Jusqu'où Irons Nous (Suite)

J'avais la gorge sèche, les mains moites A mes côtés, mon mari Noël, sans doute aussi anxieux que moi, conduisait sans dire un mot sauf des petits "Ça va ?' Répétés auxquels je répondais par un simple "Oui ! Sans conviction. À plusieurs reprises, j'ai failli lui demander de faire demi-tour. La voiture se dirigeait vers l'un de ces parkings réputés, où voyeurs et exhibitionnistes se retrouvent pour satisfaire leurs pulsions réciproques. J'ai des rondeurs là où il faut, comme on dit, avec mes 1,62 m et mes 56kg Noël m'aime et m'apprécie comme ça.
Le jour choisi pour ma seconde initiation, il a pris un plaisir non dissimulé à m'aider à me préparer. Il a choisi avec soin les dessous dans lesquels je devais m'exhiber : un soutien-gorge blanc pigeonnant laissant bien apparaître les pointes tendues de mes seins volumineux, un string ficelle assorti, des bas fumés retenus par un joli porte-jarretelles. Il a même failli me sauter dessus pendant que je me regardais devant la glace ! Mais finalement, il a préféré patienter un peu pour ne rien gâcher du plaisir qu'il se promettait à me voir me découvrir ainsi devant des yeux inconnus et mateurs. Noël savait comment opéraient les couples exhibitionnistes. Il a fait plusieurs allées et venues sur le Parking pour qu'on puisse bien repérer notre voiture. Il a garé la voiture sous la lumière d’un poteau d’éclairage. Mon cœur s'est mis à battre quand j'ai entendu les hommes arriver. Pour l'instant, ils n'étaient que trois. Ils sont venus aussitôt de mon côté. Éric m'a juste dit : "N'aie pas peur ma chérie, je t'aime, commence à ouvrir ton manteau !' J'avais les mains qui tremblaient quand je me suis déboutonnée doucement. Aussitôt, les trois messieurs ont ouvert leur braguette.
Dans un silence très impressionnant, je sentais leurs yeux fixés sur moi, pendant qu'une sensation de chaleur inconnue montait dans mon bas-ventre. J'ai l'impression que mes mains sont allées palper mes seins toutes seules.

Noël m'avait préparé un bâton de rouge à lèvres et j'ai commencé par en maquiller outrageusement les bouts. Je les ai complètement sortis de mon soutien-gorge et je les ai pétris sans pudeur entre mes doigts. Puis, je les ai pris en entier par en dessous pour en faire saillir les tétons jusqu'à ma bouche et les lécher. L’excitation montait entre mes cuisses. Personne ne faisait le moindre commentaire, mais je percevais nettement les souffles rauques tout contre la vitre. J'ai pensé que les voyeurs étaient beaucoup plus nombreux qu'au début, parce que la voiture était presque complètement entourée d'individus qui se poussaient pour mieux voir. Alors, j'ai senti les mains de Noël qui se faufilaient entre mes cuisses pour les écarter. J'ai compris qu'il fallait aussi que je m'occupe de cette partie-là pour les satisfaire tous. Avant de retirer mon string, je me suis longuement caressée à travers le tissu. Je me sentais déjà bien humide le long de ma fente. Quand je l'ai retiré, je me suis aperçue que les types étaient maintenant encore plus nombreux autour de la voiture, tous la queue dehors, en train de se branler. Pour moi, c'était comme s'ils avaient tous envie de moi. Je n'avais qu'un désir : leur plaire davantage encore.
J'ai posé mes doigts sur ma chatte et je me suis frottée doucement. Noël avait tenu à raser complètement mes lèvres et à ne conserver qu'un triangle de poils noirs sur mon pubis. Il m'avait expliqué tout ce qui plaisait aux hommes, comme le fait de vernir mes ongles d'un rouge très vif. J'ai tiré sur les lèvres de ma fente pour bien ouvrir ma chatte et je me suis mis un doigt, en le faisant aller et venir. Je l'ai ensuite porté à ma bouche, je l'ai sucé et léché, mimant une pipe. Un des voyeurs n'a pas pu se retenir. J'ai vu son foutre gicler de sa queue et salir la vitre, tout près de moi. Un autre s'est vite empressé de tout nettoyer. Je me suis débarrassée de mon manteau qui me gênait et me suis mise à genoux sur le siège de la voiture, pour présenter la partie la plus charnue de mon anatomie.
Je me suis caressée d'une main avec un doigt qui suivait bien la ligne de ma raie. Je ne voyais plus tous ces hommes, mais je sentais leur désir. J'étais prête à tout pour les exciter encore plus. J'ai écarté mes fesses, d'abord à deux mains en prenant appui avec mon corps sur le dossier et du siège et en me cambrant pour faire saillir ma croupe avantageuse et ne rien leur cacher de mon petit trou. Puis, je ne me suis servie que d'une seule main pour tenir mes fesses ouvertes et, avec l'autre, je me suis caressé l'anus. J'ai senti que plusieurs jouissaient quand je me suis planté un doigt en plein dans le derrière. De mon côté, je n'en pouvais plus. Mes cuisses étaient ruisselantes. J'ai quitté mon anus pour plaquer une main sur ma chatte. J'ai joui comme ça, à genoux sur le siège, en leur montrant ma croupe ouverte et en me branlant comme une vraie petite cochonne. Ce fut fantastique.
Noël a redémarré au moment où je me recouvrais de mon manteau et nous sommes partis. Maintenant il avait très envie de moi. Les mecs avaient été plus de dix à venir me mater dans la voiture et à filer aussi discrètement qu'ils étaient venus dès que la séance fut terminée. Pour le moment je n'ai pas encore voulu retourner en ce lieu. Je ne veux pas y prendre trop vite goût...

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