Marjorie Coiffe Au Poteau Ses Collègues Pour Sa Promotion !

Tous les mois Edmond attendait ce moment avec impatience. Le jour où il se faisait couper les cheveux par son employée. En prenant place dans le fauteuil il ne put s’empêcher de penser à cette jeune employée de dix-neuf ans qu’il avait prise comme apprentie quelques années plus tôt. Pour l’instant c’est une autre apprentie qui lui avait fait pencher la tête en arrière afin de pouvoir mieux lui laver les cheveux. Tête en arrière plongée dans le bac le sexagénaire se perdit dans ses pensées érotiques. Les mains qui lui massaient ses cheveux étaient devenues celles de Marjorie. La poitrine qui entrait furtivement en contact avec lui au gré des mouvements de la jeune apprentie était devenue celle de Marjorie. Le sourire qui l’accueillit quand elle eut fini de lui rincer les cheveux et de lui redresser la tête était devenu également celui de Marjorie. La nouvelle jeune apprentie était certes ravissante mais très loin des critères de beauté qu’incarnait à ses yeux son employée préférée : Marjorie.
La jeune apprentie le fit s’installer sur le fauteuil pour se faire coiffer. Edmond n’eut pas à attendre trop longtemps. Son regard s’illumina en voyant apparaître dans le miroir le reflet de la silhouette toute en courbes somptueuses de Marjorie. La jeune femme sourit à son patron.
Elle savait qu’il avait quarante ans de plus qu’elle mais elle savait surtout que cette importante différence d’âge entre eux ne l’arrêtait pas. A la manière qu’il avait de la regarder elle avait compris qu’il ne dépendait que d’elle de se voir confier la responsabilité du salon. Pas à la force du poignet, non. Plutôt avec ses lèvres. Ou mieux encore ! Avec ses seins…
En effet, elle avait surpris plus d’une fois les yeux de son patron fixer sa poitrine avec une insistance qui aurait certainement fait perdre son sang froid à son mari.
C’est ce qui rendait le plus fou son patron. Que sa jeune employée soit mariée. A dix-neuf ans ! Il lui avait souvent fait part de son sentiment de gâchis que représentait pour lui le mariage de Marjorie.

Il lui parlait souvent de tous ces jeunes hommes beaux et robustes qu’elle rendait malheureux en n’étant plus disponible. Mais la jeune femme avait bien compris que la sollicitude de son patron à son égard cachait sa frustration à lui de ne pas l’avoir dans son lit.
C’est en pensant à tout cela qu’elle s’approcha de lui.

- Alors aujourd’hui je vous la prends comment ?

Edmond rougit. Marjorie le fixa dans le miroir et ajouta en souriant :

- Votre mèche….

Son patron répondit :

- Bien droite.

Il avait marqué un point. Marjorie se retrouva prise à son propre jeu. Elle avait allumé son patron et elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle si maintenant il la fixait dans le miroir.
Elle prit ses ciseaux et commença sa coupe. Elle le frôlait chaque fois qu’elle tournait autour de lui et bizarrement aujourd’hui elle ne se déroba pas au contact. Elle sentit que quelque chose de particulier se produisait. Tout en continuant sa coupe elle se mit à penser aux dépenses qu’elle avait engagées avec son mari et se dit que c’était peut-être le bon moment de donner un coup de pouce à sa carrière. Et du même coup à sa rémunération.
Elle frôla son patron dans un ballet érotique qui lui fit tourner la tête. Marjorie faisait le point mentalement. Son patron était fou de sa poitrine. Il la réclamait elle et personne d’autre pour s’occuper de ses cheveux. Il lui parlait souvent de l’attrait qu’elle devait susciter chez les jeunes garçons ou les jeunes hommes, mais elle savait qu’il pensait à lui.
Le résultat de sa méditation était éloquent. Elle était partagée entre sa fidélité à son mari et son envie de gravir les échelons le plus rapidement possible. Après tout elle était jeune mariée et ce n’est pas une petite entorse dont il ne saurait rien qui mettait leur union en péril. Surtout si cette petite entorse pouvait lui servir dans son travail.
Edmond regardait la jeune femme depuis quelques minutes et il sentait qu’elle était pensive.
Il se mit à rêver qu’elle commençait à cogiter sur les possibilités de promotion qui s’offraient à elle avec un tel corps.
Tout se précipita très vite. Marjorie avait terminé sa coupe et elle s’occupait maintenant de ses mains. Elle était accroupie devant lui et lui faisait les mains, lui offrant une vue imprenable sur le tissu tendu de son tee shirt noir au niveau des seins mais aussi sur la croupe cambrée moulée dans le jean de la même couleur. Ce qui provoqua une réaction chimique chez Edmond. Marjorie ne l’avait pas vu car elle s’était tournée pour prendre une autre lime. Ce n’est qu’en se retrouvant face à son patron que la jeune femme comprit ce qui se passait.
La bosse qui déformait le pantalon de toile blanc attira son regard. Edmond le sentit et lui sourit.

- Je suis désolé mais tu es trop bandante ma petite Marjo.

