Une Opportunité

J'ai presque la quarantaine et je suis divorcé depuis 10 ans. Bien que attiré par le sexe, je suis très timide. Je n'ai pas très souvent l'occasion de sortir avec des femmes et encore moins d'avoir des relations avec elles.Je ne pouvais donc pas passé à coté de l'opportunité qui allait m'être offerte.
Cela est arrivé en juillet, il faisait chaud, très chaud et j'avais décidé de sortir de chez moi pour aller flâner dans les magasin, histoire de casser ma solitude. Dans ces moment là, je regardais les promos mais surtout les femmes seules, m'imaginant les inviter et plus si affinité. J'essayais aussi de deviner si elles portaient une soutien. Mais je ne suis pas arrivé à ce stade ce jour là.
J'étais dans le parking cherchant une place pour me garer, lorsque une voiture recula. J'ai stoppé, mis mon clignotant et attendu qu'elle quitte sa place pour moi la prendre. Mais tout ne se passa pas comme cela.
Les feux de recul du véhicules s'allumèrent et il commença à reculer. Je le voyais se rapprocher de plus en plus du miens , mais confiant je ne bougea pas. Mal m'en à pris, d'un coup, le véhicule recula plus rapidement et est venu heurter l'avant du mien. J'étais surpris mais peu inquiet car dans ma volvo, j’avais très peu ressenti le choc. Par contre il ne devait pas en être de même pour l'occupant de la petit fiat uno.
Je n'avait pas eu le temps de défaire ma ceinture de sécurité qu'une jeune femme, sorti toute agitée du véhicule. Elle se précipita à l'arrière du sien et alors que je la rejoignais elle se tourna vers moi.
Elle : Oh monsieur, je suis désolée, je ne vous avais pas vu. Je le reconnais, je suis en tort. Nous devons faire un constat. Oh la la...
Moi : Calmez vous madame, il n'y à rien de grave, c'est juste de la tôle. Je dis cela d'autant que regardant mon pare chocs, il était intacte.
Elle : Si si monsieur, je ne voudrais pas que vous croyez que je ne suis pas honnête.
Moi : C'est comme vous voulez, je vais prendre les papiers dans ma voiture.


Elle : Excusez-moi, mais cela va prendre du temps, non que je veuille fuir mes responsabilités, mais j'ai des congelés dans mon coffre et ils risquent d'être perdu si je ne les mes pas rapidement au congélateur.
A peine avait elle fini sa phrase que le ciel devint noir, un orage allait nous tomber dessus.
Moi : Ça prend quand même un peu de temps et en plus avec ce qui arrive cela va compliquer les choses.
Elle : Heu, si cela ne vous dérange pas, nous pourrions vite aller jusque chez moi et... on le remplirait après que j'ai rangé mes commissions ?
Moi : Pour moi il n'y aucun problèmes, si cela ne vous dérange pas.
Elle : Je me vois mal vous faire remplir ces papiers sous la pluie alors que je viens d'emboutir votre voiture.
Et la, les première gouttes commencèrent à tomber.
Moi : Tout compte fait, c'est une bonne idée, je vous suis.
Elle: Merci.
Nous remontons dans nos véhicules et quelques minutes plus tard nous arrivons chez elle. Nous nous garons devant chez elle. Je prends les papiers nécessaire et je la rejoint. Je lui propose naturellement mon aide pour sortir les sacs de son coffre et elle me fait entrer. Ce fut de justesse quelques de plus et nous avions droit à une avalanche de pluie. Elle dut allumer tant le ciel était noir et la pluie abondante. Elle m'invita à m'asseoir, me servi un café et rangea les commissions. Cela prit une dizaine de minute avant qu'elle vienne me rejoindre.
Elle se confondit encore en milles excuses et ce malgré que j'essayais de la rassurer. C'était son premier accrochage. Elle avait 25 ans et avait son permis depuis seulement quelques mois. Elle avait eu très difficile à l'obtenir et voilà qu'elle avait un accident. Je pris l'initiative de lui dire.
Moi : Une première bonne chose, serait peut-être de se mettre à table pour avoir plus facile à remplir ces documents.
Elle : Oui bien sûr.
Assis , je pris les papiers et commença à lire.
Moi : Nom, prénom.

Elle : Oh je suis désolée, je ne me suis pas présentée. Alice.
