elle entrain de me posséder sauvagement.

Nos regards s’étaient accrochés deux fois et lorsque que je détournais le regard de ses yeux inquisiteurs, je sentais qu’elle les plongeait sur mon corps en le détaillant dans les moindres recoins, j’avoue que me laissant aller j’imaginais ses doigts jouant avec mon sexe avec un savoir sans commune mesure, cette femme me fascinait par l’assurance qui émanait d’elle.
Je l’avais trouvée belle, pleine d’assurance et fascinante, le genre de femme dont on ne peut détourner le regard d’elle facilement tellement elle rayonne et capte votre attention malgré vous.
Le temps de croiser une nouvelle fois nos regards et elle vint vers moi pour se planter le plus près de moi possible, avec la ferme intention d’entreprendre la conversation ayant pour but de me conquérir avant de m’emmener chez elle.

Elle se présenta simplement en disant :
- Je m’appelle Florence, je t’offre un verre.
- Moi c’est Laure et je suis d’accord pour le verre.
L’ambiance à l’intérieur de la discothèque était bruyante, la musique forte couvrait les conversations et pour me parler Florence avait rapproché sa tête de la mienne. Je sentais son parfum tandis qu’elle commençait à me parler des femmes qui dansaient au milieu de la salle, sur la piste, en me confiant sa bouche collée à mon oreille, celles qui lui faisaient de l’effet et qui lui plaisaient, m’avouant comme un doux secret qu’elle aimait les femmes et que je lui plaisais.
Dès le début de ses aveux sa bouche collée à mon oreille me procurait du plaisir et le souffle de sa bouche me donnait des frissons, je trouvais cela amusant et la laissais faire attentive à ses propos.

Je sentais un trouble naître en moi mais encore inconscient et Florence continuait comme consciente de l’effet qu’elle provoquait, alors doucement je me laissais prendre au jeu de ses confidences.

Elle réveillait en moi des désirs saphiques et me faisait imaginer femmes à moitié nues dansant pour notre seul plaisir et imaginer tout ce qu’elles pourraient faire ensemble.

Doucement Florence glissait un désir en moi, un désir saphique, imaginer des femmes faire l’amour en sentant des mains et des bouches parcourir mon corps en éveil, et je réalisais que mon corps était parcouru de frissons allant depuis mon pubis jusqu’au bout de mes extrémités.
Des souvenirs revinrent à mon esprit, comme celui des doigts de femmes jouant avec mon sexe et des doigts agaçant mon petit bouton. Florence prit ma main et me dit :
- Viens !
Je l’ai suivie au travers de la salle jusqu’au vestiaire ou sans un mot nous avons récupérés nos manteaux pour partir, sans manquer de se faire remarquer par certaines filles qui nous regardaient d’un air entendu, comme si elles savaient que j’allais me faire gouiner par cette jolie lesbienne qui m’emportait chez elle.
J’étais incapable de dire un mot, comme emportée par un désir qui m’envahissait et que je ne pouvais repousser.


Dès la porte de chez elle franchie Florence me conduisit directement dans sa chambre et me poussa rapidement à l’intérieur, refermant la porte derrière elle et me retourna d’une main ferme pour lui faire face et m’embrassa à pleine bouche. Mes fesses butaient contre la commode et je ne pouvais m’échapper de son étreinte, puis elle me regarda de haut en bas comme pour me déshabiller des yeux, à cet instant elle m’intimidait un peu ne sachant pas comment la suite allait se passer, mais je restais dans ses bras complètement à sa disposition. Je quittais son regard en baissant les yeux et en serrant un plus mes jambes. Florence me dit :
- Tournes-toi !
Je m’exécutais et le miroir de la commode me renvoya aussitôt mon image, un visage étrange qui était le mien, celle d’une femme à la merci d’une autre prête à succomber à ses désirs les plus fous, puis tout à coup le sien qui s’était approché.
Elle se colla légèrement contre moi en me prenant par les hanches, me chuchotant encore à l’oreille :
- Tu es belle.
Elle frôlait mes bras de ses mains et je sentais sa chaleur contre mon corps me donnant la chair de poule.
- Douce, laisses-moi faire, laisses moi te découvrir.
Elle me caressait maintenant les seins afin de les faire durcir avant certainement de les dénuder et me laisser impudique dans ma nudité à ses yeux. Elle ajouta confirmant mes pensées :
- J’ai envie de voir tes seins, ouvre ton chemisier !
Comme j’hésitais elle rajouta :
- Ne sois pas gênée car je sais que tu en as envie.
Florence avait raison, j’avais envie de lui dévoiler mon corps, alors je portai mes doigts aux boutons de mon chemisier en sentant le regard de Florence posé sur moi par l’intermédiaire de la glace.

Ne portant pas de soutien-gorge je savais que ma poitrine allait sortir de mon chemisier dès les premiers boutons défaits, mais alors que je m’apprêtais à défaire le dernier bouton Florence écarta les pans pour découvrir mes seins, puis me prenant les coudes et les tirants en arrière elle me fit bomber un peu ma poitrine.
- Ils sont beaux, me dit-elle.
Elle ne me laissa pas le temps répondre, elle s’empara des deux bouts pour les palper et les étirer un peu, jouant avec eux pour lentement les faire se redresser et durcir.
Puis elle se recula pour m’enlever complètement mon chemisier me laissant le haut nu, ses mains descendirent le long de mon corps jusqu’au ceinturon que je portais, me caressant le ventre elle me dit :
- Détache-le !
J’étais de plus en plus excitée, et le ton que prenait Florence me donnait des désirs, je me sentais soumise à sa volonté, alors mes doigts se portèrent à la boucle et je débouclai le ceinturon en tremblant de désir sous les yeux attentifs de Florence.
Elle souriait et visiblement savourait mon effeuillage en me regardant dans la glace, en me disant :
- Baisse ta jupe maintenant !
Sans me poser de questions complètement soumise je déboutonnais ma jupe et l’ouvrit, celle-ci tomba a mes pieds, puis en appuyant mes mains sur la commode je me dégageais de ma jupe.


