Gisèle 10

X - oooOOOooo
Je me réveillais le lendemain avec un genre de gueule de bois, comme si j'avais dessaoulé. Qu'est ce que j'avais fait… qu'est ce que j'avais dit… et cet immonde Roger… et tout qui recommençait le film, cette dernière vidéo chez lui et puis, le chantage, de nouveau. Et là que faire, mes activités et ma confession ne portaient pas aucune empreinte de contrainte, alors…. Alors j'allais essayer de fléchir Roger. Son répondeur me fit écho pendant deux jours….
Le mardi en sortant du lycée ou j'exerçais, quelle ne fut pas ma surprise en voyant Roger qui visiblement m'attendait.
"J'avais trop envie de te voir en…civil !"
Un peu gênée devant les lycéens qui sortaient, je tentais d'échapper à son baiser Il m'emmena dans un petit bar boire un verre. Il prit place sur la banquette près de moi. Inquiète, je voulus qu'il me dise ce qui allait m'arriver et ce qu'il attendait de moi. Il esquiva un peu :
"Oh tu sais, j'aime bien baiser… mais par-dessus tout, j'aime voir ! Alors je veux te voir te faire sauter devant moi…. Tu ne vas pas me dire que cela te gêne, tu l'as bien fait devant ton mari ".
"Mais ce n'est pas pareil et…"
"Tu sais, je crois que tu n'as pas le choix ! Je suis bien capable de me servir de mes vidéos…tu peux donc te préparer pour des shows un peu hard. De toute façon, si j'ai bonne mémoire, tu aimes ça la bite, non ?"
"Euh…. Je… euh…. Enfin….."
En m'écoutant bafouiller, il avait posé la main sur mon genou et elle remontait….
"Moi, j'ai le souvenir d'une Gisèle qui ne rechignait ni de la bouche, ni de la chatte, ni du cul… ni des trois à la fois. Je ne me trompe pas ?".
La main était au milieu de ma cuisse.
"Non, non dans un certain sens…."
"Dans tout les sens tu aimais ça, oui ! Et ce n'est pas l'absence de ton mari qui doit t'avoir calmée… tu dois être vachement chaude !"
Je voulu bloquer la main en haut de ma cuisse.
"Laisses, j'ai trop envie de te toucher la chatte !"
Je le laissais remonter jusqu'à ma culotte qui petit à petit à s'était mouillée.

Il se mit à me caresser au travers de mon slip en plaisantant :
"Tu vois, si tu ne portais que des strings ou même encore mieux, rien du tout j'aurais pus te branler !"
Çà, effectivement….
"Attends, j'ai une idée, tu te souviens de Sébastien ?"
"Oui bien sûr !" de lui je me souvenais et de son beau sexe.
"C'est le seul de la bande qui reste après que mes amis s'en soient occupés. Ils ont tout déménagé ! Alors, je pensais à un truc. Si on venait te voir tous les deux samedi soir ?"
La proposition était tentante….
"Tu verras comme on te fera bien jouir… un devant et un derrière… hein ?"
Par faiblesse et fringale, je dis "Oui". Il est vrai que dans le passé, Sébastien s'était montré un peu plus civilisés que les autres… juste un peu… et puis cela me changerait de Roger et ses manigances. Dès le lendemain, j'achetais des strings au cas où…. Mais je ne revis pas Roger. Le Samedi matin alors que je faisais un peu de rangement en prévision de mes visiteurs du soir. Je reçu un appel téléphonique… de Roger.
"Allo Gisèle ! Alors prête pour ce soir ?"
"Oh pas encore !"
"Pas physiquement ! Je me doute bien ! Mais tu te sens prête à te faire bien enfiler ?"
"Plutôt… oui…."
"Ça tombe bien ! Justement, je me disais … et si on invitait, en plus quelques amis ! Qu'en penses-tu ?"
"Écoute, ça suffit Roger…. Je ne voudrais pas que cela recommence comme avant et… "
"Stooooop ! C'est toi qui écoutes ! En fait je t'ai demandé ce que tu en pensais, comme ça ! En vrai, je m'en moque un peu. C'est pour que tu te prépares psychologiquement ! On vas te fourrer comme une reine !"
"Ooooh… non… je t'en prie !"
"Ça suffit ! Tu sais que je peux très bien me servir certaines confessions, alors…."
"…"
"Et puis au fait ma belle, comment te surnommais Fabrice déjà ?"
"…"
"Allons, allons… fait un effort !"
"Pupute…."
"Voilà…. Le retour de Pupute…. Beau titre pour un porno, non ?"
"Je ne sais pas trop.
Et… et vous… vous serez….combien ?"
"Surprise, surprise !….Allez je raccroche ! Ah oui dernière chose, tu te rappelle qu'elle tenue tu dois porter hein ! Comme d'hab !"
J'ai dit un peu plus haut "un peu plus civilisés"…. N'aurais-je pas fait une erreur d'appréciation ? Après tout, qu'importe finalement. J'étais en manque, je vous l'ai dit. Je regrettais Fabrice… Sébastien prendrait sa place et tant pis s'il s'avérait aussi dégénéré que Roger qui me faisait peur. J'en voulais, j'en voulais…. Même si juste un peu après ces fornications insensées je regrettais en regardant les marques infâmantes qui décoraient mon corps repus, il n'en demeurait pas moins vrai que pendant… j'exultais par tous les pores de ma peau tant et si bien que le simple souvenir de ces étreintes, m'excitaient de nouveau, et après quelques jours de latence, me laissait avide
Donc sur le coup de seize heures, je décidais de me préparer. Après le bain et le brushing, je commençais par "m'habiller", histoire de retrouver mes sensations et me mettre en condition. Il me fallut bien deux à trois minutes pour le faire. Juste le temps qu'il faut pour passer une paire de bas noir, de les fixer aux jarretelles et de grandir d'une bonne dizaine de centimètres résultant de la mise de mes talons aiguilles. Des mots résonnaient en moi : bien enfiler… fourrer… comme une reine… et puis, et puis aussi : le retour de Pupute… le retour de Pupute….
