Nous Ne Sommes Pas Rentrés Bredouille !!

Ce dimanche là j’ai réussis à convaincre Annie d’aller nous mettre au frais en pleine nature, et d’éviter, pour une fois, la plage bondée, la circulation et surtout les retours de plages.
Aussi, je me suis fait prêter des cannes à pêche, par mon voisin, nous avons préparé un petit pique nique (apéro compris !)Un sac a dos, les vélos et nous sommes partis avant que le soleil ne soit trop haut, en direction des marais, tout prés de notre domicile, j’avais fait un repérage dans la semaine et dégoté un endroit idéal.
Un canal d’une dizaine de mètres de large, une ‘taillée’ de chaque coté, il doit faire quinze kilomètres de long, mais nous n’en avons fait que trois !
La seule difficulté du départ c’est d’emprunter la nationale avec déjà une circulation assez dense, et je sais qu’Annie déteste les voitures qui la rasent, mais nous n’avons que deux kilomètres à faire sur ce tronçon, je la fait rouler devant moi, et je ne le regrette pas !!
Elle est vêtue d un corsage a fleurs et d’une jupette blanche imprimée de grandes fleurs également, et je sais qu’aujourd’hui elle amis une petite culotte blanche !! Pourquoi ?? Eh bien tout simplement parce qu’elle est assise à même la selle, et que le déplacement d’air provoqué par le passage des voitures, fait voler la jupe et découvre ses petites fesses bien moulées par un slip en dentelle blanche ! Ce qui apparemment fait le bonheur des automobilistes qui klaxonnent vaillamment !! Je n’ose penser ce que ceux qui arrivent en face, peuvent voir !! Ce genre de tenue devrait être sanctionné au même titre que l’alcool au volant !! Car la jupe, devant est plaquée sur le haut de ses cuisses, et les chauffeurs tournent la tête à s’en dévisser le cou.
Je suis sur qu’elle est consciente de l’effet produit, car sinon, c’est un simple string qu’elle aurait mis et encore !!....
Bien que lorsque les coups de klaxons sont trop insistant, elle lance un ‘ta gueule ‘ !!
Une fois dans le marais, nous sommes au calme, je choisis le coté du canal qu’une voiture ne peut emprunter pour encore plus de tranquillité, il y a quelques nids de poules, mais ce n est rien, bientôt nous sommes au terminus, car des ronces obstruent tout le chemin ; ils y a quelques arbres, nous serons a l’ombre cet après midi !ont peut voir arriver une voiture a des kilomètres a la ronde.


Je prépare les gaules pendant que ma chérie étale un plaid et prend un bouquin
- j ai chaud ! - me dit elle - ne te gêne pas, met toi les seins à l’air, ici il n’y a absolument personne, et puis même…!
Ce qui fut fait, le temps de le dire, là voilà les seins a l’air assise en tailleur la jupe au ras la touffe ! Et lit son livre.
Moi je retire mon teeshirt mais reste en short sinon je me retrouve à poil !
Une fois les lignes a l’eau il ne reste plus qu’ a attendre le bon vouloir des poissons !mais que faire en attendant ?rien sinon venir taquiner ma belle qui finit par m exciter à force d’exhiber sa marchandise !je me suis allongé a ses pieds ou plutôt a ses cuisses, et je détaille la bosse formée par sa chatte sous le fin tissu les deux lèvres son bien dessinées et quelques poils passent a travers la dentelle, je tends la main pour les tirer - aie ! dit que sa t’embête que je lise ! - - Euh, oui, un peu - - bon j ai compris ! - et elle pose son bouquin, et là un bruit nous fait tourner la tête, un cycliste, armé de cannes a pêches vient de passer, de l’autre coté du canal, il a d ailleurs faillit tomber lorsqu’ il a vus la dame aux seins nus ! Merde, il vient de s’arrêter trente mètres plus loin, je l’aurais parié ! Son vélo est à terre, et il cherche un emplacement pour ses lignes.
Je ne peux rien dire c’est son droit, il en donc posé une a trente mètres de nous, mais il cherche un autre endroit pour les autres, et, pas manqué, une, presque en face de nous et l’autre un peu après ! Nous sommes encadrés !
- Bonjours ! Il fait chaud ! - Annie a eu le temps de mettre son corsage sans toutefois le fermer, ses seins sont donc visibles si on observe bien !tout comme on peut voir la petite culotte car elle est toujours assise en tailleur
- Vous avez pris quelque chose ? - - Non, mais çà ne va surement pas tarder…. - !
Je n’entretien pas la conversation, afin qu’il comprenne qu’il faut nous foutre la paix
Je me relève et marche un peu au bord de l’eau, tout en observant son comportement, il va d’une ligne a l’autre cherchant le meilleur angle de vue sur l’entre jambes et les seins de ma chérie.

