Petite Salope

Le poursuivre à quatre patte pour lui sucer la bite, aucune chance d’y arriver, mais je peux toujours me jeter à plat ventre pour lui attr le pied, croche-patte, il tombe au sol, je lui grimpe dessus et lui mord et lui lèche l’oreille, comme des jeunes chiots qui s’amusent.
Je prends son visage dans mes mains, envie de l’écraser tellement je l’aime. Je lui mords les lèvres et je lui lèche le bout du nez pour rigoler.
Nous sommes toujours au sol. Je l’enlace, il a sa tête dans mes seins, je sens qu’il respire mon odeur, me lèche et me mord la poitrine, passant de l’un à l’autre avec attention. Ma chatte s’humidifie, je suis très sensible à ce niveau là. Ils sont petits et j’ai la peau fine, c’est vraiment délicieux quand il s’y attarde comme ça.

La première nuit que nous avions passés ensemble était d’une très grande intensité. J’avais mes règles, on a même pas baisé, on a juste découvert nos corps. On a passé des heures, à se lécher, se palper, se caresser, se mordre, se sentir. C’était vraiment très érotique. Une sensualité superbe se dégageait de nous, et nous surprenait tous les deux. Je pense que cette nuit là, nous étions vraiment beaux.

On a pas fait grand-chose de tout ça, mais l’année n’est pas fini. Il travaille a l’hôpital peut être qu’à force de voir des gens souffrir, au lieu de s’enorgueillir de sa solitude, lui reviendra le goût de me baiser. Il doit savoir, quelque part au fond de lui, que c’était si bon avec moi, et que mon corps et ma chatte sont tout à fait pour lui.

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Mais il n’est pas encore temps… je mise sur des retrouvailles pour le printemps, en attendant, j’ai beaucoup à apprendre…

Ma biche aiguise mes sens, me pousse pas à pas dans mes retranchements et je sens que mes limites se situent encore loin... Un autre me baise sans ménagement, c’est bien aussi, moins prise de tête et ça me permet de rester plus concentrée sur le reste.

Hier soir ce dernier est venu frappé à ma porte.

Ce n’était pas vraiment prévu, mais les photos de bite bien dressée qu’il m’envoyait laissaient présager qu’il viendrait, avec une grosse envie de me prendre.
J’étais à la fois saoulée qu’il débarque sans prévenir, mais je sentais dans le même temps ma chatte se gonfler à l’idée de savoir qu’il était là, bandant derrière la porte.

Je lui demande d’attendre un peu, sur le palier, pour lui faire les pattes, qu’il comprenne que je ne suis pas à sa disposition.
J’enlève mes habits quotidiens, et je mets ma robe de pute. Je l’appelle comme car elle est moulante, serrée au cou, très douce, imprimée panthère, rose et noir, ultra courte. Immettable pour moi, à part pour se faire baiser. Je décide de rester complètement nue dessous, à quoi bon la lingerie avec un animal pareil. Il est là pour me la mettre bien profond et me bouffer le cul et la chatte, ça ne va pas traîner.

Je viens derrière la porte et lui dis que je suis vraiment agacée qu’il débarque comme ça et qu’il mériterait que je le vire illico presto la bite entre les jambes.
Il murmure derrière la porte :
- « Désolée mais j’avais trop envie de te baiser »
- « Tu m’as prise pour une pute où quoi, t’as cru que j’étais à ta disposition ? »
Je laisse un blanc… Il ne sait toujours pas si je joue ou non, j’imagine son air perdu et agar, je reprends après un court instant :
«  T’as cru que j’étais chaude au point d’ouvrir la porte et que tu viennes me baiser, t’as cru j’étais là, la bouche ouverte derrière la porte, attendant que tu viennes y mettre te bite à l’intérieur. Tu m’as vu faire des va et viens, et la polir comme il a se doit … c’est dans ta tête tout ça ! »

Il ne dit rien, je suis collée à la porte, j’entends seulement sa respiration.
Je continue :
« Il faut que je regarde, si oui ou non je suis assez mouillée pour te recevoir ? »

J’introduis directement deux doigts dans ma chatte, et laisse échapper un gémissement, qui arrive jusqu’à son oreille, derrière la porte.
Je l’entends frapper légèrement, il dit :
« Laisse-moi rentrer, je suis entrain de me toucher, je suis dans le couloir. »

Continuant de me masturber moi même, je lui réponds le souffle saccadé par le plaisir :
- « Attends… Ma main s’agite fort dans ma chatte... Je sens mon clito qui se gonfle et de la mouille coulée le long de mes cuisses... J’arrive pas à savoir si ça va le faire ou pas… Tu crois que ta gosse bite pourrait me faire le même effet ?»
- «  Oui putain, ouvre »
Je laisse mon corps glisser contre la porte et je m’assoie, mes doigts s’activent toujours dans ma chatte, je suis de plus en plus excitée.
J’ouvre le verrou mais la porte reste fermée.