Je me maquillais… façon Pupute… façon pute !
Je marinais ainsi ensuite pendant près de trois quart d'heure en me demandant ignoblement combien seraient-il ? Combien se déverseraient dans mon vagin fiévreux ? Combien me juteraient dans la gorge ou entre les seins ? Combien de fois se serviraient-ils de mon joli petit trou de balle ? Tout ceci n'arrangea en rien mon désir….
Comme à chaque fois la sonnette me fit bondir et palpiter. Sébastien ouvrait la marche suivi de deux hommes, l'un aussi jeune que lui puis suivit de Roger et d'un autre plus âgé.
Il me présenta Armand et David.
"Les mecs, je vous présente…. Pupute… de son vrai nom, Gisèle… mais … elle adore qu'on lui donne ce surnom et surtout, qu'on la traite de même! Cette salope est à votre disposition ! Elle est faite pour ça, alors ne vous en privez pas ! Vous pouvez tout lui demander et tout lui faire !"
Présentée comme cela… les deux types ne purent me regarder qu'avec des yeux emplis de convoitise et de lubricité. Surtout que pendant cette brève présentation, tout en me caressant les fesses Julien en rajouta :
"Ouais, je l'ai vu à l'œuvre ! Elle est tellement dispo et cochonne qu'on peut à plusieurs par tous les trous et même à plusieurs dans le même !"
Je me retrouvais vite dans mon entrée, à genoux en train de faire connaissance des "nouveaux". Un dans chaque main et aussi dans la bouche. Ceux-là aussi avaient de belles queues !... de belles queues qui allaient me rendre folle. L'entrée étant somme toute assez exigu pour permettre aux deux derniers de se joindre aux autres je fus priée de gagner le salon… à quatre pattes. Pendant que déambulais ainsi… comme une chienne qui allait se faire couvrir, ils me suivaient, certainement en reluquant mon postérieur et en estimant les plaisirs qu'ils allaient en tirer. De plus ils avaient amené leur petit matériel, un caméscope et un appareil photo.
"C'est pour la collec de Roger !" avait précisé Sébastien.
Cette fois je pus être entourée par les quatre hommes désormais nus. Les quatre bites se pressaient contre mon visage. Pendant que je suçais, les autres se frottaient dans mon cou ou sur mes joues ou bien encore s'enfouissaient dans mes cheveux. Bien sûr des mains intraitables me forçaient à les absorber en totalité jusqu'à ce mon nez s'écrase contre leur pubis épilé ou non. Même Sébastien ne s'en privait pas. J'avais du mal à suivre leur emportement et la succession des biroutes que je devais ingurgiter. Parfois je devais mettre les bouchés doubles… ça j'aimais bien attendant mieux….

"Ceux qui veulent peuvent la tirer la vicelarde quand ils veulent !" annonça Sébastien.
L'un d'eux s'allongea à même le sol m'imposa de le chevaucher d'abord face à lui. Je rampais presque jusqu'à lui et guidant son sexe, m'agenouillais sur lui et entreprit de me mettre en mouvement. Les trois autres se rapprochèrent de mon visage…. Je repris mes pipes pendant que Sébastien me pétrissait les seins. Bientôt, Armand me demanda de ne m'occuper que lui. Il voulait que je me concentre sur son priape qui allait expédier son sirop. Ce fut mon premier arrosage de la soirée. David me demanda de continuer à le chevaucher, mais en changeant de sens. Je me désemmanchais et le re-chevauchais en lui tournant le dos cette fois. Je n'en avais plus que deux face à moi, la situation devenait plus "gérable", si l'on peut dire…. Pendant que je pipais et branlait les deux mâles, David avait placé un doigt entre mes fesses. Donc, à chaque fois que je m'abaissais sur lui, petit à petit ledit doigt pénétrait mon anus comme un délicieux prologue. Sébastien à son tour éjacula dans ma bouche. Je mis un point d'honneur à tout avaler. La posture changea. David resta allongé et ils me mirent à en levrette entre ses jambes pour que je le suce à son tour. Derrière moi, Roger me pénétra. Le fait de pas avoir à imposer moi-même un rythme me libéra, je crois. Je pus suivre celui qui m'était imposé et ce fut plus confortable. Tellement confortable que je ne tardais plus à venir. Je me mis à jouir sans pudeur devant tous ces jeunes qui en profitèrent pour m'invectiver et pronostiquer que je n'avais pas fini d'en prendre. David, échauffé tout d'abord par mon vagin, puis par ma langue jouit aussi. Il ne resta que Roger qui m'occupa tour à tour la bouche et le sexe. Il savait y faire … et changea de poste plusieurs fois avant de me faire don de son foutre.
