Un Anniversaire Inoubliable

Les semaines, les mois, s'écoulent, et Joëlle et moi sommes toujours ensemble. On a toujours le même plaisir à se retrouver pour des baises crapuleuses, et elle est de plus en plus accro de nos sorties au sex-shop où elle n'a jamais assez de queues. Du coup on a perdu de vue Marie et sa patronne. J'aimerais les revoir mais elle reste sourde à mes appels.
Un jour elle m'annonce qu'elle va déménager pour habiter avec une copine. Elle est dans son école, à son âge. Elles ont fait plus ample connaissance en boite de nuit, pendant des grèves à la fac, ont fini la nuit ensemble à faire l'amour comme des chiennes en chaleur. Elle me rassure quant à notre avenir, rien de changé. Son amie rentre chez elle tous les week-ends, pour se faire mettre par les mecs de sa cité, elle lui a parlé de moi et je pourrais continuer à la voir.
On s'appelle régulièrement, jusqu'au jour où je ne reconnais pas sa voix:
- Allo.
- Oui allo, j'écoute.
- C'est Joëlle?
- Non c'est Aurélie, sa colocataire.
- Bonsoir Aurélie, c'est Eric. Tu peux me passer Joëlle s'il te plait.
- Désolée mais elle n'est pas là. Elle a un cours du soir.
- Tant pis, tu lui diras que j'ai appelé. Au revoir.
- Attends, ne raccroche pas. On peut discuter.
- Comme tu veux, je t'écoute.
- Joëlle m'a beaucoup parlé de toi. Elle m'a dit que tu étais, excuse moi mais ce sont ces mots, un gros salaud, un vieux vicieux. Moi je ne connais que des jeunes, et ça m'arrive de penser à toi et de me caresser.
- Ca me fait plaisir, merci ma chérie. Mais je peux te dire que je pense souvent à toi moi aussi, il paraît que tu es une sacrée belle petite salope. Dommage que tu ne restes pas les week-ends, on aurait pu se faire une partie à trois.
- Je pourrais m'arranger, mais pourquoi à trois ! Ce serait plus sympa à deux.
- Tu es sérieuse?
- Je mouille rien que d'y penser.
- Ok petite pute, on va mettre ça au point.

Mais avant déshabille toi, je veux faire l'amour au téléphone.
On est à poil, et on se masturbe en échangeant des obscénités et des insultes. Contrairement à Joëlle elle n'a aucune gêne à m'injurier et je me régale de ces mots orduriers. Elle me fait écouter le clapotis de ses doigts dans sa chatte, ses gémissement, son plaisir, ses orgasmes. Je bande à mort, j'essaie de me retenir de jouir pour faire durer la séance, mais elle m'excite trop. Elle atteint son troisième orgasme, et j'explose en même temps qu'elle.
On reparle de notre possible rencontre et on fixe une date dans dix jours. Joëlle rentre chez elle, et je pourrais la rejoindre le vendredi soir et rester jusqu'au samedi soir. Elle me promet vingt-quatre heures ensemble, sans tabous, sans interdits, à tout se faire, tout se dire.