C’est un homme d une cinquantaine d’années il est en ‘Marcel’ et bermuda, il bien conservé pour son âge, mais finie notre tranquillité !!
Je reviens vers Annie qui me dit - j ai envie de faire pipi ! - - Et alors !! tu te mets derrière l’arbre, avec les herbes et les vélos il ne verra rien de plus qu’il n’a déjà vus !!
- Oh ! Et puis après tout, si çà ne lui plait pas il partira !
- …tu parles !!!
Elle prend un mouchoir en papier et va derrière l’arbre !j entend le gazouillis de la ‘fontaine’ !
Son petit besoin fini elle me rejoint sur le plaid et me jette au visage une boule blanche !
- Elle me donne trop chaud !
- et voilà plus de petite culotte !!
Mais pour autant sa position favorite reste le tailleur ! Si je reste immobile je vais me mettre à bander je vais donc refaire un tour !
Le pauvre malheureux ou mâle heureux, je crois que c’est le deuxième qui convient le mieux !car il est maintenant à genoux a mis distance entre ses deux cannes c’est à dire a une dizaine de mètres, face aux cuisses de ma femme, il frotte sa braguette d’une main énergique, il se branle ma parole !je suis sur que mine de rien ma salope l’observe derrière les cheveux qui sont devant ses yeux, çà doit la faire mouiller que le mec la mate la cochonne ! Un sein est complètement sorti du corsage et les lèvres de la chattes doivent bailler
Je le soupçonne d’avoir joui car il s est raidi, et, juste après, se relève, il passe devant moi sans un regard, et une belle auréole mouillée orne son bermuda.
- Tu a vus ce que tu as fait à ce brave homme ?? !
- Oui ! Il s est branlé et maintenant il va nous foutre la paix !
Je passe ma main sur sa chatte.
- Mais tu mouilles ma salope regarde mes doigts !!
- Mais tu bandes mon salaud regarde toi !! -
Finalement, nous avons pris l’apéro et mangés tranquillement, l’individu vient de remonter sur son vélo !!
Une petite’ sieste’ s’impose, je m’allonge et Annie vient poser sa tête sur mon torse elle n a que sa jupe sur elle ; couchée sur le coté elle a ouvert la braguette de mon short, ma bitte est a moitié sortie, elle me branle doucement, je lui caresse les seins.

Nous savourons la douce chaleur, je sens que je ne vais pas tarder à lui faire l’amour….
Mais ce n est sans compter sur les imprévus !! Car, je ne dit rien a Annie, mais notre gus a pris son vélo tout à l’heure pour faire le tour et venir de notre coté, car je viens de le voir à cinquante mètres, et sans cannes à pêche ….
Tout doucement, mètre par mètre il avance vers nous, et il s’enhardit car je ne aucun signes pour l’arrêter, ma chérie somnole et ne peut le voir, mais lui peut voir son entre jambes ouvert, il peut voir les fesses et les lèvres serrées.
Il n est plus qu’a cinq mètres, les yeux lui sortent de la tête, il me regarde interrogatif, je ne dit toujours rien, alors, il se décide à sortir sa queue, il bande, une prune violette qui suinte de plaisir et dans sa main un cylindre d’une bonne taille qu’il manipule doucement
A quatre pattes, sans un bruit il finit de s’approcher, pose une main sur la cheville de la belle endormie qui pousse un cri car elle comprend que ce n’est pas une des miennes …
- Ce n est rien chérie, reste comme çà - l’homme remonte centimètres par centimètres les mains le long de la jambe, la bouche suit et embrasse chaque parcelles de peau, elle se détend doucement, vaincue par la douceur, les jambes s écartent, laissant l’accès au fruit convoité
Je la fait basculer sur le dos, et lui tète les seins pendent que son tourmenteur pose enfin sa bouche sur l abricot gorgé se sève.
Les cuisses largement ouvertes, l’homme a plat ventre entre elle, lui travaille la chatte et l’anus de sa langue et ses doigts, ma salope finit par lui envoyer une giclée de jouissance dans la bouche dans un cri qui prouve son plaisir.
- j ai envie de la baiser ! Elle est belle, sa chatte est bonne !!
- Alors, qu’est ce que tu attends ! Met lui doucement ta grosse bitte dans le vagin et défonce là !! Elle n’attend que çà.
Il bat un record pour se mettre à poil et s’allonge sur ma chérie !
Il prend appuis sur ses avants bras et sans aucune aide, je vois le gland disparaitre lentement dans le ventre, aspiré par la chatte de ma chérie, elle le ceinture de ses jambes pour l’attirer plus profondément en elle.

