Imprudente Promesse

J'ai commencé à rechercher la fréquentation des hommes vers la quarantaine. Au fur et à mesure de mes rencontres mes réserves et tabous disparaissaient. Je recherchais de plus en plus des amants actifs me permettant de combler mes comportements passifs. Puis j'ai commencé utiliser régulièrement des sextoys, à porter, en cachette, des sous-vêtements féminins, d'abord les strings de ma femme, puis des bas, des porte-jaretelles, à me prendre en photo avec et de les publier sur les sites que je fréquentais.
Cette évolution m'a entraîné à fréquenter des sites sm dans l'espoir de trouver des partenaires homme ou femme avec qui je pourrais me soumettre un peu plus. Dans un premier temps, cela m'a permis quelques rencontres virtuelles où je me suis exhibé devant ma webcam sous les ordres d'hommes autoritaires. Ils exigeaient de moi que je me mette nu, que je prenne des poses indécentes, que je me masturbe, que je mette des pinces à mes seins et que je m'introduise mon gode, tout en m'humiliant par leur propos (grosse salope, petite pute, ...) Je me suis surpris à y prendre un plaisir grandissant au point de rechercher une relation réelle.
Ces recherches m'ont permis de faire la connaissance de Jean. Dès le début une certaine confiance s'est établie entre nous. Nous avons échangés nos expériences, puis des détails de plus en plus intimes sur notre sexualité. Il se déclarait actif/passif sans trop avoir choisi une direction. Je lui ai clairement affirmé que j'avais l'intention de me donner entièrement à lui, encore mieux que ce qu'une femme pourrait faire, et que j'étais prêt à lui obéir en tous points.
Après quelques hésitations de sa part, je l'ai enfin reçu chez moi. J'ai eu tellement de jouissance que je l'ai autorisé à me donner une fessée si je n'étais pas assez docile. Dès la deuxième rencontre, il ne s'est pas privé de trouver un prétexte futile et je fus corrigé comme il se doit. Les fesses encore rouges, j'ai eu l'imprudence de me soumettre un peu plus.

