Na Leslie Tr 47

Leslie à Paris – P47 – Mes 24 ans, Stéphanie mon amour.

Après ce moment passé avec Laure où le doute l’avait assaillit, nous avons repris notre vie commune comme auparavant, Laure maintenant resplendissait dans sa certitude d’aimée et d’être aimée, même si elle redoutait silencieusement le moment où je reverrais Stéphanie, Mais secrètement elle sentait que je l’aimais et que le fait de revoir ma belle transexuelle ne changerait rien dans mes sentiments pour elle et au pire lui demander de me partager un peu.

Quelques temps plus tard je rompis mes relations ave Caroline et fut surprise d’apprendre que Stéphanie en avait autant, c’est à l’occasion d’un verre prit à la terrasse d’un café que la rupture s’est faite.
Caroline à compris et ne m’a posée aucune question, respectueuse de mon intimité, et puis elle devait dans quelques semaine partir pour trois ans en Angleterre alors me dit-elle :
Ainsi cela est mieux et clair pour toutes les deux, nous ferons notre vie plus librement et qui sait si nous nous ne nous retrouverons pas un jour.
Nous nous sommes quittées en nous serrant dans nos bras et en échangeant un long baiser qui en disait long sur la relation qui s’achevait mais ne laissait aucune de nous deux indifférentes compte tenu du passé et de nos aventures passées ensemble.
Nous nous sommes éloignées sans nous retournées le cœur serré pour ma part, une page venant de se tourner.

Deux mois après la soirée de mes 24 ans, lors d’une soirée en boite j’ai revue Stéphanie, nous avons bues un verre ensemble et Stéphanie m’a dit que depuis notre journée elle vivait seule et sans relation.
- Tu es la dernière de mes amantes, me dit-elle.
J’ai ressentis dans sa voix beaucoup de nostalgie et de tristesse.
Elle me dit aussi qu’elle ne voyait plus Caroline qui d’ailleurs était maintenant installée à Londres pour trois ans et que ce serait chouette de se revoir et pourquoi pas d’être amies, ressentant à cet instant que Stéphanie désirait plus qu’une simple relation d’amitié.


Mais ce jour là je ne lui ai rien promis bien que mon cœur battait la chamade à cet instant précis et que les souvenirs de notre après-midi remontait dans ma mémoire et que l’envie de la prendre dans mes bras me démangeait.
Stéphanie a du se rendre compte de mon désarroi car elle m’à dit aussitôt au revoir en laissant sa carte sur mon sac à main en me disant d’une voix douce :
- Il n’en tient qu’à toi ma chérie !

C’est très troublée que je suis rentrée à l’appartement et la chance fut que Laure n’était pas là, étant partie pour la semaine en congé en Angleterre. Laure aurait certainement remarquée mon trouble et je lui aurais donnée des explications, il en était mieux ainsi d’autant que la rencontre avec Stéphanie n’avait pas durée plus d’une demi-heure.
Je me suis couchée en pensant à Stéphanie, mon corps tout entier ses souvenait et réclamait à nouveau les attentions et le sexe de mon amante d’un jour. Si je m’étais écoutée je serais ressortie et attrapée le premier mâle venue afin qu’il calme mon corps, toutes sortes de pensées à cet instant traversait ma tête, je revoyais les membres de mes amants et celui de Stéphanie, les jouissances que j’avais eue dans les bras de celle-ci ou de celui là, plus je pensais et plus je m’excitais et mon sexe se mit à bander, j’aurais aimée être prise par un sexe et me sentir femme, mais je n’avais que mes mains pour calmer mon corps.
Je m’emparais d’un gode vibrant et tout en me branlant je me le suis enfoncé dans l’anus, puis après l’avoir mis en marche je me suis sodomisée jusqu’à l’érection.
Mais après je n’étais toujours pas calmée et je me suis dit que le lendemain j’appellerais Stéphanie.

Le lendemain je me suis retenue pour ne pas sauter, dès les aurores, sur le téléphone et contacter Stéphanie, d’ailleurs en prenant mon petit-déjeuner je me suis promis de ne pas le faire avant d’être rentrée à la maison le soir.
Toute la journée je n’ai fait que de penser à Stéphanie et à cet appel que j’allais faire le soir, si bien qu’en sortant du boulot j’étais excitée comme une puce et me dépêchais de rentrer à la maison pour téléphoner à Stéphanie.

