Damien 47 - Paris - Tours (02)

Je me levai et fis asseoir Robert au bord de la couchette puis je m'agenouillai entre ses jambes, le formidable priape pointait son gland énorme et violacé vers moi.
Je posai mes mains sur les cuisses de mon amant et me mis à donner de petits coups de langue sur l'imposante tête du pénis érigé récupérant au passage les gouttes translucides de sperme qui perlaient du méat, j'eus l'impression que le fabuleux phallus grandit et gonfla encore.
Tout en continuant ma caresse buccale, je saisis le membre turgescent à la base et commençai à le branler lentement tandis que de l'autre main je caressai les chaudes bourses duveteuses gorgées de sève.
Sous ces caresses conjuguées mon homme soupira et creusa les reins pour s'offrir plus encore.
Ouvrant tout grand la bouche, je me mis à sucer l'extraordinaire bout durci vermillon.
J'eus toutes les peines du monde à emboucher l'énorme gland et je me mis à faire monter et descendre ma tête sur l'impressionnante hampe érigée tout en continuant à cajoler les burnes grandioses qui pendaient dessous.
Chaque fois que je descendais sur la pine dressée le gland butait contre le fond de ma gorge, j'avais mal aux mâchoires tant je devais garder la bouche ouverte et des traînées de salive coulaient le long de la magnifique bite bandée.
La respiration de mon mec s'était accélérée sous la lente pipe que je lui faisais.
Je ne savais depuis combien de temps je le suçais quand Robert posa ses mains sur ma nuque pour rythmer le tempo auquel il voulait que je le pompe.
Aux râles de mon amant se mêlaient les bruits de succion que faisait sa verge chaque fois qu'elle pénétrait entre mes lèvres enflées.
Bloquant ma tête entre ses mains, mon homme se leva et se mit à donner des coups de reins se servant de ma bouche comme d'un cul.
Je voyais le gros membre entrer et sortir de ma bouche à une vitesse folle, je fermai les yeux et savourai le contact de cette chair chaude et odorante contre ma langue.


Les mouvements de Robert devenaient de plus en plus saccadés et je sentis aux tressautements du vit que l'explosion était proche.
C'est alors que mon amant sortit sa fabuleuse pine de ma bouche et déchargea longuement en râlant sur mon visage.
Je reçus d'abord de fines gouttes puis de puissants jets de foutre crémeux aspergèrent ma figure, à la fin de son éjaculation Robert me renfonça son membre entre les lèvres.
Je caressai l'objet de ma dévotion de la langue jusqu'à ce que le calme soit revenu puis mon homme se retira.
Je le regardai et lui demandai "Pourquoi ne m'as-tu pas laissé te boire ?
- Parce que j'aime voir le sperme gicler et couler sur un visage, mais maintenant tu peux le boire.
- C'est ce que je vais faire, mais dis-moi tout à l'heure quand tu vas m'enculer, j'espère que tu vas jouir en moi.
- Bien sur, là ce n'est pas pareil.
- Merci.
- De rien, tu sais que c'est vrai, tu suces comme une déesse, si ton cul est aussi bon que tu le dis ce sera parfait.
- Essaye et tu m'en diras des nouvelles.
- Mais je vais l'essayer ma choute et pas plus tard que tout de suite, allez viens près de moi".
Du bout de la langue je récupérai le sperme qui maculait mon visage et je pris le reste avec mes doigts que je suçai, puis je vins m'asseoir près de mon amant.
Robert m'enlaça et posant délicatement ses lèvres sur les miennes, il se mit à me lécher le visage pendant que ses mains courraient sur mon corps, des ondes de désir commençaient à monter en moi.
Robert m'avait pris dans ses bras et déposé sur la couchette à plat ventre, me massant la nuque ainsi que les épaules.
Une fois qu'il m'eut bien décontracté, il me retourna et me caressa les seins tout en me pinçant les tétons, tous ces attouchements conjugués me basculèrent dans une douce langueur, je frémis.
Robert, se pencha sur moi, et se mit à me lécher le nombril, un gémissement échappa de ma gorge, puis il me retourna délicatement et sa langue se posant dans mon cou, commença à descendre sur mon dos le long de ma colonne vertébrale.