Ouuuh ! Sébastien et David rebandaient déjà. Tout recommençait comme avant. Lorsque, un ou deux avaient jouit le spectacle que j'offrais leur redonnait de la vigueur et étaient prêts dès que les autres libéraient les places. J'étais reprise aussitôt et ainsi de suite sans oublier que parfois les quéquettes de ces messieurs s'additionnaient pour combler un orifice resté vacant. Sébastien, assis sur un canapé, m'ordonna de venir sur lui. Tout de suite, dès que je fus à peine en place, il écarta mes fesses pour en offrir la rosace à David qui m'encula après que ses doigts eurent parachevés son travail incomplet de tout à l'heure. Il poussa bien vigoureusement et mon muscle anal succomba très vite. Il faut dire que sachant très bien, depuis le soir ou nous nous étions revus avec Sébastien, que l'endroit servirait, je m’étais faite à l'idée et puis aussi… j'en avais bien envie. De çà et du sandwich qu'ils venaient de confectionner. Ooooohh, ce double mouvement, ce double glissement, ce double frottement me provoquait des vagues d'extases. J'appréciais, je savourais, je goûtais cette double pénétration comme la grosse salope que j'étais devenue. Je vous ai dit tout à l'heure que les braquemarts s'additionnaient. Ce fut le cas. David me poussa contre le thorax de Sébastien. Les seins écrasés, je dus par-dessus on épaule et de dossier du canapé engloutir le gland violacé d'Armand qui possédait une pine très large. Pas la plus longue, non mais vraiment trapue. Au bout de mes bras tirés un peu en arrière, mes mais durent se refermer sur les dards de Roger, comme pour entretenir en attendant une place plus attrayante. Vu que je n'offrais aucune résistance à leurs menées (et qu'aurais-je pus faire ?) tout s'amplifia. Le vocabulaire, d'abord, et ce que j'avais un peu l'habitude d'entendre dans ces moments là et qui en fin de compte ne me déplaisait plus du tout. Tout y passa : chienne, grosse salope, pute, garage à bites, sac à pines et j'en passe…. Ensuite ce fut leur frénésie impétueuse et débridée. Je fus balayée comme un fétu de paille, prise… reprise… deux…trois… quatre… et ses queues qui rentraient, sortaient permutaient de trous sans que je puisse désormais identifier laquelle était passée dans ma chatte, laquelle était passée dans mon cul. Elles se ressemblaient toutes…. Au bout d'un long moment de ce déferlement bestial je me mis à prendre mon pied sans fin. J'éprouvais trois ou quatre orgasmes de suite… phénoménal… jamais cela ne m'était arrivé. Je n'étais pas au bout de mes peines puisque après un temps de repos et quelques rafraîchissements; mes amants décidèrent qu'ils allaient tous me sodomiser à tour de rôle. Après qu'ils eurent tiré leur ordre de passage à la courte paille comme des gamins. Ils me firent subir les outrages annoncés sur le dos ou en levrette suivant leurs préférences. Au début, je jouis un peu puis plus du tout. En parfaits petits pervers ils me firent constater dans une petite glace, l'aspect de mon anus martyrisé. Ouvert, enflammé, rouge suintant de filament glaireux on en voyait même l'intérieur grenat et annelé.
Ils s’en allèrent peu après m'avoir encore caressé et embrassé longuement. Sébastien m'avisa qu'ils allaient passer un bon moment en matant photos et vidéos et que je pourrais les voir si j'étais sage….
Je tombais dans mon lit comme une souche… et ce furent des élancements de l'anus que me tirèrent d'un sommeil chaotique. Après une douche et une collation, je me remis vite au lit, nue et je puisais dans mes souvenirs pour me repasser le film de ma soirée et bien le garder ne mémoire. Ces quatre salopards adorés avaient mis la barre très haute….
Après m'être remise de cette solide expérience anale, je m'attendais à revoir, au minimum, l'un de mes amants ou au moins d'avoir des nouvelles. Pendant quinze jours, rien… et j'un un peu honte de l'avouer, mais le diable recommençait à me titiller. J'en avais presque (presque…) oublié la menace "Roger". Elle se manifesta le samedi matin :
"Allo Gisèle, dis-moi, est-ce que tu as quelque chose de prévu ce soir ?
Cà, c'était une clause de style. Je savais très bien que si lui avait quelque chose en tête, il me faudrait m'y plier. D'un ton léger je répondis :
"Non, rien du tout !"
"Alors tu peux venir chez moi ce soir ?"
"Bien sûr Roger… quelle tenue dois-je…"
"Tu ne te souviens pas de ce je veux ?"
"Si, si mais…."
"Alors… c'est quoi ? Dis-moi !"
"Des bas et mon ciré noir… sans rien d'autre…."
"Tu vois ! Bon, ce soir vingt deux heures, et tâches d'être convenable, comprit !"
"Oui, oui Roger."
Vingt deux heures… cela faisait tard pour dîner… alors ? Directement une partie fine, il fallait que je m'y attende. Vingt deux heures pile, ultra maquillée, des bas autofixant sur mes talons aiguille et rien d'autre que mon ciré, si l'on excepte une paire de pendants d'oreille, je sonnais. Il me fit ouvrir mon imperméable pour vérifier ma nudité. Il vérifia aussi la moiteur de mon entrecuisse. Rien que le fait de tenter d'imaginer ce qui m'attendait m'avait fait mouiller. Alors pensez donc, le trajet, nue sous mon vêtement…. Il passa aussi la main entre mes fesses et déplora l'absence du plug dont il connaissait parfaitement l'existence. Je bafouillais que j'y songerais la prochaine fois. Il répondit :
"Oh tu sais, ce que j'en dis… c'est pour toi ! Pour que ton petit trou soit déjà préparé ! Tes admirateurs ne seront peut être pas ment très, très doux…."
