Ce Soir-Là, Ce Fut Ma Fête !

Je travaille depuis deux ans dans une entreprise. Nous formons une équipe bien soudée. Le matin, avant de commencer le travail, nous organisons des petits déjeuners campagnards, avec fromage, charcuterie, vin…Quelquefois, nous sortons le soir au restaurant.
J’ai commencé dans cette boîte à 16 ans, comme apprenti. Tout le monde m’appelait : Le petit.
Au début, ça ne me gênait pas. Les femmes m’ébouriffaient les cheveux et les hommes me donnaient des tapes sur les fesses. Un peu plus tard, les tapes se sont transformées en gestes appuyés. Je le prenais en riant. Je reconnais que je suis plutôt efféminé et que j’attire plus les garçons que les filles. Un jour, j’ai même entendu :
- T’as vu le cul du petit, si c’était une fille…..!
Puis, l’année de mes 18 ans, le soir de ma fête, un de mes collègues distribua des cartons d’invitation.
Quand il me donna le mien, il m’expliqua qu’il s’agissait d’une soirée exceptionnelle pour moi et que je devais venir. Il y avait une adresse à laquelle il fallait se rendre.
Le soir en question, après avoir sonné, la porte s’ouvrit sur une très jolie femme, habillée de cuir et la tête enveloppée dans un masque percé de trous pour la bouche et les yeux. Elle me fit entrer dans un petit hall. Elle me glissa sur la tête une cagoule en disant :
- C’est une soirée spéciale. Personne ne doit voir les autres.
Elle m’accompagna dans une chambre et afin de m’enfermer, elle dit qu’elle viendra me chercher.
Environ une heure plus tard, elle revint. Me prenant par la main, elle me conduisit dans un autre endroit. Elle m’enleva la cagoule. J’étais au milieu d’un cercle de fauteuils occupés par des hommes et des femmes portant tous des cagoules noires. L’hôtesse désigna deux des hommes :
- Venez m’aider !
Chacun des deux désignés me prit par un bras et l’hôtesse me déshabilla entièrement tandis qu’une autre personne posait sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier.

Quand je fus nu, l’hôtesse s’adressa à l’assistance :
- Ce soir, c’est une soirée spéciale sexe sado-maso. Voici le héros de la soirée.
Se tournant vers moi, elle dit :
- Je vous présente vos invités.
- Messieurs, fit-elle !
Ils se levèrent, ouvrirent leurs braguettes, sortirent leurs sexes et se rassirent.
- Mesdames, à vous maintenant !
La porte s’ouvrit sur autant de femmes qu’il y avait d’hommes. Elles portaient des guêpières de cuir et des ceintures godes ornées d’engins cannelés de belles dimensions.
- Et vos derniers invités !
Elle s’approcha d’un meuble, en ouvrit le tiroir et sortit une corde et un fouet.
- Vous allez sucer chacun de vos invités. Vous avalerez leur sperme. Pendant ce temps-là, ces dames vont vous enculer. Chaque fois que vous n’obéirez pas, je vous fouetterai.
Aidée de ses deux sbires, ils m’ont lié les bras dans le dos. L’hôtesse prit son fouet et m’en asséna un coup sur les cuisses.
- A genoux ! Hurla-t-elle. On commence !
Je me mis sur les genoux et me dirigeais vers le premier fauteuil. Plusieurs coups de fouet sur les fesses m’incitèrent à me pencher et à prendre le sexe dans ma bouche. L’hôtesse me dirigeait.
- Passez la langue autour du gland !
Un coup de fouet !
- Léchez la fente !
Autre coup de fouet !
- Maintenant, salivez, montez et descendez ! Laissez le gland sortir !
Le sexe retomba.
Nouvelle rafale de coups.
- Vous laissez sortir le gland, vous passez la langue sur la fente et le reprenez en bouche, vous montez, descendez jusqu’à la jouissance et vous avalez tout !
- Madame, à vous !
Une des femmes s’approcha, écarta mes fesses et posa le gland factice sur mon trou du cul.
- Madame, ayez de la vigueur ! Après vous être enfoncée complètement, on doit entendre vos hanches heurter son cul…. Une minute……….et une autre rafale de coups.
Quand ce fut fini, l’hôtesse me raccompagna à ma chambre. Elle me fit prendre un vomitif et un lavement. Elle me fit prendre un bain de siège pour atténuer la douleur de l’écartèlement et enfin enduit mes fesses et mes cuisses d’onguent pour cicatriser les traces du fouet. J’ai mis plus de deux heures pour rentrer chez moi.
Le lendemain, je suis retourné au travail avec des envies de s. Une de mes collègues m’accueillit en disant :
- Et alors ? Pourquoi t’es pas venu ? T’étais malade ? Bon Dieu, la tête que tu fais !
Ça n’a pas l’air d’aller…..
- J’y suis allé, fis-je. Mais à l’adresse indiquée………….
Et j’ai raconté ce qu’il m’était arrivé.
- Oh! Putain ! Cria-t-on.
Marcel est venu me voir et s’est écrié :
- Je suis désolé, c’est de ma faute ! C’est une de mes conquêtes qui m’a donné cette adresse et qui pensait que ça m’intéresserait. Mais, pourquoi tu es allé jusqu’au bout ?
Une lueur coquine dans le regard, j’ai répondu :
- Ben…….
- Ecoutes, si ça t’as plu……Nous on t’a pas oublié.
Sur mon poste de travail, il y avait un gros paquet cadeau qui m’attendait. J’espérais secrètement qu’il contenait une cagoule noire, une ceinture gode, une corde et un fouet !

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