Enfin le jour tant attendu arrive. Elle m'a laissé son numéro de portable et je l'appelle pour confirmation que rien n'a changé. Elle est toujours d'accord et m'attend avec impatience.
Je suis chez elle un peu avant 19 heures, la porte s'ouvre, et je fais un pas en arrière, stupéfait.
- Joëlle ! Qu'est ce que tu fais là ?
- Tu ne manques pas d'air, ce serait à moi de te poser la question. Mais entre, ne reste pas là.
Puis elle enchaîne, et pour m'éviter de m'enfoncer dans des explications absurdes elle me dit qu'elle sait tout. Aurélie était trop occupée à se faire reluire la chatte au téléphone avec moi, et ne l'a pas entendue rentrer. Elle par contre n'a pas perdu un mot et a décidé de participer. Je vais pouvoir baiser avec ma jeune inconnue, mais c'est Joëlle qui mène la dance. Je me sens con et accepte tout ce qu'elle veut pour me faire pardonner.
Je dois m'asseoir sur le canapé, entièrement à poil, et les attendre. Elle va dans sa chambre et revient avec sa copine. Elles sont nues, Joëlle est debout, fière, Aurélie est à quatre pattes, une ceinture autour du coup en guise de laisse. Elle est superbe, grande, mince, mignonne, telle que me l'a décrite ma petite blonde, à par un détail, sa peau.
C'est une noire, originaire des iles, d'une très jolie couleur.
Je bande.
Joëlle prend la parole, et nous demande de la fermer et de lui obéir :
- Tu veux sucer du vieux, salope. Tu vas en sucer, mais après moi.
Elle donne ses consignes, puis passe aux actes. Elle me turlutte magistralement, en essayant de rendre Aurélie jalouse de sa pipe. Elle me fait jouir dans sa bouche, puis recrache tout dans la bouche de la petite black. Celle-ci ne doit pas avaler, mais me pomper à son tour avec mon foutre en elle. C'est bon mon gland qui baigne dans la chaleur de mon sperme. Aurélie apprécie cette situation et s'applique à me maintenir en érection.
Elle est debout, penchée sur moi. me gobe le manche en entier. Joëlle est derrière elle, équipée d'un gode ceinture à la dimension de ma trique en pleine forme. Elle la baise en levrette pour me la préparer, puis change sa place avec moi après avoir ordonné à ma jolie suceuse de tout avaler et me nettoyer. Je la pénètre sans effort et me régale de son accueil. Elle est chaude, mouillée, étroite à merveille. Je la lime tendrement, tandis que Joëlle se fait sucer sa fausse queue nappée de mouille.
On échange à nouveau les places. Ma petite noire est ravie d'échanger une bite plastique contre une bien en chair et en muscle. Notre maîtresse la prend par derrière et lui casse le cul sans ménagement:
- Tu en veux de la queue salope, alors régale toi. Regarde comme il trique ce salaud, il va te défoncer le fion pire que moi. Je vais t'apprendre à me tromper, putain.
On échange encore les places. J'encule ma blackesse chérie, tandis qu'elle suce le gode de l'autre salope. Je sais qu'elle aime l'anal, et je ne retiens pas mes efforts. Je la ramone à grands coups de reins, jusqu'à sentir ma sève monter dans ma tige. Je me retire, et ai juste le temps de venir dans sa bouche pour libérer de longs jets de mon épaisse semence. Elle engloutit tout et me vide jusqu'à la dernière goutte.
Joëlle est satisfaite de cette première séance.
Tandis que je remets mon slip elle porte son ordinateur portable, l'allume, et m'invite à regarder une vidéo. Pendant ce temps là elles se sont reculottées et vont à la cuisine.
Elles se sont filmées avec leurs téléphones, et c'est Joëlle qui apparaît à l'écran:
- Bonsoir mon chéri. J'espère que tu ne m'en veux pas, mais tout ça était préparé. C'est ton anniversaire ce week-end, je connais quelques uns de tes fantasmes, et je voulais t'offrir ma colocataire adorée.
J'espère que mon cadeau te plait, mais la fête n'est pas finie. Je te laisse avec Aurélie, pour en savoir plus.
- Bonsoir Eric. Je ne te connais pas encore et pourtant je sais tout de toi. Si notre plan s'est bien déroulé tu connais maintenant le délice de mes trois orifices avides de ta belle queue. Mais j'ai encore beaucoup à t'offrir pour te combler: Je connais tes envies, et suis prête à t'embrasser à pleine bouche, te gober les couilles, te lécher le cul, t'offrir mon minou à bouffer, et même t'accorder un plan pisse. Mais avant cela, c'est Joëlle qui va te faire une surprise. Ne pose pas de questions, et laisse nous faire. Bisous mon salaud.
La vidéo est finie et les filles me rejoignent et déposent de quoi prendre un bon apéro. Je les remercie chaleureusement, roule une pelle gourmande à ma très gentille petite blonde, tandis que ma charmante petite noire n'accepte qu'un baiser sage sur les lèvres, me disant de patienter.
On discute un peu de tout, et beaucoup de sexe, le temps d'avaler deux ou trois verres et de grignoter quelques amuses gueules.
Joëlle se lève pour préparer le repas, et nous invite à aller à la chambre le temps qu'elle ait fini.
Aurélie ôte sa culotte et se jette sur le lit défait qui nous attend. J'enlève mon slip et la rejoint:
- Alors il paraît que c'est un de tes plus grands fantasmes de te faire une noire?
- J'y pense depuis l'âge de vingt ans.
- J'espère que tu n’es pas déçu!