Moi : Enchanté, moi c'est Marc.
Nous remplissons ensembles les différente cases et au fur et à mesure je la sens se détendre. Il faut avouer que si je suis timide, il est vrai que je suis aussi assez doué pour faire rire les gens. Et mon humour faisait son effet avec elle.
Nous voilà arrivé à la fin, le moment de décrire les dégâts.
Moi : Aie.
Elle : Il y a un problème ?
Moi : Eh bien vu le temps (il pleuvait toujours abondamment), il va être difficile de remplir ceci sans être trempé.
Elle : Ah, oui !
Nous avons donc attendu pendant un bon quart d'heure, mais rien n'y fit, il pleuvait toujours autant. Peut-être même plus car on entendait les grondements d'un orage qui s'approchait.
Moi : Je suis désolé, mais je crois que nous allons devoir nous mouiller.
Je me suis lever et elle m'a suivi. J'ouvre la porte et il pleut tellement que j’aperçois à peine les voitures qui sont à seulement quelques mètres. Ni une ni deux, je cour vers elles et essaye de distinguer les dégâts. Difficile, mais je parvient à voir que moi je n'en n'ai aucun et elle juste deux bosse dans son pare chocs. Je me tourne et je la vois venir vers moi.
Moi : Faites moi confiance rentrez, vous allez être trempée.
Elle : Trop tard, je dégouline déjà.
Elle regarde vite et nous rentrons.
Moi : Ouf, je suis trempé, j'ai l'impression d'être tombé dans une piscine.
Elle : Moi aussi.
Je me tourne vers elle et en effet, sa robe est si mouillée qu'elle lui colle à la peau. Mais en plus elle est devenue presque transparente. Et maintenant je sais, elle n'a pas de soutien, mais un string blanc. Elle ne semble pas s'être rendue compte de la situation car elle se tourne vers moi.
Elle : Whouaw vous êtes bien mouillé. Venez, je vais vous donner une serviette.
Je l'ai suivi jusque dans la salle de bain. Elle me tendit une serviette et en prit une pour elle.
C'est vrai que j’étais trempé. Mes cheveux dégoulinaient et ma chemise me collait à la peau.
Moi : Cela vous dérange si je retire ma chemise pour me sécher ?
Elle : Non allez-y. Oh pardon...
Elle posa les mains sur sa poitrine car elle venait de se rendre compte de la transparence de sa robe.
Elle : Excusez moi, je suis confuse.
Elle essaya de sortir, mais l'étroitesse des lieux l'obligea à se frotter à moi. Et elle ne pouvait pas ne pas remarquer que la vue qu'elle m'avait offerte, m'avait aussi excité. En effet, je senti ses cuisses se presser contre mon sexe gonfler lorsqu'elle voulu passer à coté de moi.
Et à ce moment je ne sais pas expliquer ce qui se passa. Sans même y avoir réfléchi, je l'ai coincée contre le meuble de l'évier et saisissant ses bras je l'ai embrassé. Une fraction de seconde plus tard, je la lâchais et reculais autant que possible.
Moi : Oh pardon, je ne sais pas ce qui m'a pris, je suis désolé. Excusez moi.
Je me suis reculé et j'ai baissé les yeux, mon caractère timide reprenait le dessus. Je fixais ses pieds attendant ses remontrances, voir même une gifle. Mais ... rien ... ses pieds ne bougeaient pas, le silence régnait. Que se passait-il.
Elle : Je ne vous en veux pas, je suis en partie responsable.
Je levais les yeux, elle me regardait. Il n'y avait dans son regard aucune désapprobation. Bien au contraire, elle avait un sourire aux lèvres.
Elle : J'ai vu que vous êtes un homme gentil et là je vois que vous êtes aussi très timide.
Un silence s'installa de nouveau et un frisson me parcouru car j’étais torse nu et encore mouillé. Les choses s’enchaînèrent naturellement et sans un mot. Elle prit sa serviette et commença à m'essuyer, elle se rapprocha et cette fois c'est elle que colla sa bouche sur la mienne. On entrouvrit nos lèvres et nos langues se croisèrent. Je sentais mon sexe gonfler encore et encore, mais je sentais aussi se seins se coller à moi et cela malgré sa robe mouillée entre nous.