Je le regardais certainement stupidement car il compléta :
"Nous sortons…."
Sa voiture prit un chemin connu… LE quartier, avec un grand L, celui du sexe….
Il se gara. J'avais peur…. Il m'entraîna vers le magasin d'Hassan. Je me sentis plus rassurée. Ne me trompais-je pas ?
A notre entrée, Hassan nous salua tous les deux l'air content. Il avait eu peur que nous lui posions un nouveau lapin. Ce à quoi Roger lui rétorqua :
"Allons Hassan ! Tu sais très bien à qui tu t'adresses… je n'ai qu'une parole, et puis… notre amie Gisèle ne peut plus me refuser grand-chose… ni à toi, donc !"
"Tout le monde est là vous pouvez descendre." Renseigna Hassan qui nous précéda laissant sa caisse à un comparse.
"Chers amis chose promise, chose due… la voilà !".
C'est sous cette annonce, que je finis de descendre les marches du petit escalier. Des regards se braquèrent sur moi. Il y avait deux groupes d'hommes qui me dévisagèrent. Un groupe de six hommes de taille et d'âges différents et un autre de trois noirs composaient l'assistance. Hassan et Roger allèrent se placer près du groupe le plus nombreux. Après quelques instants d'un silence pesant, un des noirs vint vers moi et prit mes mains qui serraient frileusement mon ciré. Un autre s'approcha et commença de le déboutonner. Puis avec lenteur, ils en séparèrent les pans qu'ils ouvrirent dévoilant mon corps à ceux qui, je le réalisais, allaient jouer les voyeurs. En fait l'idée perverse de Roger était que je sois livrée à des noirs devant un parterre de mateurs auxquels Roger s'était joint. Un sentiment confus de honte et d'envie m'emplit. Je fus assez vit nue et ils me firent tourner sur moi-même pour me faire admirer un comme montre un animal lors d'un concours. C'est sous les lazzis, relatifs à "mon cul et mes loloches", qui ponctuèrent cette exhibition que les trois blacks commencèrent à me peloter. Certes, je ne m'attendais pas ment de délicatesse. Mais là… les mains qui se posèrent sur moi le firent sans raffinement. Il était clair que ces types n'étaient pas là pour me câliner mais plutôt pour assurer le spectacle. D'ailleurs, l'un d'eux me pris une main pour la poser contre son bas ventre. Je lui ouvris son pantalon. Il bandait déjà…. Il me prit par la nuque pour me faire courber vers l'avant. J'avais compris et j'ouvris la bouche pour accueillir cette grosse tige noire. Grosse… oh oui !... il y peut être des réputations usurpées, mais je vous jure pas celle des hommes de couleurs… enfin pas ceux-ci….
Dans la position où je me trouvais, les deux autres purent répondre favorablement aux demandes répétées des voyeurs qui souhaitaient les voir "m'écarter les fesses et me mettre un doigt dans le cul, en attendant mieux…. ". Ils satisfirent les clients d'Hassan avec un zèle tout particulier puisque assez vite j'eux deux doigts dans chaque orifice. Sans doute un peu lassé de me masturber, ils finirent par poser leurs pantalons, eux aussi, et par prendre place près de leur compagnon. Des mains sur mes épaules et ma tête me firent m'agenouiller. Dès lors les grosses bites noires se pressèrent contre mes joues, mes lèvres, mes yeux, mon nez… elles se succédaient dans ma bouche et je n'eus plus de répit. Il fallait que je suce, que je pompe que je lèche tout ce qui passait à ma portée et hauts le cœur ou pas elles s’enfonçaient sans modération dans ma gorge. Plusieurs voix réclamèrent :
"Allez baisez la !"
Dont acte, qui fut immédiatement mit en chantier. Un des hommes s'allongea au sol, on me poussa au dessus de lui et on m'appuya encore sur les épaules. Je m"accroupis tout d'abord et prenait la queue dressée vers le plafond je me l'introduisis délicatement dans le sexe. Ouh… il était gros, mais bon, j'aimais bien ! Par contre, ayant bien compris ce que recelait la suite du programme, j'appréhendais… à juste titre…. Deux de cette taille, supérieure à ce que je connaissais avec Sébastien, ce ne fut pas sans mal et j'ai bien cru qu'ils allaient me déchirer l'anus. Avant ceux de plaisir, c'est de douleur que je poussais mes premiers gémissements sous les encouragements des autres qui souhaitaient que mes partenaires "me fasse gueuler". Me faire gueuler… comme si cela avait pu être possible… avez-vous déjà essayé avec une énorme bite dans la bouche…. Ils se mirent en mouvement et ce fut terrible…. Comme je vous l'ai dit déjà, les fioritures n'étaient pas au programme. Je me faisais sauter presque mécaniquement devant l'assistance qui s'était rapprochée pour mieux voir. Plusieurs membres de celles-ci avaient d'ailleurs sortit le leur et s'astiquaient posément ou de temps à autre prenaient une photo avec leurs téléphones portables. Ou bout d'un assez long moment les spectateurs voulurent du changement. En parfait showmen désireux de satisfaire un public exigeant les trois blacks décidèrent de donner droit à cette demande et interrogèrent les voyeurs sur les changements à intervenir. Il fut décidé que celui qui me prenait par devant me sodomiserait, que celui que je suçais me baiserait et vous l'avez deviné, la