Arrivée à la maison j’ai pris une douche et ne put m’empêcher de me caresser, je suis sortie de ma douche et me suis sécher et suis restée nue sous mon peignoir le sexe bandé et dure à m’en faire mal.
Puis j’ai composée le numéro de Stéphanie en espérant ne pas tomber sur sa messagerie.
C’est à la troisième sonnerie que j’ai entendue :
- Allo !
- Bonjour, dis-je, c’est Leslie.
- Comment vas-tu ma chérie, me demanda t’elle ;
- Bien et toi.
- Je vais bien mais je ne m’attendais pas à ce que tu m’appelles si vite.
- Euh, eh bien, c’est que je pense à toi et que j’ai très envie de te revoir.
- En voila une bonne nouvelle, me dit Stéphanie, tu es libre ce soir ?
- Euh, oui pourquoi ?
- Alors vient me rejoindre chez moi !
Les choses se précipitaient et bien qu’heureuse de pouvoir revoir Stéphanie dès le soir même je restais hésitante. Mon silence intrigua Stéphanie qui me demanda :
- Tu n’as pas envie ?
- Si bien sur que si.
- Alors vient.
- J’arrive dis-je.
Elle me donna l’adresse de son appartement et avant de raccrocher je l’entendis dire :
- Tu m’as tellement manquée.

Une heure à peine plus tard je sonnais à la porte de Stéphanie, la porte s’ouvrit et je découvris Stéphanie en nuisette transparente avec un minuscule string noir masquant son intimité, elle me fit entrer et une fois la porte fermée elle me prit par le cou pour m’embrasser à pleine bouche comme si nous étions amantes depuis longtemps.
Sans dire un mot elle m’emmena dans sa chambre où elle me fit assoeir sur le bord du lit restant debout devant moi en me disant :
J’attendais ce moment depuis longtemps.
- Je suis là, lui dis-je.
Je sentais Stéphanie heureuse de ma présence, j’avais des désirs qui montaient en moi et tout naturellement mes mains se posèrent sur ses fesses et je l’attirais vers moi. Stéphanie se laissa faire et ne protesta pas quand mes mains descendirent son string pou dégager son sexe, puis relevant sa nuisette sur son ventre je pris son sexe entre me s lèvres, à cet instant Stéphanie dit :
- Ohhh, ma chérie.

Très rapidement le sexe de Stéphanie devint dur et Stéphanie se mit à soupirer, tout en la suçant avec la plus grande douceur je me déshabillais et me retrouvais nue le sexe bandé.
Me mettant en levrette devant Stéphanie je lui dit :
- Prends-moi !
Stéphanie se positionna et me sodomisa sans un mot, dans une douceur extrême qui me remplissait de bonheur, rapidement le plaisir monta dans mon ventre et je me mis à feuler comme une chatte en chaleur.
Dans mon dos j’entendais Stéphanie ne pas cesser de dire :
- Mon amour, mon amour.
Il ne fallut pas longtemps à Stéphanie pour jouir en moi en criant un ;
- Je t’aime.
Elle resta immobile un instant en moi et je me sentis heureuse et comblée, j’avais retrouvée Stéphanie.
Ce soir là nous sommes restées avec Stéphanie chez elle à parler de nos retrouvalles et du bonheur d’être à nouveau ensemble, ne parlant ni d’avenir mais simplement de l’instant présent que nous vivions.
J’ai fait jouir à nouveau Stéphanie dans me bouche et avant de nous endormir tendrement enlacées, Stéphanie, m’à branlée jusqu’à la jouissance et c’est heureuse que nous nous sommes endormies.