Elle passa ses bras autour de mon cou et je la pris par la taille. Nous sommes resté ainsi pendant de longues minutes. Je sentais la chaleur de nos corps nous sécher. Quand nous nous sommes décollé, elle me prit par la main.
Elle : Viens, suis moi. Nous sommes trop à l'étroit ici.
Elle prit une serviette et m'emmena dans le salon, elle la posa sur la table basse et ôta sa robe.
Elle : Je crois que nous serons plus à l'aise comme cela.
Elle continua en dégrafant son soutien et me fixant toujours dans les yeux, déboutonna mon pantalon, qui tomba à mes pieds. Elle prit mes mains et les posa sur sa poitrine.
Elle : Qu'en penses-tu, ils sont doux ? Tu as envie de jouer avec ?
Moi : Heu.. Oui... Ils sont... Ils sont magnifiques.
Elle : Alors qu'est-ce que tu attends ? Caresse-les, tu peux même les mordiller si tu veux. Mais surtout ne soit pas si timide. On sait très bien ce qui va arriver... On va faire l'amour, tu vas me faire jouir et je te laisserai éjaculer en moi.
Le décor était planter et tout s'enchaîna.
Après lui avoir caressé les seins et mordillé les tétons, elle s'agenouilla. J'ai retiré mes chaussures et mes chaussettes et me suis débarrassé de mon pantalon. Ma bite était au maximum de sa taille, elle la prit en bouche et me suça. Je posais mes mains sur sa tête pour accompagner ses mouvements. Elle se releva, me regarda et je me suis agenouillé devant elle, j'ai fais glisser son string et après lui avoir écarté les cuisse j'ai glissé une main sur sa chatte. Elle mouillais, je sentais ce liquide chaud couler le long de mes doigts lorsqu'il la pénétrèrent. Elle fut parcourue d'un frisson au même moment. L'envie était déjà là, mais le plaisir naissait en elle. Elle posa à son tour ses mains sur ma tête, mais elle pour garder l'équilibre et ensuite pour m'inviter à lui sucer le clito. Je ne fit pas prier et dégageant son sexe, je découvris son bouton d'amour, luisant d'excitation et tendu de plaisir. Je senti qu'a chaque coup de langue, elle tressautait un peu. Elle n'allait pas tenir longtemps.
Elle : Je n'en peux plus viens dans la chambre.
Je me releva et elle prit ma main pour m'inviter à la suivre. Mais pour une fois je fis volontairement preuve d'audace et posa sa main sur ma bite. Elle se tourna et avec un sourire la saisi et nous nous sommes directement dirigé vers son lit. Le contact de sa main m'avait permis de garder un belle érection et alors qu'elle se laissa tomber sur les drap je pus directement me glisser entre ses cuisses pour lui planter mon sexe dans la chatte. Tout se fit en douceur, mais sans hésitation.J'étais sur elle les bras tendus les mains de part et d'autre de ses épaules et le bassin imprimant un mouvement de va et vient régulier à ma bite. Elle avait saisi ma tête entre ses mains pour que pendant tout le temps nous ne nous quittions pas de yeux.
Elle : Oh oui... J'aime ça... tu es un merveilleux amant. Continue, je te sens tout au fond de moi.
Moi : Oh oui, c'est bon.
Elle : N'éjacule pas encore, je n'en n'ai pas fini avec toi !
Je sentais pourtant le plaisir monter et je me suis donc retiré. Elle compris tout de suite et se redressa, me prit le sexe et après quelques manipulations de sa part, je repris complètement le contrôle de moi.
Elle : Passons à autre chose. Qu'as-tu comme expériences sexuelles ?
Moi : J'ai déjà été marié, mais mon ex-femme était assez classique dans nos relations. La fellation, le missionnaire et la levrette sont presque uniquement ce qu'elle acceptais comme pratiques sexuelles.
Elle : Le cunnilingus, le 69, la sodomie, la branlette espagnole, la gorge profonde... ?
Moi : Avec elle, rien de tout cela. Le cunnilingus et le 69 à de rares occasions par la suite lors d'aventures sans lendemain.
Elle : Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai le sentiment et l'envie que cette rencontre débouche sur quelque chose. D'autant que nous avons beaucoup à nous apporter l'un à l'autre.
Moi : J'en ai moi aussi envie, mais je n'ose pas croire qu'une femme s’intéresse encore à moi. En plus tu es encore très jeune et moi j'ai quarante ans. Crois-tu que ce soit possible ?