demande la plus répétée fut que je suce celui qui m'enculait. Je dus donc m'empaler profondément sur le nouvel enculeur. La douleur reprit un peu. Je pris appui sur mes talons et mes poignets et assise autour de la grosse biroute qui me garnissait le fignedé, j'attendis que le deuxième me prenne le sexe. Quand ce fut fait, le dernier, debout, s'approcha au dessus de mon visage et me faisant un peu renverser la tête en arrière me fourra son gros pénis dans la bouche. Le remplissage de mes accès reprit en cadence. Cette fois je jouis deux fois presque coup sur coup et de façon géante. Cela exalta les mateurs qui conseillèrent à mes camarades de jeu de me punir en "giflant les nibards de la pute" et en "pinçant les tétons de cette salope"…. Sans aucun remords, les trois hommes remplirent cette mission avec minutie et empressement. Je dirais même plus…avec zèle et ardeur…. Ce qui fit que je voulus crier de douleur et de plaisir mélangé celui que je pipais m'enfonça sa queue d'ébène dans l'arrière gorge transformant ma plainte en un long borborygme inarticulé que l'assistance voulut prendre pour un encouragement. Ce qui fit que les trois hommes me "travaillèrent" les seins un bon moment faisant semblant de croire "que la truie aimait qu'on lui brutalise les mamelles". Celui sur lequel j'étais empalée m'avais empoigné les nichons de ses grosse mains et les tendais aux deux autres qui en pinçaient, en tordaient ou en mordillaient les pointes érigées comme jamais. Pour la première fois, je découvris avec stupéfaction que la douleur, associée au plaisir procuré par les bites qui me fouillaient, pouvait être une source nouvelle et complémentaire de jouissance. Du coin de l'œil, il me sembla que Roger avait remarqué cet état de chose. Mes seins furent enfin relâchés… ouf !... ils étaient cramoisi et les tétons tout violacés. Je vis que parmi les mateurs, certain avait déjà remisé leur engin et des mouchoirs en papier jonchaient le sol. D'autres, secouaient toujours leur bite devant mon exhibition. L'un d'eux demanda à me jouir dessus. Permission lui fut accordée… et du foutre jaillit sur une de mes joues et mes cheveux. D'ailleurs, à partir ce moment là, tous délaissèrent les kleenex, préférant ma figure. J'en étais toute barbouillée, j'en avais même dans les yeux et comme je vous l'ai dit, j'étais en arrière en appuis sur mes mains je ne pensais et ne pouvais pas m'essuyer. Quand tous les voyeurs, Roger et Hassan y compris eurent éjaculés ce fut mes trois partenaires qui se lâchèrent chacun dans son orifice, m'amenant à jouir une fois encore. Il me fut demandé qu'en "bonne copine" je leur nettoie la queue avec ma langue ce que je fis avant qu'ils ne s'en aillent me laissant épuisée.
Roger était très content de ma prestation et m'avait trouvée salope à souhait… comme il aimait ! Hassan aussi était satisfait… de sa recette…. Pour lui je serais désormais la bienvenue….
Roger confirma que je viendrai de temps à autre lui rendre une petite visite. J'ignorais à ce moment là qua ma fréquentation de ce sex-shop ferait partie intégrante de mes loisirs….
Roger et Sébastien me déposèrent à mon domicile et je tombais comme une masse….
C'est alors que je me croyais à nouveau bien installée dans le vice que les choses prirent une tournure étrange. Roger me demanda si je pouvais me libérer une huitaine. Il avait reçu des nouvelles de Nadine et voulais la rejoindre sur place pour faire le point. Il insista et voulu me faire croire que nous allions passer une semaine en amoureux. Je voulu l'imaginer et m'en persuader.
Avant ce départ qui faillis ne pas ce faire, Philippe, mon ex mari que je pensais être devenu complètement homo refit surface. Un peu penaud, il voulait revenir à la maison et que nous reprenions notre vie de couple. J'avais les cartes en main et j'en profitais un peu. D'accord pour son retour, mais avec des conditions. D'abord qu'il remplisse son devoir conjugal autant qu'avant (ce qui n'était pas trop difficile), que ce soit d’une manière ou d'une autre (s'il avait pris de nouvelles habitudes). Ensuite il faudrait qu'il soit permissif et/ou complice de mes débordements comme nous le faisions avec Fabrice. Cela le gêna un peu que soit avec Roger mais, vidéos et photos obligèrent il lui fallut capituler. Enfin pour une parfaite égalité, il faudrait que moi aussi je sois complice d'éventuelles de ses péripéties érotiques. A dire vrai, j'avais très envie de le voir se faire sodomiser par un autre homme. Cette complicité devait s'exercer en dehors de notre logis qui deviendrait zone neutre et uniquement conjugale. Il revint donc, ayant tout accepté, peu avant mon départ, car j'avais décidé que finalement j'allais partir avec Roger pour cette petite villégiature. Rester à attende mon retour serait la punition de mon mari.
Je vous passe les détails de voyage et notre installation dans un superbe hôtel. Décidément, Roger avait les moyens. Je le questionnais un peu sur ses activités professionnelles. Il esquiva… des affaires… import-export… éluda-t-il.
