Na Leslie Tr 32

Leslie à Paris – P32 – Les confidences de Laure, Charlotte, la nouvelle voisine.

L’appartement n’est pas resté vide très longtemps car à peine quinze jours après le départ de Manuel et de Diego, une charmante jeune fille s’installa.
La belle est étudiante, avec ses 18 printemps tous juste révolus, c’est une belle jeune fille, pas très grande et mince et élancée avec un doux visage agréable, de courts longs cheveux châtains et une paire de petits seins.
Elle s’est installée voila deux mois, apparemment sérieuse car ne recevant personne depuis son installation, je suppose qu’elle se consacre entièrement à ses études
L’ayant rencontrée plusieurs fois dans l’escalier et échanger les banals « bonjours » traditionnels, je la trouvais tout à fait charmante et rêvais parfois d’elle dans mes nuits solitaires, je me demandais comment établir le contact et passer un moment en sa compagnie.
Je continuais à recevoir mes amies qui partaient au petit matin et je suppose que ma petite voisine avait remarquée les allers et venues de ces femmes qui passaient la porte de mon appartement, deux fois d’ailleurs elle m’a surprise échangeant un baiser avec mon amante du moment.

Les jours sont passés, tous comme les premiers sans contact avec ma nouvelle voisine mais j’avoue avoir épiée ses allers et venues sans jamais pouvoir établir le contact.
Un soir, rentrant de la piscine, je l’ai trouvée entrain de relever le courrier de sa boîte aux lettres, j’en ai donc profitée pour établir un premier contact et après un bonjour, je lui ai dit :
- Si vous avez besoin, ne vous gênez pas de frapper à ma porte, entre voisines il faut s’entraider.
Elle m’a remerciée en me regardant dans les yeux et j’ai rajoutée :
- Il faudra venir chez moi prendre le verre de bienvenue.
En montant les escaliers nous nous sommes regardées et présentées, c’est ainsi que j’ai appris que ma charmante petite voisine s’appelait Charlotte et qu’elle avait 18 ans et demi, puis nous sommes rentrées chez nous, avant de refermer sa porte et de disparaître, je l’ai entendue dire :
- A très bientôt.



La porte fermée derrière moi cette phrase résonne dans ma tête, mais reprenant le dessus je me déshabille pour prendre une douche et démarrer une nouvelle soirée remplie de solitude.
En passant devant la glace de ma chambre, je regarde mon corps nu, je me caresse les seins en me disant que ce corps n’a pas vibré depuis le départ de mes voisins, deux mois de jeun sexuel et ce manque de plaisirs commence à me peser.
Je suis passée sous la douche et j’ai commencée à me caresser pour me donner du plaisir en pensant à Charlotte, très vite mon corps commence à vibrer sous les caresses de mes mains et de mes doigt, et c’est au moment ou mon doigt se posait sur mon clitoris que la sonnette de la porte à retentit.
Juste le temps de sortir de la douche encore frémissante, d’attr une serviette que je m’enroule autour du corps et me voila entrain d’ouvrir ma porte d’entrée.
Pressée d'aller ouvrir, en espérant que ce soit Charlotte, j’avais juste enroulée un drap de bain sur ma nudité, dans mon empressement au moment d’ouvrir la serviette s’est ouverte et c’est quasiment nue que je me suis présentée devant Charlotte qui attendait sur le palier en peignoir de bain.
- Je ne dérange pas, demanda Charlotte en me reluquant de la tête au pied.
- Non, dis-je en me rajustant rapidement.
Sans me demander mon avis elle est entrée et à refermer la porte derrière elle, puis elle m’a prise par la taille pour m’attirer à elle, faisant tomber à mes pieds la serviette de bains me laissant nue devant elle.
Elle ouvrit son peignoir sous lequel elle était nue elle aussi et plaqua mon corps nu contre le sien. Elle posa ses lèvres contre les miennes en me disant :
- Chut.
Incroyable, me voila dans les bras de Charlotte avec son corps chaud et nu contre le mien, j’essaie faiblement de me dégager de son étreinte mais ses mains commence à caresser mon corps, Charlotte me dit alors :
- Laisses toi faire, je sais que tu ne reçois que des filles et que tu es lesbienne, comme moi ».