Elle : J'en suis certaine, je me sens bien avec toi, tu es doux et attentionné. J'ai besoin de cela. Toi malgré ce que tu semble croire, tu assure sexuellement. Tu as vu la trique que tu as encore. Je ne me rappelle pas avoir eu un copain avec une aussi grosse et pour ne rien gâcher, elle a aussi une belle taille. Mais arrêtons de de parler je voudrai savoir jusqu’où tu peux m'emmener aujourd'hui.
Elle se mit sur moi, tourna et posa sa chatte sur ma bouche alors qu'elle prenait ma bite en bouche. Un 69 avec Alice, j'avais déjà eu un aperçu de ses pipe, mais maintenant elle se déchaînait. Je sentais sa prendre ma bite complètement,elle touchait même le fond de sa gorge. Quand elle en ressortait, je sentais que sa langue jouait avec mon gland. Sa technique mon donnait énormément de plaisir, mais je ne ressentais pas le besoin de jouir. Ce qui me permis de me concentrer sur son sexe, alors que ma langue jouait avec son clito, mes doigts la pénétraient. Je sentais qu'elle attendait que je prenne des initiatives, j'ai attendu de lui avoir donner un orgasme et je me suis dégager. Elle semblait perdue, car elle venait de perdre la direction des opérations. Mais elle me laissa faire. Je lui ai demandé de rester dans sa position et je me suis mis derrière elle. Après quelque coups de langues, je pose ma bite entre ses lèvres vaginale et je pousse pour entrer à nouveau en elle, mais cette fois en levrette. Je me rends vite compte que cette position lui convient particulièrement. Je ne du pas attendre longtemps avant qu'elle jouisse et en mois de cinq minutes avec un rythme normal et régulier elle eu deux orgasmes de plus. Il devenait toutefois pour moi de plus en plus difficile de me maîtriser, j'ai donc décider de passer à autre chose. Quand elle sentit ma queue sortir, elle tourna la tête et me vit me pencher. Les mains sur ses fesses, je les ai écartées et pour la première fois de ma vie, j'ai léché son cul. Elle dut être étonnée, mais me laissa faire sachant la finalité de ces caresses. C'était beaucoup moins repoussant que je ne le croyais, j'appréciais même cette odeur et je sentais qu'elle produisait une substance qui allait facilité la pénétration. Mais pour première pénétration, ce fut ma langue que força l'entrée de son anus. Elle ne rentra pas beaucoup quelques millimètres, peut-être un centimètre, mais j'ai aimer cela et elle aussi. Je me suis ensuite redressé et elle se pencha en avant libérant ses mains qu'elle utilisa pour écarter ses fesses et m'inviter à la pénétrer avec ma bite. Je posa mon gland contre son anus, je saisi ma queue et la maintenant fermement, j'ai commencé à pousser. Le passage était étroit, mais mon travail préliminaire avait sûrement aider à le dilater. Pour finir mon gland força le passage et elle poussa un petit gémissement. Je lui demandais tout de suite si tout allait bien et elle me rassura me demandant de continuer sans tenir compte d'elle. Je repris ma progression jusqu'à ce que mes couilles s'écrase contre ses fesses. Je pouvait même sentir la chaleur émanant de sa chatte les réchauffer. Après quelques secondes d'immobilité, je me suis mis à lui baiser le cul comme je l'avait fait avec sa chatte. Elle pris du plaisir, pour preuve l'orgasme qui fit trembler ses jambes.
Moi : Je sens que je vais venir...
Elle : sort, je veux que tu jouisse dans ma bouche.
Je me suis retiré, elle se retourna et alors qu'elle ouvrais la bouche deux beaux de spermes jallirent. Touts les atteignirent leur but et s'écrasèrent dans sa bouche. Les suivant furent beaucoup moins puissants et tombèrent sur le reste de son visage. Elle semblait heureuse, elle repoussait avec ses doigts le sperme vers sa bouche grande ouverte. Celle-ci pleine, elle avala le tout.
Nous nous sommes amoureusement regardé et...
Elle : J'ai aimé tout ce que tu as fait et j'aimerai que tu reste avec moi.
Moi : Ce sera avec plaisir.
Nous avons ensuite été prendre une douche et la suite...

Dans le prochain épisode.

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