Le lendemain de notre arrivée, nous fîmes une petite visite de cette ville et nous terminâmes par le port. Il y avait des bateaux de toutes sortes et toutes nationalités. Roger semblait très intéressé. Tombant en arrêt devant un magnifique yacht il engagea la conversation avec un marin accosté au bastingage. De fil en aiguille, dans un mélange de langues ou l'anglais surnageait quelque peu le marin demanda si nous voulions visiter. Roger sauta sur l'occasion. Le marin commença à donner des explications qui semblaient être techniques. Deux ou trois autres membres de l'équipage c'étaient rapproché et se mêlèrent à la conversation, peu féminine, il est vrai. De temps à autre à la dérobée, ils lorgnaient quand même de mon coté. Je n'en fus pas autrement surprise. À la demande de Roger, je ne portais rien sous cette petite robe d'été. L'un d'eux proposa de monter sur la passerelle de commandement pour avoir une vue sur l'ensemble du bâtiment. Il s'engagea par l'échelle de coupée suivi de Roger et d'un marin qui passant devant moi prit un temps infini avant de grimper perdu qu'il était, surplombant mon buste un peu découvert, je l'avoue. À mont tour je me mis à grimper suivit du dernier marin. Prévenant ou peloteur ?... toujours est-il que je sentis une main sur mon mollet et qu'elle ne semblait pas devoir s'arrêter là. Lorsque j'arrivai essoufflé en haut elle avait dépassé la moitié de l'arrière de ma cuisse. Je regardai l'homme avec un regard courroucé. C'est un sourire ironique qui me répondit l'air de dire "allez tu ne dis rien ! C'est que tu n'as pas détesté !". Dans le fond….
Notre "guide" proposa à Roger de visiter la salle des machines. Il hésita en me regardant et en répondant que cela ne m'intéresserait pas beaucoup, à juste titre. Le marin qui c'était permis des privautés se proposa dans un mauvais français de "faire visiter cabines à Madame !". Je voyais bien que Roger était désireux de cette visite. Bof, des cabines de matelots… peu d'intérêt…. Pour lui faire plaisir, j'acceptais quand même.
Pendant que Roger disparaissait dans l'intérieur du navire, l'homme me guida, ouvrit une porte et….
Et… je me retrouvais plaquée contre la cloison. Sa bouche était dans mon cou et cherchait la mienne. Son corps musclé m'écrasait contre la paroi. Une main m'avait saisie un sein. Une cuisse s'était engagée entre les miennes. J'allais me faire violer. Cette pensée m'électrisa. J'abandonnais ma résistance et ma bouche….
Conscient de mon abandon, il releva ma robe. Quand il constata, d'une part que je ne portais pas de culotte et que d'autre part j'étais imberbe, il poussa une sorte de rugissement. Il me fit lever une jambe, farfouilla dans mon entrejambe et me cloua au mur d'un coup de rein impeccable. Le type se mit à me violenter (si l'on peut dire) farouchement, ébranlant la cloison. Un étroit miroir d'un placard me renvoya l'image de la femme qui se faisait tringler avec entrain, jupe retroussée autour de la taille et buste dénudé également.
Mais… mais… que vis-je…. Un, deux…trois…. Trois marins entrèrent en riant pour assister au spectacle. Dans un ultime coup de queue et un ultime grommellement, mon "violeur" éjacula. Un des autre qui avait déjà sorti son engin me poussa vers une couchette ou il me fit asseoir puis il se campa debout devant moi me présentant sa verge à sucer. Docilement, je lui fis intégralement la fellation qu'il attendait, suite à quoi je fus relevée et entraînée vers la table centrale. J'y fus accoudée et un troisième marin s'introduisit en moi après m'avoir fait bien écarter les jambes. Le dernier vint vers ma bouche. Leur rythme était effréné et on ne peut plus volontaire. Les deux autres les encourageaient à faire vite craignant je suppose le retour de mon compagnon. Je crois que l'homme qui me baisait voulu abréger. Il me mit sans trop de douceur un doigt dans l'anus, un ou deux aller et retour poussa son dard contre ma rondelle. Je tentais de protester. La verge que je suçais m'en empêchait. Un coup sec et hop, il s'engagea…. Il avait des dimensions modestes, heureusement, sinon, il m'aurait vraiment fait très mal. Là ce ne fut que désagréable et … rapide puisque apparemment le changement de lieu, lui fut fatal et qu'il largua les amarres bien vite. Dès que j'eus achevé l'autre je dus à toute vitesse rajuster ma robe. Penauds, ils me ramenèrent sur le pont ou Roger m'attendait avec son guide. Roger me regarda d'un air interrogateur, visiblement il m'était arrivé quelque chose. Presque de façon brutale, les marins nous firent descendre du bateau et retirèrent la passerelle.
Roger détecta immédiatement quelque anomalie. Je lui racontais m'être presque faite violer.
"Toi !!!" répondit-il surpris
"J'ai dit : presque…"
"Ah bon ! Tu m'as fait peur !"
"En attendant, peut-on aller quelque part, je coule…."
Il me demanda des précisons et je lui racontais avoir été prise devant et derrière sans compter les deux qui m'avaient juté dans la bouche.
"Eh bien, quand on joue les dévergondée, on est traitée comme une dévergondée…. Puisque tu baises sans mon autorisation, tu vas être punie. Non seulement tu vas rester comme cela jusqu'à temps que nous rentrions à l'hôtel et de plus, sans boire, avec le goût dans la bouche….
Mon après midi fut un calvaire le sperme mêlé de mes sécrétions me coulais le long des jambes. La soirée se passa mieux dès le retour à notre chambre, Roger inspecta avec trois doigts les orifices ayant servit aux matelots, il me les fit ensuite sucer. Ensuite il me prit, magnifiquement, d'abord devant puis me sodomisa avant de finir sur ma langue. Cela ma changea de mon après-midi ou les marins ne m'avaient accordé aucun plaisir pressé qu'ils étaient. Cette fois, il était certain que cette aventure était à ranger au rang des anecdotes et que je ne garderai pas un fabuleux souvenir de la marine.