Sa main droite trouve ma vulve et commence à me caresser, son doigt s’insinue en moi et trouve mon clitoris m’électrisant le corps, je chavire tandis que Charlotte m’embrasse à pleine bouche et me branle plaquée contre ma porte d’entrée.
L’autre main de Charlotte passe sur mes fesses et trouve mon sillon, un doigt trouve mon anus et le pénètre sans hésitation, je commence à pousser de petits gémissements sous les caresses précises de Charlotte.
Puis, Charlotte se dégage et me dit :
- Alors ce verre de bienvenue tu me l’offres.
Nous allons dans le salon où Charlotte en profite pour enlever son peignoir et se montrer nue à mes yeux, tandis que je prépare un gin-fizz, Charlotte, très à l’aise, visite nue mon appartement ce qui fait que je peux admirer son physique juvénile.
Charlotte est vraiment mince, des cheveux châtains tombant sur ses épaules, elle possède une petite poitrine ine, à peine formée, des hanches à peines marquées et des petites fesses assez plates lui donnant un petit air de garçonne, qui soit dit en passant ne me déplaît pas du tout.
Elle déambule dans l’appartement me montrant son corps sans pudeur du haut des ses 18 ans et demi, cette jolie jeune fille n’a pas froid aux yeux et a l’air d’une gourmande, remarquant que je ne cesse de l’observer elle s’arrête et me fait face, puis passe sa langue sur ses lèvres en se caressant la vulve qu’elle à entièrement épilée, confortant son air juvénile.
Charlotte, sans vergogne et sans pudeur, me provoque, j’aime ça et cette jolie jeune fille commence à bien me plaire, certaine qu’elle doit être un sacré numéro.

Mes gin-fizz sont prêts, je m’approche de Charlotte et lui tend son verre qu’elle prend non sans me caresser la main au passage, puis nous trinquons, après avoir bues charlotte s’approche en me disant :
- Après le verre de bienvenue tu proposes quoi ?
Voulant la provoquer pour voir ses limites je lui réponds :
- On dine ou on s’encule !
- Eh bien moi, me répond Charlotte, je n’ai pas très faim !
La réponse est claire, Charlotte me provoque encore, alors le l’att par la main et l’emmène directement dans ma chambre, une fois près du lit je la prends dans mes bras et l’embrasse à pleine bouche, Charlotte se laisse faire et nos langues se mêlent, les mains de Charlotte sont autour de mon cou et elle commence à onduler contre mon corps, nos pubis frottent l’un contre l’autre provoquant en nous des frissons de plaisir.

Nous basculons sur le lit et je me retrouve sur Charlotte, nos corps se mêlent et nos mains cherchent nos parties sensibles, Charlotte me caresse à deux mains les fesses cherchant à s’insinuer dans mon sillon tandis que de mon côté ayant passée une main sous elle je lui doigte l’anus qui se contracte sous ma caresse.
Ma bouche titille le bout de ses petits seins les faisant s’ériger sous mes lèvres, j’incruste mon doigt en elle la faisant gémir, nous restons un moment ainsi à nous donner du plaisir jusqu’au moment ou je me redresse en lui disant :
- Juste un petit instant chérie.
J’ouvre le tiroir de ma table de nuit et att un gode ceinture avec lequel je me pare le bas ventre, Charlotte un instant panique en me disant :
- Tu ne vas pas m’enculer avec ?
- Si bien sur puisque tu le désires, lui dis-je, retournes-toi.
Charlotte comprends que je vais mettre ses propos à exécution et se place sur le ventre en ma demandant d’être douce.
Je me place sur Charlotte et enduit copieusement sa rondelle de gel ainsi que le gode qui va me servir à la sodomiser, puis je place le gland sur son petit trou brun, Charlotte frémit mais ne bouge pas, alors je pousse pour faire céder cet anneau m’enfonçant d’un trait dans les entrailles de Charlotte.
Elle manque de souffle pendant la pénétration ouvrant grande sa bouche à la recherche d’un peu d’air, elle gémit aussi les larmes aux bords des yeux, je commence alors un lent va et vient dans son conduit la faisant hurler.
- Laure, me dit-elle, je suis à toi.
Je vais et vient en elle jusqu’au moment ou elle jouit.
Nous avons fait l’amour en nous gouinant à tour de rôle, nos orifices ont été visités par ce gode ceinture à notre plus grand bonheur à toutes les deux, puis nous avons dinées avant de se retrouver dans mon lit pour la nuit.
Charlotte au petit matin à voulu prendre sa douche avec moi, ce que nous avons fait en nous caressant et profitant de cet instant, depuis nous ne nous quittons plus passant d’un appartement à l’autre pour vivre notre relation.


A suivre….

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