Moi En Toi

Nous étions à Puerto Vallarta, dans un hôtel gay où le soleil pareil à celui de l’été faisait oublier que nous étions en Décembre et non pas en Août. J’avais emmené mon homme en vacances pour célébrer son anniversaire et le nouvel an. Nous venions de rentrer de boîte, un club gay en plein air où les hommes dansaient en montrant leurs abdominaux luisants. La chaleur de l’été nous avait gagnés puisque sans forcer j’avais sorti le sexe de mon homme pour le masturber légèrement au vu et au su de tout le monde, sans la moindre gêne pour l’un et l’autre.

La nuit venait de commencer et nous sommes rentrés la main dans la main à pied. Une fois rentrés, Luc m’a tendrement embrassé, sa langue sensuelle caressant avec lenteur mes lèvres et ma langue. Sans un mot et sans se départir de son sourire, mon homme me fit un strip-tease très lent, révélant son corps mince et musclé qui m’affole. Luc est très beau, très sexy mais comme je le lui ai dit de multiples fois, c’est nu qu’il devient dangereux. Il exhale une telle sensualité que presque personne ne peut résister à sa nudité. Il me déshabilla avec encore plus de lenteur, me couvrant de baisers torrides. Lorsque nous fûmes tous les deux entièrement nus, il me conduit vers le lit. L’un sur l’autre, nous nous prodiguions des caresses renouvelées et répétées, insistant sur les zones les plus érogènes. La chaleur et la tendresse se mêlaient dans nos ébats. Nous étions bien.

A ma grande surprise, mon compagnon si actif se mit lentement à quatre pattes sur le lit et releva les fesses dans une attitude provocante mais si sensuelle que je ne pouvais pas résister. Il avait une sensualité si puissante. Il me cet regarda avec douceur et me sourit.
- Viens mon bébé, me dit-il

Interdit, ne sachant trop ce que Luc voulait vraiment, je me collais à lui, plaçant mon sexe dur et raide entre ses deux petites fesses bien fermes et rondes. Luc n’aimait plus être passif. Il prenait trop de plaisir à me pénétrer me répétait-il.

Et me voilà, en train de fantasmer sur les fesses les plus délicieuses de tout le Mexique. Je me penchais davantage et plaçait ma bouche sur cet anus que je convoitais si désespérément. Avec douceur, j’écartais ces fesses fantastiques et je titillais la rondelle de mon désir, excité par les faibles gémissements de mon homme. Je n’en revenais pas. Luc qui acceptait cette caresse! Je m’en suis donné à cœur joie. C’était si rare et si bon. Je me rendais à peine compte de mes soupirs qui enflaient l’atmosphère comme des hormones en folie. Qu’importe dans un hôtel gay! Enhardi par ce mini-succès, je me redressais. Je pris mon sexe si dur, tendu et encore plus gros que d’habitude tant la pression qui montait en moi était forte et tout doucement je pressais mon gland contre l’anus de mon compagnon.

Il continuait à gémir tout doucement, le bassin bien en l’air, la tête posée sur l’oreiller. Je n’arrivais pas à croire ma chance. Je continuais à titiller l’anus presqu’offert de mon gland, l’anus qui s’ouvrait tout doucement à moi. Que c’était bon! Enfin, il se donnait à moi. Mon sexe entra dans l’homme que j’aimais et là, je perdis conscience. Non que je m’évanouis, loin de là. Au contraire, j’étais bien conscient mais mon intelligence disparut momentanément pour céder toute la place à la sensualité de cette position où enfin mon homme me laissait l’aimer de tout mon corps.

J’allais et venais en lui, alors qu’il continuait à gémir doucement. Ses soupirs devenaient plus forts alors que mon excitation montait. Puis Luc se tourna, me sourit et me demanda d’arrêter.
- Stop… Je ne peux pas aller plus loin mon bébé.

J’aurais pu mal le prendre mais la tendresse de son sourire, sa façon de me demander d’arrêter et le fait qu’il s’était donné pour moi avaient gagné mon cœur. Reconnaissant, je m’allongeais près de mon homme. Allongé sur le dos tout contre moi, il me prit par les épaules et nous nous sommes mutuellement masturbés l’un l’autre. Nos soupirs devenaient presque des cris de jouissance maintenant.
Me sachant presque à bout, Luc se remit soudainement à quatre pattes sur le lit.
- Reviens mon bébé mais ne rentre pas tout, ça ferait trop mal

Je me hâtais d’obéir. Le plus dur fut de ne rentrer que mon gland car la jouissance me poussait à entrer davantage mais soucieux de ne pas faire de mal à l’homme que j’aime qui se donnait enfin à moi, je tenais bon, ne rentrant que le minimum. Et je jouis, je jouis si fort. Je me déversais en mon homme, en mon Luc adoré.

Je touchais le ciel, le paradis et l’apothéose. Merci pour ce merveilleux cadeau de nouvel an mon amour.

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