Jérôme A Réalisé Mes Fantasmes

A 18 ans, j’ai quitté ma famille, après deux ans de brimades, pour aller vivre avec Jérôme. Mes parents ne supportaient pas mon homosexualité.
Jérôme est un garçon charmant, plein d’attention et de tact, à l’écoute de mes problèmes. Je considère quelquefois qu’il m’a sauvé la vie. Il veut tout savoir de moi. Mes goûts, mes envies, mon histoire.
Il veut savoir comment j’ai découvert si jeune que je préférais les garçons. Il a huit ans de plus que moi, mais il paraît beaucoup plus mûr. Il est ingénieur en astronautique et gagne très bien sa vie. Moi, je vais encore à la fac. C’est lui qui m’achète mes vêtements. Il ne fait que les payer, il me laisse m’habiller comme j’ai envie. Il ne cesse de dire qu’il aime ce que je porte. En l’espace de deux ans, il a tout appris de moi. Il sait me donner du plaisir, connaît mes zones érogènes, mes attentes, mes fantasmes, tout…
Pour mon vingtième anniversaire, il m’a préparé une surprise de taille.
Nous sommes allés au restaurant, puis au cinéma. Il m’a emmené au fond de la salle et il m’a baisé devant tout le monde, comme ça s’était passé dans un des rêves que je lui ai raconté. Il a exposé mon cul à la vue de tous, et m’a enculé en public. Sur le chemin du retour, je lui ai dit que j’avais pris un maximum de plaisir. Je ne savais pas encore que ce n’était pas fini.
Arrivés à la maison, il me poussa aller prendre une douche. Pendant ce temps-là, il a monté le chauffage. J’ai voulu me rhabiller en sortant de la salle de bains, mais il a insisté pour que je reste en slip.
- C’est ton anniversaire, aujourd’hui ! Reste décontracté. J’ai une autre surprise pour toi.
Il m’a amené jusqu’au salon, a ouvert la porte et m’a poussé à l’intérieur. Ils étaient six. Tous à poil. Sauf qu’ils portaient des masques noirs avec des trous pour les yeux et la bouche. Ils m’ont saisi avec rudesse par les bras et les pieds. Ils m’ont arraché le slip. Ils me tenaient, les bras et les jambes écartés.

L’un d’eux m’a pris par les cheveux, a relevé ma tête et m’a fourré sa bite dans la bouche. Après m’avoir joui sur la figure, il est passé derrière moi et m’a enculé. Puis il a pris la place d’un qui me portait, qui vint lui aussi dans ma bouche et mon cul et ainsi de suite, jusqu’au sixième. Puis, ils sont partis. Je suis resté allongé sur le tapis, électrisé, avec une érection monumentale. Quand Jérôme est entré, je me suis jeté sur lui et me suis réfugié entre ses bras. J’ai pleuré. J’ai vu la détresse sur son visage. Il croyait que j’avais souffert de ce viol improvisé. Je l’ai rassuré. C’était du bonheur. Je l’ai embrassé, caressé, remercié…
- Je sais que tu as fait ça pour moi. Je ne sais pas si ça t’as coûté, mais merci !
- Quand j’ai pensé à ça, je ne savais pas que je prendrai autant de plaisir à te regarder.
Si tu as aimé, ce que je crois, on pourra recommencer. Comme aujourd’hui, tu ne t’y attendras pas et ce sera peut-être dans un autre endroit.
Pour mes 25 ans, il a loué toute une salle de cinéma et ça s’est reproduit dans le noir. Croyant que c’était Jérôme qui était derrière moi, je me suis laissé caresser les fesses et descendre le pantalon. Quand je me suis retrouvé en slip, on me l’a arraché et on m’a traîné violemment au milieu de la pièce. On m’a fait mettre à quatre pattes et on m’a baisé. Jérôme a tout filmé. Quand je revois le film, je m’étonne encore d’avoir pris de si grosses bites dans le cul.
Maintenant, je me suis calmé et je me consacre exclusivement à Jérôme. Nous sommes heureux tous les deux et j’espère que ça va durer encore longtemps.