Un Mâle Objet De Plaisir

Il se dit de moi que j’ai une jolie gueule et un beau cul. Je suis blond, les cheveux raides, des yeux bleus pales, dans un visage couleur miel parsemé de taches de rousseur. Je pense effectivement que j’ai un beau cul, vu le nombre de fois qu’il a été touché. Aussi bien d’ailleurs par des hommes que par des femmes. Une fois même, en Italie, j’ai rencontré un peintre qui voulait faire une toile de moi, nu. Chaque fois que je posais pour lui, il me branlait avant, sous prétexte de vouloir représenter le désir. Il m’a fait mettre en slip, puis sans rien, dans des positions insensées. Il a même invité une femme à se dénuder devant moi pour provoquer mon excitation et devant mon absence de réaction, ce fut le tour d’un homme. Il n’était toujours pas satisfait. Alors, il m’a proposé de le sucer.
C’était mieux, mais pas encore assez. Du coup, il lui a offert mon cul. Le premier essai montrait ma bouche ouverte, le gros sexe de l’homme posé en travers de mes lèvres et sur mon nez. Le deuxième me montrait de dos, à quatre pattes, le sexe tendu posé sur la raie, à la naissance de mes fesses. Puis une vue de dessus, le sexe enfoncé dans mon cul. De me voir embroché de la sorte l’a embrasé et il m’a enculé à son tour. La touche finale, ce fut un tableau de moi de face (il voulait absolument qu’on voit mon visage), empalé sur le gros sexe d’un homme assis sur une chaise. L’Œuvre fut exposée dans son atelier et produit l’effet désiré. Un bon nombre de visiteurs a demandé à voir l’original et à me baiser.
Il m’a ensuite conduit dans un autre atelier. En fait, ça ressemblait plus à un théâtre. Au fond de la pièce, il y avait comme une scène. Il dit que ses clients voulaient que je me déshabille devant eux. Du striptease quoi ! Moi, je lui ai dit que je préférais que ce soient eux qui me dénudent et que la récompense serait, pour qui osait monter sur scène, de prendre ma bouche ou mon cul. Quel délice, quand enfin arrive le moment ou le slip glisse lentement sur mes fesses et le long de mes jambes, quand des mains chaudes écartent mes globes et que le gland se pose sur mon trou, et enfin, la délivrance quand il s’enfonce dans mon cul.


Je suis un objet de plaisir et j’en suis fier. Quand je me regarde dans un miroir, il me semble que plus on me sodomise, plus mon cul se cambre pour s’offrir aux désirs.

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