La jeune femme sourit à son tour et céda au fruit de sa réflexion de tout à l’heure. Elle posa ses deux mains sur la bosse qui augmenta de volume à leur contact. Après s’être assuré que la jeune apprentie était sortie fumer une cigarette Marjorie défit le zip et plongea sa main à l’intérieur, saisissant le membre mou qu’elle sortit aussitôt de l’ouverture du pantalon.
Edmond ferma les yeux et émit un râle en sentant les doigts de Marjorie se refermer sur son sexe. La jeune femme commença à le masturber lentement et au bout de quelques minutes elle tenait entre ses doigts un membre d’une taille et d ‘une consistance qu’elle n’aurait jamais soupçonnée chez un homme de cet âge. Elle remplaça ses doigts par ses lèvres et se mit à faire monter set descendre sa tête entre les jambes de son patron. Confortablement installé dans le fauteuil ce dernier se sentait durcir entre les lèvres fines et expertes. Il posa ses mains sur la poitrine de Marjorie et se mit à pétrir ses seins à travers le tissu. Les seins de la jeune femme étaient aussi fermes que dans ses rêves les plus fous. Marjorie comprit le message et releva son tee shirt, et sans ôter son soutien gorge, plaça le sexe raide se son patron entre ses seins, coincé contre sa peau sous la lanière centrale de son soutien gorge.
La sensation était exquise. Ainsi coincé, Edmond se sentit durcir encore plus et Marjorie commença à faire monter et descendre son buste le long du sexe de son patron qui s’allongeait entre ses seins. De nouveau Edmond ferma les yeux, hypnotisé par le contact soyeux et chaud des seins fermes qui coulissaient le long de son sexe. Marjorie sentit la respiration de son patron devenir de plus en plus saccadée. De plus les palpitations du sexe qui allait et venait entre ses seins lui firent esquisser un sourire. Son patron allait bien se délivrer entre ses seins et son entorse à son mariage n’aura pas été trop importante.
En effet la jeune femme sentit le liquide chaud et gluant ruisseler le long du sexe de son patron, inondant son cou et ses globes à petits jets plus abondants qu’elle ne l’aurait pensé.
Elle accepta qu’il lâche ses dernières salves blanches sur son visage tout en prenant bien soin qu’il n’atteigne pas ses cheveux.
Marjorie regarda son patron un sourire béat aux lèvres et les yeux fermés. Elle comprit que sa promotion n’était plus très loin. Elle se retourna pour se regarder dans le miroir et essuyer les traces blanches laissées par son patron sur son visage, son cou et ses seins.
Hélas pour elle, Edmond se redressa. Il n’avait pas l’intention d’en rester là. Il posa son regard sur la croupe somptueusement moulée dans le jean noir et posa ses mains sur les fesses rebondies. Marjorie croisa son regard dans le miroir et y lut une envie comme elle n’en n’avait encore jamais vue ni chez ses jeunes amants ni chez son mari.
Le traitement des lèvres et des seins de Marjorie l’avait délivré de ses frustrations contenues depuis toutes ces années. Il défit le zip du pantalon de Marjorie et le rabattit sur ses chevilles, emprisonnant ses jambes. Puis il s’approcha derrière elle jusqu’à ce que la jeune femme sente contre ses fesses le contact du sexe encore gorgé de désir. Elle n’eut pas le temps de réagir. Le sexe força l’entrée de ses reins et lui arracha un petit cri.
Edmond s’enfonça d’un coup sec et se colla contre les fesses de Marjorie. Il passa ses mains sous le tee shirt et saisit les seins somptueux qu’il sortit de leur écrin de dentelle. Il libéra les deux globes ronds et fermes et fit passer le tee shirt de Marjorie au dessus de sa tête, dénudant la poitrine remarquable qui se tenait droite malgré l’absence du soutien gorge jeté à ses pieds. Marjorie crois à nouveau son regard et y vit une détermination qui lui fit peur. Trop tard !
Edmond agrippa ses seins à pleines mains et entama sa chevauchée, solidement fiché dans les reins de la jeune femme. Il lui malaxa les seins comme un ado en rut tout le temps qu’il la sodomisa. Marjorie hurlait mais il n’en n’avait cure. Il perforait la superbe croupe cambrée de son employée avec la vigueur d’un seigneur de guerre qui besogne son esclave. C’est ce qu’était devenue Marjorie depuis qu’il avait ses reins et qu’il la besognait avec une vigueur qu’elle ne lui aurait jamais soupçonnée. Edmond se mit à sodomiser Marjorie de plus en plus vite en tenant fermement les seins qui tressautaient sous la violence de ses assauts.
Puis la jeune femme sentit ses reins se remplir du liquide chaud et épais qui l’inonda au plus profond d’elle-même. Elle croisa à nouveau le regard de son patron dans le miroir. Elle n’en revenait qu’il l’ait prise avec un tel acharnement et surtout une telle vigueur. La vigueur des assauts de son patron lui arracha à la fois du dégoût et de l’excitation. Jamais un homme ne l’avait besogné avec une telle fureur sexuelle. Il resta fiché quelques instants dans ses reins et se retira lentement. Marjorie se retourna et s’agenouilla pour le prendre à nouveau entre ses lèvres et le nettoyer. Edmond était aux anges. Sa jeune employée était enfin soumise.

- Si tu avales mon sperme je te donne la place que tu convoites….

Marjorie se lança dans une fellation nerveuse et alterna ses seins et ses lèvres autour du sexe. Quelques instants plus tard elle comprit qu’elle avait obtenu le poste tant convoité. Son patron se délivrait à grands jets brûlants entre ses lèvres et lui colla le fond de sa gorge.
Marjorie se releva et s’essuya. Après avoir remis ses vêtements elle s’approcha de son patron qui lui sourit.

- Félicitations ! Te voilà la nouvelle responsable du salon.

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