- «  Est ce qu’il fait noir dans le couloir ? »
- « oui la lumière s’est éteinte ? » répond t’il 
- « Okay, j’entrouvre la porte pour que tu puisses juste y passer ta bite et te sucer, je te jure que si t’essaies de rentrer, je la referme brutalement et tu risques de t’en souvenir !»
- «  d’accord d’accord » gémit-il.

Rapidement je me lève et j’éteins toutes les lumières dans mon appartement. Je viens me remettre à genoux contre la porte et j’l’entrouve doucement.
Nous sommes tous les deux dans le noir, on se distingue à peine. Je sens presque immédiatement sa verge chaude sur mon visage. Ça m’excite énormément, je ne perds pas une seconde pour la mettre dans ma douche et faire des va et viens. Je la prends dans ma mains et lui lèche le gland, je la sens bien tendue.
Ses mains se posent sur ma tête, je sais ce qu’il veut. J’ouvre bien grand la bouche et le laisse la mettre au fond de ma gorge. Je la garde un moment. Il retire mon visage qu’il tenait par mes cheveux, et je sens du liquide sur mes lèvres et sur sa bite, je lui lèche encore et encore... je me délecte… c’est délicieux pour nous deux. Il essaie de ne pas faire trop de bruit dans le couloir.

Je lui lèche les testicules, en passant une main sur ses fesses, je lui mange les bourses, lui lèche, tout mon visage entre ses jambes, sous sa bite.

- «  Je vais tellement te baiser me dit il ? », « t’aimes ça petite salope ? »
- « T’as intérêt à bien me l’enfoncer » « Je veux bien la sentir en moi» lui répondis-je, sa bite posée sur mes lèvres.
Il saisit son sexe pour me frapper le visage avec, je gémis. Je suis sa bite la bouche ouverte, pour pouvoir m’en ressaisir dès qu’il le voudra.

J’en peux plus j’ai trop envie de lui. Je m’arrête, je me lève, lui dis de reculer et je referme la porte. A travers je lui dis :
- «  Je vais me mettre à quatre pattes dans le couloir, quand je te dirais « viens », t’as intérêt à débarquer le plus vite possible pour me baiser. T’es là pour me baiser, pas vrai ? »
- « oh oui, je vais te défoncer » me répond t’il.

J’allume une légère lumière plus loin dans l’appartement pour qu’il puisse me voir un peu.
Je me mets à quatre patte, les bras et la tête sur le sol comme une chatte qui s’étire, le cul bien tendu vers lui. Je veux qu’il puisse ne voir que ça quand il entrera.
C’est parti.
«  Tu peux entrer »
Comme prévu, il se jette sur moi. Son fute est déjà baissé, il s’accroupit, me saisit par les hanches et me pilonne comme un dingue pendant au moins 4 où 5 minutes.
Il est vénère et fou d’excitation. Il me prend par les cheveux, «  t’aimes ça petite salope », « t’aime ça te prendre ma bite comme une chienne » . Normalement je serais ultra choquée qu’on s’adresse à moi comme ça, mais il est tellement tellement excité ... Je ne réponds rien. Il me tient par les cheveux pour que je le regarde, et entre deux de ses coups de bite, qui me font bien crier, je le défie du regard, j’ai les yeux qui brûlent !

Voyant ma réaction, il décide de m’allonger sur le dos, il vient s’asseoir sur moi, mon visage est sous sa verge. Il se masturbe en me regardant. Je suis complètement transit. Il éjacule sur mon visage dans mes cheveux. Il veut m’en mettre partout. A la fin il met sa bite dans ma bouche pour que j’en ai là aussi.


On s’allonge, tous le deux, on est mort. On reprend petit à petit notre souffle.
Je tourne mon regard vers lui, ses yeux très bleus me regardent.
Merci.


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