Elle est belle quand elle baise ma salope, son bassin vient à la rencontre de celui de son amant de rencontre, le claquement des chairs devient infernal, il a de la ressource notre brave pêcheur !!
Je me caresse en les regardant se faire du bien, elle crie tellement que les grenouilles se sont tuent !
- Je la veux à quatre pattes !! - Et il se retire la bitte luisante de mouille
Je lui dis - non ! Allonge toi elle va venir sur toi ! - - Ah ! Oui je veux bien ! -
Car moi aussi je veux participer !!Je saisie la verge raidie du gars et la pointe vers le trou a bite de ma chérie qui se laisse descendre pour entrer en contact avec ses couilles
Je profite qu’ils soient encore immobiles pour venir lécher son petit trou palpitant
Je prélève de la mouille directement a la source pour m’enduire le gland et je prends appuis sur la bitte déjà introduite pour chercher une faille et m’enfoncer moi aussi dans ce cratère brulant, l’homme est surpris par mon intrusion, il n’a dut jamais sentir une queue côtoyer la sienne dans une chatte ! J’avoue que j adore sentir la raideur d’une autre bitte sur la mienne, il finit par se synchroniser avec moi, et nous lui enfonçons alternativement nos queues dans la chatte pleine à craquer, aux cris qu’elle pousse, on pourrait croire que quelqu'un se noie !!
Je ne perds pas de temps et en cadence je lui enfonce mon pouce dans son petit cul, elle ronronne de bonheur, une fois son anneau bien assouplit, je sors doucement du paradis ou j’étais pour faire pression sur la corole qui cède doucement, plus personne ne bougent ma femelle attend dans la crainte d’avoir mal, que je lui prenne son petit cul…
Un petit - aie - lorsque le gland est absorbé, j attend qu’elle bouge, lorsqu’elle l’aura décidé nous la ramonerons en cadence - tu l’encule ?? - me demande l autre !!
Je ne réponds rien et me concentre sur la progression de ma verge jusqu’à ce que mes poils touchent ses fesses, voilà qui est fait, Annie se lance à l’assaut de nos bittes
- Vous êtes des salauds, je vais vous vider les couilles, défoncez moi, remplissez moi la chatte et le cul de sperme!! - eh bien quel vocabulaire !!!
Ah !quand elle se lâche, la petite çà vaut le déplacement !!Elle qui parle si prude !!j adore !!
La tête reposée sur l’épaule, et les seins écrasés sur le torse poilu du pêcheur, son bassin est offert à notre bon vouloir ce n est plus qu’une machine à baiser , je prend mon pied a voir le morceau de chair luisant de l’ étranger entrer et sortir du corps de ma chérie comme un piston bien huilé, tandis que son petit anneau serre ma bitte c est une situation que je ne pourrais supporter bien longtemps, et quand je sent la bitte sous la mienne, se contracter et devenir plus dure, les soubresauts me confirment l’ éjaculation, les cris de jouissances d’Annie en sont la preuve, a mon tour, je me laisse aller et lui remplie son boyau étroit de mon foutre chaud
Je me penche sur son dos et la couvre de tendres baisés, elle ronronne comme une chatte, apaisée.
Chacun reprend son souffle, le silence est retombé, les grenouilles recommencent a coasser !!
Je serre Annie contre moi, son dos sur mon torse, ses deux seins dans mes mains, notre ami refait surface, et nous dit - c est formidable, je n ai jamais fait cela, regardez, je n’arrive pas a débander, comment puis je vous remercier ?? -
C est vrai que sa verge est encore collée à son ventre ! Annie qui ne perd pas le nord, l’a bien vu - tu tiens vraiment à me remercier ?? Tu voulais me prendre en levrette ? Alors lèche moi d’ abord et après tu me prends !! - Vraiment ?? - - Oui ! -
Et sur ce elle se met a quatre pattes les avant bras a terre, la moule offerte et dont le sperme goutte.
Sans perdre un instant, il est sur le dos, et glisse sa tête sous la chatte qui goutte de son propre sperme, il est prêt a tout accepter, il lui prend les suisses et fait descendre le vagin éclaté sur sa bouche grande ouverte, il lape comme un chien le nectar qui s’échappe, les poils collés sont lavés eux aussi, son menton est luisant, çà lui coule dans le cou !! qu 'est ce qu ’ il lui a mis tout à l’heure !! Il règne une odeur de sexe que j adore !!
Dés qu’il n a plus rien à se mettre sous la langue, il s’extraie et rapidement et se positionne derrière le con offert, je viens moi-même écarter, s’il en est besoin, les parties intimes, son nœud goutant n’a aucune peine à trouver son chemin, un grand - han ! - et il et dans ma femme jusqu’aux couilles - houa, putain, quel cul !! Elle me fait bander la salope ! -
Les fesses de ma chérie claquent encore sur ses cuisses, ma main par-dessous caresse le clitoris
Tellement exacerbé qu’elle joui sans discontinuer, il me la ramone encore longtemps le salaud, elle l’à cherché et bien tant pis !!
« - Je vais lui décharger dans le cul !! - je n ai pas eu le temps de dire non qu’elle a le braquemard planté entre les reins ! Et, dans un beuglement à faire pâlir un taureau, il se vide en elle !!
Ce qui m inquiète c est qu’il faut revenir a la maison, et elle a du oublier dans son euphorie qu’ont est a vélo !!!
Il a fallu que je confectionne un coussin pour qu’elle puisse s assoir sur la selle…le cul et la chatte éclatés !!! Elle m a dit que la pêche c était finit !!
Mais… nous ne sommes pas revenus bredouilles : ON A PRIS UN BEAU MAQUEREAU !!!

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