Laisse-la tomber, petite ! Dégage-toi du comptoir et laisse-la glisser. Ça va te faire du bien, tu verras.
Je l’entendis pousser un grand soupir de satisfaction en découvrant mes fesses et s’approchant de moi elle m’embrassa dans le cou.
Ses mains frôlaient et palpaient mes flancs alors que j’étais toujours appuyée contre la commode, elle approcha sa bouche de mon oreille et chuchota :
- Maintenant, tu vas gentiment enlever ton string que je puisse admirer ton joli petit cul.
Sa demande était presque un ordre alors je m’exécutais sans un mot et entendit :
- Cambres toi !
Maintenant j’avais envie de montrer mon cul à Florence, nue et impudique devant elle qui était encore toute habillée, n’imaginant pas encore ce qui allait suivre.

Je me croyais au bout de mon effeuillage et pensais que les caresses sur mon corps et nos jeux amoureux allaient suivre. Je me sentais mouiller et n’imaginais pas que Florence puisse être aussi lubrique et me demander d’aller plus loin dans mon exhibition.
Elle me demanda alors de m’éloigner de la commode et de me pencher en avant en creusant les reins.
- Je veux voir ta chatte par derrière, me dit-elle.
Une nouvelle fois je me pliais à son désir et lui offrit en spectacle ma vulve épilée.
- Ta chatte est très belle, maintenant écartes tes fesses avec tes mains pour me montrer ton œillet.
Je me sentais vulnérable ainsi offerte les deux mains écartant mes fesses pour dévoiler mon petit trou en étant complètement à la merci de sa perversité
Elle passa délicatement un doigt le long de mes lèvres mouillées jusqu’à mon anus, pressant un peu dessus en ma disant :
- Plus tard tu me le donneras !
Elle se pencha au-dessus de moi en maintenant son doigt sur mon anus et de l’autre main commença à me caresser le bouton, Florence savait y faire et le plaisir monta rapidement ma faisant soupirer jusqu’au moment où un orgasme me fit crier en inondant la main de Florence dans ma jouissance.

Elle me prit dans ses bras pour m’embrasser, puis me fit comprendre ce qu’elle attendait de moi à présent en m’appuyant sur les épaules pour m’obliger à me mettre à genoux devant elle.
Une fois à genoux devant elle, Florence releva sa robe pour me faire découvris sa vulve glabre, elle ne portait pas de culotte, en me disant :
- Tu vois je suis prête, suces moi et fait moi jouir !
Je me ruais sur son intimité trop contente de pouvoir à mon tour lui donner du plaisir et la faire râler sous les caresses de ma bouche, Florence était trempée et je ne fus pas longue à l’emmener dans le plaisir et la faire jouir.
Puis elle se déshabilla devant moi en m’aguichant au maximum puis elle m’emmena sur son lit où couchées côte à côte elle se mit à m’embrasser en posant sa main sur ma vulve.
Après quelques caresse bien appuyées me faisant repartir dans le plaisir je sentis que Florence prenait un malin plaisir à me faire jouir et perdre la tête, me sentant à excitée et prête à suivre ses volontés elle me fit mettre en levrette et se positionna derrière moi.
En appuyant sur mon dos elle me fit cambrer les reins et exposer mes fesses à la merci de ses désirs, elle me caressa le sillon de mes fesses du bout d’un doigt et s’arrêta sur mon anus en me disant :
- Donnes le moi maintenant !
Il était question de mon petit trou et cambrer comme je l’étais elle savait que je ne pouvais échapper à son ordre, d’ailleurs elle n’attendit pas que je réponde car aussitôt son doigt s’enfonça dans mon anus me faisant crier de surprise, Florence alors me dit :
- Mais il à déjà été visité ce petit trou !
Florence paraissait heureuse de cette constatation et elle rajouta :
- Je vais t’enculer ma belle !
Elle partit vers la table de nuit me laissant dans cette position et prit un gode ceinture qu’elle fixa autour de sa taille, celui-ci au premier coup d’œil que j’osais lancer à l’objet me parut de belle dimensions et me fit penser que j’allais certainement le sentir passer, mais excitée comme je l’étais j’avais envie de tout et surtout de jouir de tout mon corps.
Florence revint se repositionner derrière moi et après m’avoir enduit de gel elle plaça le bout du gode à l’entrée de mon anus. Elle me tint par les hanches afin de me bien m’enfoncer le gode en moi et effectivement je le sentis rentrer et me distendre mes chairs intimes.
Florence m’encula sans retenue pendant un long moment me tirant des cris de jouissance en disant :
- Jouis ma petite car j’adore faire jouir les filles comme toi en les enculant.
Florence se mit à alterner ses pénétrations entre mon sexe et mon anus me faisant jouir de nombreuses fois, puis se décidant à se retirer elle me dit :
- Maintenant c’est à toi !
Nous nous sommes sodomiser pendant une bonne partie de la nuit et c’est après avoir jouis de nombreuses fois que nous nous sommes endormies en se promettant de recommencer.

A suivre……

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