Sous l'effet de ces caresses, je me tortillai doucement sur la couche plongeant de plus en plus dans le désir.
C'est là que je me rendis compte que je planais déjà alors que Robert n'avait pas encore touché à mon cul.
Longtemps l'homme ne pratiqua sur moi que des attouchements buccaux et manuels, les yeux clos, je savourais ce bien-être tour en râlant.
Jugeant que j'étais à point, Robert arrêta, ses mains se posèrent sur mes fesses et entreprirent de les masser.
Au bout de quelques instants de ce traitement, j'avais le fessier brûlant.
Mon amant écarta mes miches et une langue pointue s'insinua dans ma raie, à ce contact mon anus s'ouvrit légèrement et la langue inquisitrice me pénétra, je gémis.
Patiemment, Robert m'ouvrit complètement le cul, sa langue râpeuse allait et venait sur ma corolle, je me sentis fondre.
C'était la première fois que je ressentais autant de plaisir sans qu'une bite ne soit en moi.
J'étais totalement en transe je voulais qu'il me baise et je lui dis "aaaahh je t'en supplie encules-moi ahhh.
- Pas tout de suite, un peu de patience, tu jouiras encore plus.
- Noonnn, je veux ta bite tout de suite, je veux qu'elle me casse le cul".
Robert me dit "regardes, c'est lui que tu veux. Hein ?
- Oh oui, qu'il est beau.
- 32 centimètres de long et 18 de tour sans parler du gland.
- Oh !!!
- Tu l'auras, mais tout à l'heure".
Robert continua à me travailler le trou jusqu'au moment où ne tenant plus, je mis à onduler au rythme de trois de ses doigts qui me possédaient.
Jamais on ne m'avait préparé comme il le faisait, je n'étais plus que frémissements, ma tête rejetée en arrière ballottait de droite à gauche.
Mon mec me mit sur le dos et s'agenouilla entre mes cuisses, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il m'approcha de lui jusqu'à ce que le formidable pénis bute contre mes fesses.
Il les écarta et posta son priape contre l'orée de mon canal.

Malgré toute mon expérience j'eus peur devant les gigantesques dimensions du gland et tentai de me dérober, Robert me maintenant solidement aux hanche lentement me pénétra.
L'intromission dura un temps infini, mais jamais, je ne ressentis la moindre douleur.
Quand enfin Robert fut tout en moi, mon cul était rempli comme rarement il ne l'avait été.
Ce qui était en moi était tellement énorme que j'avais l'impression que mon cul en fusion allait s'ouvrir en deux comme un fruit trop mur.
Me prenant par les cuisses, mon homme commença à me besogner doucement.
Sentir ce monstrueux membre coulisser dans mon tunnel après les prémices que j'avais subi je me sentis partir, je basculai totalement dans un univers où seul le plaisir comptait.
J'allai à la rencontre de ses coups de boutoir pour être sur que toute la hampe entrait en moi.
La verge érigée sortait presque entièrement de ma grotte et replongeait lentement jusqu'au tréfonds de mon cul en fusion.
De temps en temps, Robert sortait totalement sa pine de moi et me caressait tout le long de la raie puis me renfilait d'un grand coup de reins.
J'avais perdu toute notion des choses, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me forait les reins.
Je voulais que mon amant reste fiché indéfiniment entre mes fesses.
Je me tordais comme un damné sous ses coups de queue qui me portaient au septième ciel et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Mais sourd à mes supplications, Robert continuai à me posséder avec une régularité de métronome.
Je sentis une boule monter vers ma gorge, l'air me manqua et un sublime orgasme me balaya, j'ouvris la bouche et un hurlement strident pulsa de ma gorge "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh".
Mon corps se tendit comme un arc, je griffai la couchette et tendis mon cul vers cette merveilleuse pine qui me donnait autant de plaisir me ramonant le rectum puis je retombai lourdement sur la couche perdant connaissance.