J'ai déclaré être sa chose, sa petite pute et que, s'il le désirait, il pourrait me partager avec un de ses amis.
Après d'autres rencontres, je n'y pensais plus. Puis un jour, me sachant seul chez moi, il me rendit visite à l'improviste. Il n'était pas seul. Il y avait avec lui un homme d'âge mur, plutôt costaud, au regard sévère qu'il me présenta comme un de ses amis. Il s'appelait Eugène.
Nous avons commencé à échanger des banalités autour d'un verre. Puis, sans détours et devant Eugène, Jean m'a demandé si je portais comme à mon habitude des bas sous mon pantalon. Sur le moment j'ai un peu rougi puis j'ai confirmé les avoir sur moi. "Cela ferait un grand plaisir à Eugène que tu te montre en quittant ton pantalon". Pris de court et sous l'insistance de leurs regards, j'ai du m'exécuter. "Approche-toi bien d'Eugène pour qu'il puisse apprécier" me dit Jean.
Ne sachant plus trop qu'elle attitude prendre je me suis rapproché au point que le devant de mon string se trouvait à la hauteur de son visage. "Pas mal dit Eugène, tourne toi un peu que je te vois aussi de dos". J'ai fait ainsi le mannequin pendant quelques instants. Puis il a demandé à Jean s'il pouvait me toucher pour mieux se rendre compte. Je ne savais plus où me mettre et Jean, au lieu de me soutenir, l'a autorisé en précisant que j'étais sa petite pute et que je ne pouvais rien lui refuser. Alors tout a commencé à basculer. C'était en fait un coup monté car Eugène était un dominateur spécialisé et qui avait aussi déjà soumis Jean qui lui servait pour recruter des soumis.
Il a commencé à me caresser les jambes, puis en remontant il s'est introduit entre mes cuisses. Quand il a aperçu un début de renflement de mon string, il posé sa main dessus et à commencé quelques va-et-vient à travers le tissu en me disant crûment "on dirait que tu aimes ça". Puis il m'a fait retourner et m'a demander de me pencher en avant en écartant bien les cuisses et aussi les fesses avec mains. Trouvant que l'exposition de mon anus n'était pas suffisante il a demandé à Jean de venir me tenir dans cette position puis il a commencé à frapper sur mes fesses.
Après cinq ou six frappes, j'ai senti comme une brûlure. Il me frappait avec son ceinturon qu'il venait de quitter. Quand il s'est arrêté il dit "Maintenant j'espère que tu m'obéiras mieux. Viens me t'occuper de moi, sous entendu de son sexe". Les fesses en feu et le sexe "raide", à genoux devant lui, j'ai ouvert son pantalon et découvert un sexe énorme, comme je n'en avais jamais vu. Pour que je n'ai aucune hésitation et que je le prenne dans ma bouche, il a appuyé fermement sur ma tête en me disant "applique toi salope, montre moi que tu es une bonne suceuse". Pendant que je m’activais sur ce mandrin, Jean s'était déshabillé et, frottant son sexe dans mon dos, me tenait par les épaules pour que je ne puisse pas me dérober. J’étais près de l’. Puis mon tortionnaire à demandé à Jean d’aller chercher mon gode. Il savait où je le rangeais. A son retour, sans rien demander de plus, pendant que son compère commençait à apprécier ma fellation, comme une cérémonie bien réglée, après m’avoir introduit du gel et deux doigts dans l’anus, il m’a brutalement enfilé le gode. Le gémissement que j’ai poussé m’a valu une claque de la part d’Eugène en précisant « tais, les putes ne parlent pas ». Tout en appliquant des va-et-vient au gode, Jean, sous les ordres d’Eugène, me mettais son sexe sous les aisselles, dans le cou, entre les fesses.
Quant il trouva que son sexe était « à point » Eugène m’ordonna de me coucher sur le dos en travers de table basse du salon et demanda à Jean de récupérer le gode, de se l’introduire, et de me tenir les bras en arrière le plus possible. Puis, face à moi, il écarta mes cuisses et releva mes genoux au maximum. Voyant mon érection, il m’a précisé que « je devrais jouir sans que personne me touche ma queue » et pas avant qu’il n’ai joui sinon j’aurai une terrible correction. Toutes ces situations m’avaient fait perdre la tête. Je n’avais jamais bandé aussi fort. Tout à la fois je redoutais ce qui pouvait m’arriver encore et, en même temps, je le désirais.
Au vu de la taille de son engin, j’appréhendais le moment où il allait s’introduire en moi. Après avoir enfilé une capote, il posa son gland contre mon anus et dans un violent coup de rein l’a complètement introduit. Malgré les préliminaires avec le gode et le gel, J’ai cru que mes entrailles explosaient. Je n’ai pu m’empêcher de crier. Cela m’a valu la promesse d’une future correction en ajoutant « maintenant tu es un véritable enculé et tu deviens ma pute ». Il a continué à s’introduire en moi. Il était très résistant et m’a limé suffisamment longtemps pour que mes douleurs se dissipent et fassent place à des sensations de plus en plus agréables.
Je me sentais soumis, vaincu, dominé entièrement et de plus en plus délicieusement. Et, quand j’ai senti que ses soubresauts annonçaient son éjaculation, je n’ai pas pu me retenir. Ce fut comme un feu d’artifice et j’ai joui comme jamais, très longtemps, arrosant mon ventre et son torse de sperme. Je ne me suis rendu compte qu’il avait joui que quand il m’a obligé de nettoyer son ventre et sa queue de mon sperme, tout en m’infligeant quelques coups de ceinturon sur les fesses. Je ne sais pas pourquoi je bandais encore un peu. Le plus étonnant était que lui aussi bandais encore fermement et qu’il en profita pour soumettre Jean au même régime. Quand il l’eu bien pénétré et pendant qu’il le besognait Jean criait et pleurait de douleur. Alors Eugène m’obligea, sous menace d’une nouvelle correction, de me masturber.

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