Je lui dis qu'elle est parfaite, mais que le meilleur reste à venir.
Je lui raconte alors l'origine de mon désir. J'étais jeune, et n'avais pas encore connu de femmes, à part tirer des coups éclairs avec des putes. J'allais voir des films pornos, et un jour j'ai vu une fille noire avec trois mecs sur un bateau. Ils la baisaient à tour de rôle et je pouvais voir l'intérieur de sa chatte, d'un magnifique rose. Je ne m'étais jamais posé la question, mais j'étais persuadé que l'intimité d'une noire était noire, au point de me demander si l'image n'était pas truquée. Depuis, et grâce à internet, je connais la vérité et rêve d'une black dans mon lit. J'adore ce contraste de couleurs, tout comme voir une langue rose au milieu d'un visage noir, féminin bien sûr.
Aurélie m'écoute jusqu'au bout, puis déroule une longue langue musclée d'un rose appétissant. Je la prends en bouche, elle la laisse sortie, et je la suce comme un sucre d'orge. Ma main s'insinue entre ses cuisses, et je sens la sienne s'emparer de mes boules.
- Oh c'est bon petite salope, de fouiller ta fente humide et de goûter à ta langue.
- Moi c'est tes couilles que j'ai envie de goûter. Elles sont trop belles, je n'ai jamais vu une paire pareille.
- Pas de problème, mais tu m'offres d'abord ta chatte.
Elle est d'accord, on se roule une pelle goulue, puis mes lèvres glissent rapidement sur son corps, jusqu'à son petit trésor. J'ai la gueule entre ses cuisses ouvertes, je la respire, la renifle, l'embrasse, la lèche, puis me recule pour enfin voir, en vrai, ce qu'il en est. J'écarte ses lèvres, et tombe en émerveillement. Je la lèche tendrement et me retire régulièrement pour admirer cette beauté:
- Tu as une huître splendide petite pute, un vrai dessert fraise chocolat.
- Ton gâteau d'anniversaire, il ne manque plus que les bougies. Mais je suis sûre que le cierge que tu as entre les cuisses fera l'affaire. Plante le moi, baise moi, baise moi, j'ai envie.
Une telle proposition ne se refuse pas, et je suis aussitôt sur elle, en elle.
- Ouih, c'est bon. Il y a longtemps que je n'ai pas baisée, prends moi fort.
- Mais je croyais que tu t'envoyais en l'air tous les week-ends.
- Oui, mais ces salauds se foutent de ma chatte. Il n'y a que ma bouche et mon cul qui les intéressent.
Heureusement j'ai les godes, mais ça ne vaut pas une vraie queue. Défonce-moi, c'est bon ta trique de gros vieux vicieux dégueulasse, dans mon con de jeune chienne dépravée. Baise-moi, baise-moi.
Elle m'excite et je me déchaîne. Je la lime à fonds la caisse, et on se tait par manque de souffle. J'aurais voulu l'aimer en douceur, mais elle m'a trop allumé cette jeune salope. Après une courte mais intense chevauchée, je me retire épuisé.
Elle est toujours sur le dos, et s'installe la tête près du bord. Je suis debout, passe ma jambe au dessus d'elle et dépose mes couilles sur sa jolie petite gueule. Je caresse son visage de mes burnes flasques et pendantes, puis les stoppe sur ses lèvres. Elle les ouvre et sa langue exploratrice fait connaissance avec mon pendentif. Puis elle s'empare d'une de mes valseuses, la gobe, la suce, la grignote tendrement, la recrache pour se saisir de l'autre. Elle me les boulote à tour de rôle, trop grosses pour les engloutir les deux. Elle en a une dans sa bouche, et je pousse l'autre de mes doigts. Si elle ne rentre pas de face, elles peuvent s'introduire l'une derrière l'autre, pour reprendre leur place côte à côte. Ses joues sont gonflées tellement elle en a plein la bouche, et elle salive abondamment de rester la bouche ouverte, et de pouvoir à peine respirer son nez enfoui entre ma paire et mon fion. Elle pose ses mains sur mes fesses pour me soulever et je me retire, lui écartant les lèvres au maximum au passage de mes joyeuses. Elle tousse, crache, reprend son souffle, et je la caresse à nouveau de mes boules toutes trempées.
Je reviens sur elle, replonge mon dard dans son huître affamée, et la baise gentiment. Elle a le visage et le cou couvert de sa salive, et je l'embrasse et la lèche pour la nettoyer.
Joëlle nous prévient que le repas est prêt dans cinq minutes. Encore quelques coups de boutoir et on se finit dans un 69 vorace. Je me régale de sa chounette liquéfiée tout comme elle s'empiffre de mon manche à couilles. On jouit au même instant et on se déverse l'un dans l'autre. Le temps d'avaler, de se nettoyer vite fait, deux minutes à la salle de bain, et nous voilà à table.
Elles ont programmé plusieurs scènes pour ce week-end qui s'annonce exceptionnel, mais ne veulent pas tout me dévoiler. Le repas est fini, et Joëlle insiste pour tout ranger, tandis qu'Aurélie me sert un café et digestif sur la petite table du salon. Elle s'assied près de moi et me dévoile un peu la suite:
Joëlle sait que j'aimerais la voir offrir son cul aux deux étalons montés comme des ânes, lors de nos soirées privées au sex-shop. Elle s'entraîne avec sa copine, et elles vont s'exécuter devant moi. Je n'aurais rien à faire, qu'à me reposer et assister au spectacle.

A suivre.......................

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