La Boulangère

Depuis que je vais à cette boulangerie je regarde sans arrêt la serveuse. Je la complimentais au début sur la qualité de sa marchandise. Un peu plus tard je commençais à la taquiner sur sa présentation, puis je la draguais sérieusement. Elle souriait puis enfin se laissait prendre à mon baratin. De fil en aiguille nous sommes devenus amis. Pas au point de nous embrasser quand même. Je l'invitais un jour à venir au cinéma voir un film qui pour moi paraissait "cucul" et qui pour elle était presque trop sentimental. Trop certainement puisque au cours de la séance, elle essuyait quelques larmes. En sortant elle se remettait. Je continuais à l'un souvent. La dernière fois le film était plus chaud, pas du tout déshabillé le couple parlait très explicitement de leur façon de s'aimer. Je la sentais se trémousser : elle devenait plus sensible à ces descriptions que je ne le pensais. Je devinais qu'elle était en manque. Raisonnablement je ne pouvais pas profiter de la situation. J'attendais la semaine suivante pour l'emmener voir un film porno, en le lui disant d'abord. Au début elle rechignait pour finalement accepter pour me "faire plaisir". Nous voilà donc, le seul couple dans la salle, les autres spectateurs me semblaient être des déséquilibrés. Bien sur l'histoire était totalement décousue: il s'agissait d'un brise cœur qui profitait des femmes pour simplement les baiser une ou deux fois, qui après un accident se retrouvait dans je ne sais qu'el endroit avec un ange N°5 qui le transformait en femme pour souffrir à son tour d'un homme comme il avait été. Il baisait souvent cet ange. Ne me demandez pas les détails je les ignore totalement. Au bout d'un moment je regardais ma boulangère qui fixait l'écran avec attention. Elle semblait insensible aux images ainsi qu'à l'histoire.
Ce n'est quand sortant qu'elle voyait que je bandais: elle regardait bien ma bosse et me disait qu'elle aussi était très excitée. Que faire dans ce cas: une seule solution en vue.

Nous allions dans l'anonymat d'un hôtel meublé. Je louais une chambre qui comme dans tout ce genre d'hôtel était parfaitement inhospitalière sinon que pour y tirer un coup. Je la sentais plus rétive. Je m'embrassais de l'embrasser sur la bouche. Elle m'y répondait sans grande effusion. Je me devais de la chauffer un peu. Mon baiser se prolongeait, je lui caressais la poitrine. Enfin elle se dégelait et prenait à son tour quelques initiatives en passant sa main sur ma bosse. J'en profitais pour aller bien plus loin: je lui mettais directement la main sur son bas ventre où je caressais son clitoris par-dessus ses vêtements.
Je trouvais les boutons qui fermaient sa robe dans son dos. (Je me demande toujours comment font les femmes pou porter de tels carcans) En tout cas j'arrivais à lui enlever sa robe. Elle portait un tout petit soutien gorge qui laissait dehors la moitié des seins et un petit slip qui ne lui cachait pratiquement rien. J'ôtais son soutien gorge. Je les pelotais avant de les sucer. Je les faisais bander presque. Les pointes en tout cas étaient dures. Elle essayait de me sortir la queue de mon pantalon. Je finissais de la déshabiller. Elle sortait nue comme une déesse grecque. Pour arriver à ses fins je me déshabillais moi-même. Elle regardait ma queue. Elle devait lui plaire en tout cas plus que celle du cinéma. Ma boulangère si elle était un peu moins sexy que l'ange n° machin du cinéma était en tout cas fort comestible. Je le lui disais pendant que je lui caressais le clitoris. Je me disais qu'elle devra aimer les positions du film. Je m'attachais à les reproduire. Je ne la couchais pas au début, après l'avoir branlée, je lui passais la langue sur son bouton; elle écartait les jambes pour que je sois plus confortable et surtout pour qu'elle en tire encore lus se plaisir. Elle jouissait. Je la couchais dans l'espoir de la baiser. Il s'agissait bien de la baiser: elle voulait me sucer. J'étais obligé de la laisser faire, partant du principe que ce que femme veut……….

Je me mettais sur le dos, bien installé, pensant qu'elle de devait pas être une grande suceuse. Je me trompais largement. Elle descendait mon prépuce à la main, sa langue aussitôt sur mon gland. Elle le léchait en tournant sa langue dans tous les sens, en insistant sur le frein. Enfin quand elle jugeait que j'étais au point, elle engloutissait ma bite jusqu'au fond de sa gorge. Je ne sais ce qu'elle faisait. J'allais jouir; je la prévenais en vain. Elle me gardait pendant toute la durée de mon éjaculation. Quand elle levait enfin la tête elle se léchait les lèvres.
Je débandais après une telle fellation. Elle ne le voulait pas. Elle reprenait ma queue dans la bouche, me caressait les couilles en me disant des mots crus:
- J'aime ta bite, je la veux dans mon con et dans mon cul. Je me suis régalée de ton jus. Bande encore.
- Je veux bien te la mettre où tu veux, fais moi bien bander.
- Tu vas voir.
Elle se tournait pour me montrer comment elle faisait quand elle se branlait: elle écartait largement ses jambes pour que je vois son con en entier, se mettais deux doigts dans le con, les faisait aller et venir. Elle passait son autre main sous ses fesses pour se mettre là aussi deux doigts. Elle jouissait de sa masturbation; je voyais les spasmes sur son cul.
Elle arrivait à son but: je bandais à nouveau.
- Je suis prêt à te baiser.
- Non, tu ne bandes pas assez, tu ne pourras pas m'enculer et me baiser.
- C'est-ce qu'on va voir, petite garce qui se branle devant moi.
- Moi je sais me branler, toi tu ne sais même pas te le faire.
Elle le faisait exprès: je bandais encore plus. Je l'empoignais la mettait sur le ventre. Je crachais sur son petit trou. Je mettais ma pine sur son cul et je la lui rentrais avec délicatesse. Je trouvais un cul déjà bien habitué à la sodomie. Elle écartait ses jambes au maximum.
- Mets moi la à fond, défonce moi le cul.
- Je vais te défoncer comme tu veux
Je mettais toute mon ardeur à l'enculer: elle poussait des gémissements de lus en plus fort quand le plaisir montait en elle.
Je la sentais jouir plusieurs fois. J'allais me retirer: elle ne le voulait pas. Tant pis j'avais trop envie de son con. Je la retournais sur le dos. Elle m'aurai fusillé parce que je n'avais pas voulu l'enculer plus. Tant pis pour elle: je bandais tant qu'il me semblait possible de la baiser une fois au moins et de la sodomiser encore une fois à mort. Je passais ses jambes sur mes épaules, mettais ma queue dans son vagin, la rentrais là aussi à fond. Elle gémissait toujours pendant que son plaisir venait. Elle jouissait encore quand je la tournai sur le ventre. Elle voulait être sodomisée, j'allais la lui mettre jusqu'à ce qu'elle demande grâce. Je l'ai faite jouir je ne sais combien de fois avant que je décharge mon sperme dans son cul. C'était sa dernière jouissance: elle était dans un état proche de l'évanouissement.
Nous nous sommes rhabillés.
Nous nous rencontrons chez elle depuis cet après midi mémorable. Nous connaissons nos besoins en orgasme. Nous sommes occupés souvent.

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