Au petit matin je me suis réveillée et Mon amante était lové contre moi en chien de fusil, ses fesses collées contre mon ventre, en pensant que dans cette position je pouvais prendre en douceur mon amour je fus prise d’une violente érection qui réveilla Stéphanie.
En retournant légèrement la tête vers moi je l’entendis dire :
- T’as une envie ma chérie.
- Oui, lui dis-je dans un souffle.
- Alors soit douce mon amour car cela fait un moment que je ne ma suis pas faite prendre.
Consentante je la sentais se décontracter et se détendre contre moi. Stéphanie s’ouvrait et s’offrait, elle allait se donner pour me rendre heureuse.
Je lui caressais ses seins avec douceur en l’embrassant dans le cou, ce qui la fit frémir et se cambre encore plus, mon sexe bandé entrant dans la raie de ses fesses, je le sentais maintenant à l’orée de son intimité mais je ne bougeais pas continuant les caresses de ses seins.

Les bouts étaient maintenant durs et érigés par le plaisir qui montait en elle, Stéphanie commençait à onduler et soupirer doucement.
Des oui sortirent de sa bouche et elle rajouta :
- Aime-moi comme une femme.
Ma main descendit sur son ventre et je l’attirais encore plus contre moi, nous étions comme soudées l’une à l’autre dans cette étreinte charnelle. Je sentais que mon sexe coulait et le prenant dans mon autre main libre je le plaçais sur la rosette de Stéphanie afin d’en lubrifier les contours de mon jus. Stéphanie se recula un peu se qui fit que mon gland entrouvrit légèrement ses chairs, juste ce qu’il faut pour que je sente que j’étais emboitée dans le cul de Stéphanie, elle me dit :
- Entre mon amour, je suis à toi.
Un petit coup de reins pour m’enfoncer un peu en elle et pour lui faire sentir mon gland à l’orée de son œillet, puis u autre pour ouvrir ses chairs qui n’avaient pas accueilles de membre depuis longtemps, et encore un autre , suivis de tant d’autres qui me faisait progresser lentement en elle.
Stéphanie m’accueillait attentive à ma progression et à l’ouverture des ses chairs intimes, j’étais à moitié en elle et Stéphanie feulait.
L’étroitesse de ses reins m’obligeait à être lente dans ma progression, les chairs de Stéphanie étaient serrées sur mon sexe et je me retenais pour ne pas jouir de suite. Enfin je fus entièrement en elle, embrochée de toute la longueur de mon sexe Stéphanie râlait de bonheur, je marquais un temps d’arrêt pour l’habi à mon membre. Nous sommes restées ainsi, pendant de longues minutes ne bougeant plus, prolongeant cet instant merveilleux.
Je faisais se contracter mon sexe dans le fondement de Stéphanie, ce qui déclenchait en elle de légers frissons et lui faisait dire ;
- Tu me rends folle.
- C’est pour que tu ne puisses plus te passer de moi, lui dis-je.
- Oui mais pour combien de temps mon amour ?
- Pour la vie ma chérie.
A ces mots un grand frisson parcouru Stéphanie et je me mis en action en lui donnant un puissant coups de reins qui m’enfonça encore plus en elle lui faisant lâcher un :
- Ohhh.
Suivi d’aller et retour pour une sodomie d’anthologie. Je n’avais plus envie de jouir à cet instant mais jute entrer et sortir mon sexe des tréfonds de Stéphanie et la faire hurler de plaisir.
Cette sodomie à durer un temps infini, me surprenant moi-même de ne pas jouir plus tôt mais me rendant heureuse de pouvoir être aussi longue et endurante.
C’est Stéphanie qui jouit la première en disant :
- Jouis mon amour et remplis moi de ta jouissance.
Je continuais mes pénétrations dans les entrailles de Stéphanie la faisant râler de plus belle en ma disant :
- Je n’en peu plus, arrêtes ou jouis en moi tu me rends folle.
Lorsque j’ai jouit remplissant de ma jouissance les entrailles de Stéphanie elle à pousser un long cri :
- Ouiiii.
Puis elle s’est mise à pleurer alors que j’étais encore en elle, et dans un sanglot elle me dit :
- Reste en moi ma chérie, jamais je n’aurai ressentie cela avant, reste mon amour, reste.
Ce n’est que plus tard que mon sexe redevenu mou qu’il est sorti naturellement du petit trou de Stéphanie, alors se retournant pour m’embrasser je l’entendis dire :
- Merci.

A suivre……

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