Quand je revins à moi, Robert me besognai toujours en de larges coups de bite.
Peu à peu, sous les assauts répétés de cette hampe virile, le désir remonta en moi, mon amant se baissa et me prenant aux aisselles me ramena vers son torse.
Il se leva et je nouai mes bras autour de son cou ainsi que mes jambes autour de sa taille.
S'appuyant contre la paroi du wagon, mon homme se mit à me pilonner l'anus à grands coups de reins tout en me faisant monter et descendre sur son phallus gorgé de sang.
J'avais le trou complètement éclaté, j'avais l'impression que s'il continuait à me tringler de la sorte, il allait me déchirer le cul mais que c'était bon.
Dans les bras de mon mec, j'étais tel un pantin désarticulé, jamais je n'avais subi une telle enculade, mon ongles plantés dans ses épaules musclées, je hurlai mon plaisir sans discontinuer "aaaaaahhhhh ahhhhhhhhh aaaaaaahhhhh aaaaaaaahhh aaaaahhhhhhhhhhhh ahhhhhhh".
Robert allai me reposer au bord de la couche et me ramena les jambes vers la tête, de la sorte à faire ressortir plus encore mon sphincter de manière à avoir un angle de pénétration encore plus grand, là il se mit à me défoncer à une vitesse folle.
Mon intimité s'était encore agrandie, je voyais entre mes jambes le priape violacé sortir et se planter au plus profond de mes entrailles.
Le ventre musclé de Robert claquait contre mon arrière-train en fusion à me faire mal.
Sous ses coups de boutoirs violents, je me tordais comme un damné sous mon amant la tête ballottant de droite à gauche.
En cet instant seul comptait pour moi cette bite roide qui me démolissait la corolle, j'avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer.
Robert s'enfonçant au fond de mon cul éjacula en feulant.
Une formidable giclée de foutre crémeux m'inonda le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur.
Je hurlai de jouissance et sombrai dans l'univers cotonneux du plaisir, je sentis le pénis encore dur de Robert quitter mon antre et je restai allongé sur la couche les yeux clos, cuisses écartées, écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux, Robert me regardai en souriant, son membre à demi flaccide reposai sur sa cuisse comme un gros ver, mon amant me dit "Tu es vraiment la reine des baiseuses, avec toi c'est mieux qu'avec une femme, ton cul est un vrai puits d'amour.
- Merci, mais tu y es quand même pour quelque chose, je n'ai jamais été baisé par un engin comme le tien et en plus tu sais très bien t'en servir.
- Oui, je me débrouille pas trop mal, mais tu sais pour une bonne baise il faut être deux.
- C'est vrai, ça a été bien, j'ai le cul en choux fleur, qu'est ce que tu m'as mis, dommage qu’on n’ait pas le temps car j'aurais bien aimé remettre ça.
- Moi aussi je t'en aurais bien remis un coup, enfin peut-être au cours d'un prochain voyage.
- Pourquoi pas, allez je crois qu'on ferait mieux de se rhabiller, au fait j'espère que nous n'avons pas ameuté tout le wagon.
- Non il est presque vide et en plus avec le bruit du train aucune chance.
- Tant mieux".
Après avoir porté une dernière caresse sur le sexe qui m'avait donné tant de plaisir, je me rhabillai et 10 minutes plus tard je descendis du train.
J'arrivai à l'hôtel où ma chambre était réservée, je pris une douche et soignai mon anus encore largement ouvert et très enflé puis j'allai dîner.
Vers 22 heures je me mis au lit sans même avoir ouvert GAI PIED car pour ce qui est de sexe j'avais eu ma dose.
Le lendemain je me levai vers 7 heures, mon trou du cul était refermé mais encore un peu enflé, je pris une douche et descendis déjeuner, vers 8 heures 30 j'arrivai au stage.
La journée se passa très bien et à 17 heures 30 je repris le train pour Paris, je m'installai dans un compartiment vide et le voyage de la veille me revint à l'esprit.
A ce moment j'aurais bien aimé voir Robert apparaître à la porte du compartiment mais celui-ci resta désespérément vide jusqu'à Paris.

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