Le lendemain, je restais pratiquement seule à la piscine de l'hôtel Roger ayant des choses à faire. Il revint ravi. Il m'expliqua que le différent qui l'opposait aux patrons de Nadine était terminé. Pour preuve deux choses : le surlendemain nous étions conviés à une soirée chez l'un d'eux, et le soir même nous étions aussi invité rendre visite à Nadine sur son lieu de travail ou elle faisait office de patronne ou mieux de gérante de l'établissement.
N'ayant pas été prévoyante, je n'avais pas de vêtement adapté au lieu ou nous allions nous rendre. Donc puisque je ne n'avais rien, ni de tapageur, ni d'outrancier, Roger choisit une simple petite robe d'été à bretelle. Léger détail… comme elle se boutonnait devant, elle resta ouverte à mi cuisse et mi poitrine…. Nous gagnâmes directement une sorte de bar vraisemblablement, mais sans terrasse extérieure. Roger sonna et un visage s'encadra par le judas. Une blonde sculpturale nous ouvrit. Pas la peine de vous faire un dessin, blonde platine, plantureuse, lolos à l'air, cuisse également hyper maquillée… le look parfait quoi ! Elle nous escorta sans manifester de réticence à ma présence en cet endroit sûrement peu habituée à n'y voir d'autres femmes que les "employées". D'ailleurs il y eu un incident. A notre entrée dans le bar, un client, visiblement un marin (encore !) en me regardant lança une phrase dans une langue inconnue. La blonde à coté répliqua plutôt vertement. Le type cassa sa bouteille et se fit menaçant. Nadine apparut et visiblement demanda des explications. Devant celles-ci, elle finit calmer tout le monde et offrit une tournée générale. Nous nous installâmes Roger à coté de Katherina (la blonde) et moi entre Nadine et le marin. Rapidement, je vis que Katherina devait (sur ordre ?) masser la cuisse de Roger qu'elle semblait trouver à son goût… d'ailleurs peut être pas que la cuisse…. Nadine et moi papotions un peu pendant que l'homme à mes cotés se tenait coi, lorgnant quand même mes appâts. Nadine ma raconta combien elle était satisfaite de son sort et son désir de ne pas revenir en France. Après des débuts délicats, difficiles et éreintants son statut de "gérantes" faisait qu'elle avait plus de latitude pour choisir ses clients et leur accorder telle ou telle faveur selon ses envies. Elle me demanda si je m'étais mis en ménage avec Roger. A ma réponse négative, elle me dit :
"Comme cela au moins tu n'es pas jalouse… regarde Kathy !"
Effectivement elle avait un peu modifié son angle d'attaque et sa main avait exactement l'allure de celle qui masturbe une queue. En disant cela elle avait posé une main sur ma cuisse… haut…. Visiblement déterminée, elle me demanda si j'aimais toujours les femmes. Je répondis :
"Les femmes en général ? Je ne sais pas, je n'ai pas eu d'autres aventures… mais toi… oui…."
Ma franchise fut récompensée. Elle m'attira et m'embrassa à pleine bouche négligeant nos rouges à lèvres.
Sa langue pénétra ma bouche a la recherche de la mienne avec laquelle elle s'amusa. Je répondis convulsivement à son attente et son baiser. Sous l'œil de Roger et de sa nouvelle amie nous nous bécotâmes ainsi un bon moment. Le marin à conté de moi n'en perdait pas une bouchée. Surtout que Nadine avait agrandi mon décolleté (si je puis dire) et que ma robe était désormais déboutonnée jusqu'au nombril. Elle s'employait sensuellement à me faire rouler les tétons en ses doigts fins. Tout d'un coup, elle se pencha par-dessus moi. Je la vis prendre la main de l'homme à coté de moi et la poser sur ma cuisse dénudée. Il me la caressa un peu puis, vous pensez bien, invitée qu'elle venait de l'être, la main commença remonter sans que quiconque voulut l'en empêcher, ni mon amante, ni Roger (aux anges, évidemment), ni moi loin s'en faut.
Ma vicieuse amie ne s'arrêta pas en si bon chemin. Elle acheva de défaire entièrement ma robe révélant ma nudité. L'accès à mon ventre était libre et la main de mon voisin y fila directement. Ses doigts m'ouvrirent et s'infiltrèrent. D'autant plus facilement que le lieu, l'ambiance et Nadine m'avaient prodigieusement énervé. Ce fut encore Nadine qui prit ma main pour la poser sur la braguette du marin. Je le sentis farfouiller. Il se débraguettait et ce fut bientôt sa verge sur laquelle il referma ma main. Nadine passa sa main derrière ma tête et la poussa vers le bas en me demandant :
"Suces le !"
