Trop Rebelle Aux Yeux De Mon Maitre Je Suis Préparée Pour Maitresse A.

Le jour était à peine levé… je sortais de ma douche… la sonnette retentie.
Intriguée et agacée je descendais l’escalier furieusement prête à bondir sur le facteur, le livreur ou quelqu’autres malotrus qui osait me déranger à une heure aussi matinale
Comme à mon habitude je lançais par la fenêtre un « qui c’est ? » auquel je n’obtins pas de réponse. Ma sonnette retentie une seconde fois, je descendais jusqu’à l’entrée et ouvris la porte prudemment.
Devant se tenait deux hommes :
L’un d’âge mur dont on imaginait aisément qu’il avait été fort et beau. Ses cheveux poivre et sel lui donnaient un air serein et une prestance qui sautait au visage à la première seconde.
Le plus jeune, très jeune devrais je dire, n’avait rien à lui envier il était ce que le plus âgé avait du être. Fort, grand les cheveux châtain parfaitement coiffé il se tenait en retrait en observation…

En quelques secondes ils m’étaient apparus comme des prédateurs et mes craintes s’avéreraient rapidement fondées.

Alors que je m’apprêtais à leur demander ce qu’ils me voulaient, ils s’engouffrèrent dans l’entrée exiguë de mon appartement, le plus âgé me plaqua contre le mur en posant une main vigoureuse sur la bouche me regardant fixement dans les yeux dans lesquels ils devaient lire la peur et la frayeur. Il approcha ses lèvres de mon oreille et me glissa « si je lâche ma main tu ne crie pas tu ne dis rien tu retrouves ton calme et tu obéis » bien que pétrifiée par la peur je lui signifiais mon accord en hochant doucement la tête.

Je tentais de lui demander le plus calmement possible ce qu’ils voulaient qui ils étaient mais même ces questions simples et légitimes provoquèrent sa colère. Il saisi un foulard qu’il m’appliqua sur la bouche vigoureusement avec une dextérité qui laissait penser qu’il n’en était pas à son coup d’essais.

L’angoisse m’envahissait maintenant j’étais au bord des larmes passé la surprise la peur se faisait plus grande.


C’est alors que le plus jeune des deux entama un monologue destiné à me « rassurer » quant à leur présence. Ils avaient été « mandaté » par mon maître qui me trouvant trop rebelle avait choisi de parfaire mon éducation de soumise. Le soulagement fut de courte duré ces mots étaient destinés à me faire comprendre qu’ils n’étaient pas la par hasard mais en aucun cas ils ne me rassurèrent sur ce qui m’attendais.

Nous étions tous les trois toujours coincés dans l’entrée de mon appartement qui se limite à un vestibule de 2m2 peu propices aux ébats mais ils semblaient excités par cette particularité. Le seul espace de mouvement se trouvait être l’escalier qui menait à l’appartement proprement dit un escalier en bois, très sonore.
Ils se mirent d’accord au moyen de signes que je ne comprenais pas pour commencer la séance là, sur l’escalier. Toujours bâillonnée je tentais de leur montré que je ne dirais plus rien qu’ils pouvaient me libérer de cette contrainte mais mes efforts furent vains. Pour seule réponse j’eu la main viril du plus âgé qui vint se plaquer sur ma nuque, agrippant mes cheveux retenus en chignon, pour me pousser en avant m’obligeant à retenir ma chute avec les mains sur les marches.
C’est donc dos à eux, penchée en avant, avec pour seul vêtement une serviette de bain qui par miracle avait tenue autour de moi tout ce temps…
Loin de l’arracher il la souleva lentement laissant ses mains parcourir mes pieds, mes genoux puis mes cuisses exerçant une pression différente selon qu’il soit à l’extérieur ou à l’intérieur de celles-ci.
L’autre m’ordonnant de ne pas tenter de résister de me laisser faire.

Les rôles étaient donc clairs l’un était physique l’autre cérébral
L’un agissait l’autre parlait ou me faisait parler.

Le plus jeune m’asséna des : « t’aime ca salope ? Non seulement tu vas aimer mais tu vas le dire et tu vas nous supplier de te baiser, fait moi confiance. »

Les mains tour à tour douces et fermes me claquaient les cuisses pour que je les écarte encore et encore jusqu’à ce que les murs de l’escalier ne me permettent plus d’écartement.
Il fourra un doigt sur mes lèvres puis sur ma vulve puis l’enfonça sans ménagement dans mon vagin le ressorti presqu’aussitôt pour le monter à son acolyte qui acquiesça en constatant que le doigt était mouillé, trempé…
Il prit ce même doigt pour exercer des mouvements circulaires autour de mon anus cherchant à le détendre croyais je mais c’était pour mieux me surprendre.
Sans aucun signe avant coureur il enfonça son doigt dans mon cul laissant l’autre me décrire ce qu’il voyait, ce qu’il me faisait.
« Tu vois là ton cul est ouvert et s’il ne l’était pas ce serait pareil ! C’est nous qui décidons pour toi, nous décidons de tout. Toi tu subis, tu te soumets et tu jouiras quand nous le déciderons, parce que tu jouiras sans aucun doute salope… »

Il me redressa en tirant à nouveau sur mes cheveux et m’ordonna de monter les marches lentement sans bruit pour ne pas risquer d’alerter les voisins qui à cette heure matinale partaient travailler.
On les entendait ouvrir puis fermer leur porte et partir pour la journée ce qui laissait à mes bourreaux une journée complète de tranquillité. En haut de l’escalier, je fus libérée de mon bâillon mais je ne pris pas le risque d’émettre le moindre le son.

A suivre…

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