Une Jeune Fille De 17 Ans Pour Un Homme Expérimenté De 44 Ans

Une jeune fille aimait beaucoup danser avec Christophe…
Il avait chassé le pire souvenir qu’elle gardait à ce sujet-là…
Un garçon minable avait un jour écrasé son corps tout contre elle lors d’une danse pour lui faire ressentir son érection sans autorisation.
Elle avait cru qu’elle deviendrait frigide a jamais à cause de ça.
Heureusement, Christophe et ses manières de parfait gentleman l’avait réconforté et mise en confiance, si bien qu’elle avait l’irrépressible envie de ressentir encore une fois son sexe tout contre elle en dansant.
Depuis ce jour-là, Christophe s’efforçait d’imposer quelques centimètres les séparant lorsque qu’il dansait.
Mais elle ne pouvait s’empêcher de jeter un vague coup d’œil en direction de sa braguette pour voir s’il bandai.
Il bandait cela se voyait bien sûr un côté.
Elle trouvait cela étrange…
Elle avait beau avoir dix-sept ans, elle ne savait encore pas reconnaître une érection ou plutôt elle ne croyait pas…
Pourquoi Christophe banderait t’il en sa compagnie ?
Elle était belle mais jeune, irréprochablement jeune.



Lors d’une belle et étouffante nuit de fin juillet, passablement éméchés, elle et Christophe discutaient ensemble assis côté à côté sur des sièges d’osier sombre, près de la piscine…
Leur bavardage cessa soudain le temps qu’ils se regardèrent droit dans les yeux puis ils reprirent le fil de leur conversation tout en se regardant encore avec leur même attention habituelle.
Au bout d’un certain temps, Christophe acheva son verre de Get 27, posa sa main tout contre la cuisse de la jeune fille, elle lui sourit, ce qui l’encouragea à continuer…
Il l'embrassa furtivement, désireux de bien plus défendu, leurs baisers avaient un goût particulièrement mentholé, ce qui ne fît qu'accroître davantage leur désir respectif.
Sa main glissa donc sans ménagement sous sa jupe, il l’a laissa un long instant sur son string.


Elle trouvait le contact de cette main chaude et épaisse tout contre son string, fort agréable.
Qui plus est, Christophe ne l’a brusquait pas, il prenait en effet le temps de bien lui faire sentir le poids de sa main tout contre elle comme pour l’échauffer.
Elle eue donc le loisir de s’y habi correctement.
Soudain, il écarta d’un geste assez brusque son string, après s’être assuré que sa présence sur le terrain était favorable, il glissa son annulaire en elle.
Puis, il frotta délicatement son pouce tout contre son clitoris.
Ce qui là fit immédiatement s’enfoncer davantage dans son siège et son corps fut déjà agité de convulsions passionnées.
Très vite, son pouce se fit plus pressant et il écarta d’un grand geste ses lèvres pour l’exciter et pour son propre plaisir.
La brusquerie de son geste lui fit pousser un petit cri de plaisir.
Désormais, il recouvrit son sexe de sa paume et s’y frotta avec application.
Puis, dans un brusque accès de passion, se laissais tomber à genoux sur le sol rocailleux pour faire parcourir sa langue tout contre ses cuisses.
Elle se mit à lui caresser tendrement les cheveux comme si elle caressait la tête d’un chat.
Christophe était haletant et lui souffla d’un ton ferme : “Je t’en prie, tu sais ce que tu as à faire ”…
Elle le comprit très vite et s’exécuta.
D’un doux geste, elle poussa sa tête pour qu’il puisse s’enfuir librement entre ses cuisses.
Sa langue lui fit de véritables merveilles à peine croyables et prit un plaisir à se glissa dans son premier orifice puis dans le second.
Elle s’était à peine remise de l’intense orgasme qu’elle venait alors d’éprouver, qu’elle se jetait sur Christophe, toujours accroupi sur les cailloux.
Elle le déshabilla entièrement d’une manière précipitée.
Elle voulait le voir entièrement nu depuis leur première entrevue dans ses songes les plus secrets et mystérieux.
Elle débordait de curiosité et se demandait bien à ce dont cet homme ressemblait dépourvu de tout habit.

Cette seule pensée, la faisait frémir de haut en bas.
Comment cet homme était t’il fabriqué, dessiné ?
Une fois qu’il fût nu avec son sexe fièrement dressé, elle le dévorât des yeux sans répit.
Elle découvrit tout d’abord son torse admirablement bâti et ses yeux s’arrêtait sur son sexe dégageant une excitante puissance par son épaisseur et sa longueur.
Impassible, Christophe était debout, fièrement redressé, excité au plus haut point par sa nudité et virilité qu’il affirmait devant cette belle et jeune fille à qui il voulait faire l’amour depuis bien trop longtemps.
Elle était subjuguée et déroutée par la superbe vue en face d’elle.
Elle se releva soudain comme frappée par le besoin pressant d’accomplir son devoir et s’avança.
Elle se mit à genoux à son tour et saisit délicatement le sexe de Christophe et le glissa dans sa bouche.
Elle essaya immédiatement de l’engloutir entièrement, mais il était trop long pour cela, si bien qu’elle ne parvînt qu’à en avoir à peine la moitié au fond de sa gorge.
Elle s’attarda donc sur le gland et passa ses doigts le long des veines marbrant son sexe.
Elle suça le bout de son sexe jusqu’à ce qu’il se déverse abondamment.
Ils se quittèrent en échangeant un sourire puis un baiser et regagnèrent leurs chambres respectives...
Quand les cours reprirent, elle rêva souvent à lui, en fixant la fenêtre lors des interminables et ennuyeux cours de maths

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