Elle avait fait cela à voix haute, a dessein assurément, pour qu'au-delà de notre groupe la chose fût entendue. Elle avait l'air de tenir à ce que tout l'établissement soit au courant que j'allais tailler une pipe. Je m'inclinais donc, et embouchait la bite proposée. Pendant mon changement de position, elle m'avait aidée à retirer ma robe. J'étais nue dans son claque. Il y eut des discussions, des mouvements pendant que je pompais. Les choses allaient évoluer. Nadine, parfaite dans son rôle de patronne décida qu'elle allait fermer le bar. À Katherina elle demanda de débarrasser la table et à moi … de m'y allonger sur le dos. Je ne compris pas ce qu'elle avait demandé au marin. Mais je réalisais vite, il m'avait attirée, les fesses au bord de la table et relevé les cuisses. Il approchait verge à la main de mon intimité. Il m'enfila sous les yeux intéressés de tous. Katherina se pencha pour me rouler une pelle, puis fit avancer Roger vers moi. C’est elle qui prit sa pine et me la fourra dans la bouche. Nadine le fit arrêter bien vite. Elle fit déshabiller Katherina et lui commanda quelque chose. Docilement cette dernière escalada la table et vint s'asseoir sur mon visage faisant disparaître l'assistance à ma vue. Résolument, je m'évertuais à lécher cette vulve parfumée et suintante pendant que l'homme me bourrait comme un dément. Il se liquéfia d'ailleurs assez vite. Je ne bougeais pas, ma langue toujours enfoncée dans le con de la fille. Je sentis que l'on m'écartait à nouveau les jambes, une autre queue s'inséra en moi. Nadine m'avertit :
"Ce soir, je crois que les filles vont se reposer…. Roger est d'accord et ils ne sont que quatre…."
C'était très simple… devant une assistance de professionnelles, j'allais me faire saillir par les (heureux) clients du soir.
J'entendis dire Nadine dire à la cantonade, qu'elle montait avec Roger. Qu'en son absence Katherina commandait. Je n'allais pas perdre au change…. Dès qu'elle eu jouit, elle céda sa place à une autre de ses collègue. Puis elle me demanda si j'allais sucer sans faire d'histoire. Évidement que non…. Donc les hommes vinrent deux par deux et sous les encouragements des filles me baisèrent pendant que les autres se faisaient piper. L'une des filles m'expliqua que mon cul resterait inemployé pour ne point donner de mauvaises habitudes aux clients qui ce soir là se faisaient dégorger gratuitement. Je le regrettais presque… mais le lendemain et surtout le jour d'après allait pourvoir à l'occupation de mon petit derrière.
Quand la soirée fut achevée j'eus la surprise de m'entendre dire par Roger que j'allais rester la nuit avec Nadine. Elle semblait ravie et j'avoue que cela me plut bien aussi. Il m'annonça que le lendemain, je demeurerai aussi avec elle. Il évoqua des affaires…. Nadine me dévoila que le surlendemain nous étions invité pour une soirée chez un ami son amant/patron. Tout cela me parut fort bien comme programme. Sauf qu'elle me précisa que le lendemain, je resterai avec elle certes, mais ici dans son bar et qu'elle m'avait déjà prévu un petit programme ou il me faudrait être à la hauteur de la réputation de l'endroit.
Après une délicate et délicieuse nuit saphique en compagnie de mon amie (pas des plus reposantes mais si douce…) elle me mit au courant de ce qui m’attendait. D'abord, il me faudrait imiter le look de ses compagnes. Ceci fait je devrais attendre la visite de deux de ses amis qui viendraient m'utiliser à leur convenance. Et comme elle le dit elle-même : "Après on verra !".
Donc elle entreprit d'assister à ma transformation qu'elle orchestra. Ce fut elle qui me fournit une petite robe à fine bretelles, rouge à paillettes, mi-cuisse, mi-nichons. Vous voyez le genre… elle compléta d'une paire de bas résille et chaussures à talons compensés qui me forçaient à adopter une démarche lente et ondulante. Elle avait dû préparer cette mise en scène avec Roger puisque tout était presque à ma taille (la robe me serrait une peu). Outrageusement maquillée, j'avais désormais l'allure adéquate pour mes activités du jour.
En arrivant, je fus saluée par les autres filles qui comme Katherina s'amusèrent bien de mon changement de style. Ensuite… eh bien je dus attendre juchée sur haut tabouret de bar. Nadine faisait monter les filles, je pense, en fonction des demandes de la clientèle. Même si les clients me reluquaient, je n'eus pas à me mettre au travail. Elle me réservait… jusqu'au moment ou ses deux fameux amis arrivèrent. Cette fois-ci, je montais…. Nadine m'ayant prévenue que les deux hommes désireraient un complet (bouche, sexe, rectum) je passais une bonne partie de l'après-midi à les éponger. Je n'en garde pas un souvenir fabuleux. Même si je pris du plaisir à m'éver à bien faire mon labeur, je ne jouis pas du tout, trop contractée pour cela. Les copains de Nadine eurent l'air satisfait de ma prestation. Une fois l'affaire terminée, je redescendis à mon poste. Un peu plus tard, Roger nous rejoignit avec deux hommes. Ils louchèrent sur mes appâts découverts. Roger leur indiqua qu'ils pourraient y goûter plus tard. Nadine vint parler à l'oreille de Roger. Celui-ci eut l'air amusé. En fait, cette cochonne de Nadine avait eu l'idée de me faire monter en compagnie de Katherina avec un vrai client. Celle-ci sera là pour me coacher, mais c'est moi qui effecait une fellation au client. Cette initiative amusa tout le monde et je fis contre mauvaise fortune, bon cœur… enfin bonne bouche.
A peine redescendue, Roger nous fit remonter toutes les deux avec lui, ses deux amis et une autre fille. Après que je les eus démarrés en les pompant, il me livra à eux pour qu'ils me sodomisent alternativement à tour de rôle. Roger faisait de même avec la pulpeuse Katherina. La troisième fille, elle, n'était là que pour tout filmer. Toutefois, ce fut Roger qui termina la séquence, lorsque je dus lécher l'anus de Katherina et recueillir son foutre. Une coupe de champagne acheva la soirée et je rentrais à l'hôtel en compagnie de mon amant qui tint à me faire l'amour encore une fois.

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